8 mars : fête des salopes. Le féminisme n’est pas ringard, il est meurtrier.

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Fêtons à notre façon, ce jour maudit : celui du féminisme, celui du 8 mars. Marquons-le d’une pierre noire, comme le signe d’une époque où hommes et femmes devraient être identiques, devraient agir de manière identique, et finalement, devraient être asexués, individualistes, et séparés. Ce 8 mars n’est pas la journée de la femme. Si le 8 mars  était la journée de la femme, nous fêterions nos mères, nos grands-mères, nos femmes, voire nos petites amies. Nous célébrerions la maternité, la vie de famille, l’accueil, le contact chaleureux donné aux enfants, la médiation. Au contraire, ce jour marque dans nos journaux l’affrontement, la jalousie, le rejet des hommes, le déni de la maternité, la bêtise hurlante, l’avortement des enfants, la fin de la famille. Oui, le féminisme n’est pas la libération d’un carcan, mais le déni de la femme, au nom de la liberté et de l’égalité. Quand je vois ces tarées s’afficher sans honte pour défendre leurs idées meurtrières, au nom de toutes ces femmes qui ne veulent plus les suivre (ou qui ne le peuvent plus), je me dis que le mensonge a encore de beaux jours devant lui.

Il leur faut trafiquer les chiffres de l’emploi. Il leur faut faire dire aux chiffres ce dont elles ont envie.Les employées sont en écrasante majorité des femmes ! Qu’importe, c’est pour elles une discrimination !  C’est inadmissible vu que les ouvriers qualifiés sont en majorité des hommes.

 

Les cadres supérieurs sont en légère majorité des hommes, parce qu’on retrouve plus d’entrepreneurs dans cette catégorie, il faudrait peut-être qu’on supprime la liberté d’entreprendre pour les hommes et qu’on force les femmes à créer leur entreprise ?????? Les hommes sont payés 20 % de plus parce qu’ils travaillent plus et que les femmes veulent prendre du temps pour leurs enfants, mais non, il faudrait que les femmes travaillent moins et soient payées plus pour compenser la perte (inégalité), ou qu’elles n’aient plus d’enfant ?

Et que dire de la crise qui frappe plus durement les hommes parce que les femmes sont à des postes de planquées.

Alors quand j’entends dans les lignes de nos journaux qu’il y aurait actuellement une régression !!! et un retour aux valeurs traditionnelles qu’on afficherait comme un épouvantail !!!!  j’en serais trop heureux si c’était vrai. S’il y avait un vrai retour aux valeurs traditionnelles, il nous faudrait sortir dans les rues pour faire la fête. Ce serait le signe que le bon sens est de retour en France, face au mensonge. Seulement ce retour au bon sens n’est que le constat d’une société totalement déséquilibrée, en faveur des femmes, un déséquilibre si important qu’il faut bien fantasmer un retour des hommes dans notre société.

 

Que dire d’une journée où on fait croire au populo que seules les femmes seraient victimes de discriminations ? Oui, car il est évident que dans tous ces secteurs où il n’y a que des femmes, la discrimination envers les femmes en est la principale explication ! Elles sont avocates, juges, médecins et infirmières parce qu’on les y force ! et non pas parce qu’il y a une discrimination envers les hommes.  En fait, si on faisait une journée de l’homme, à ce jour, nous aurions bien plus de motifs légitimes de dénoncer les discriminations envers notre sexe : sur le marché de l’emploi et le chômage des jeunes garçons, dans les filières discriminantes, où les hommes ont une espérance de vie inférieure, absence d’hommes dans les métiers nobles, dans la fonction publique, discrimination à l’embauche, sans même aborder le cadre familial !!!!!!!!!!!!

 

Mais il nous faut entendre à la télévision cette ….  de Rama Yade dont les dents rayent le parquet et qui se prononce avant-hier pour un retour d’un ministère (et non seulement d’un secrétariat d’Etat) de défense des droits des femmes, avec, évidemment, plein d’argent (excusez-moi de moyens : c’est aujourd’hui la manière pudique de dire qu’on règle tous nos problèmes avec du fric), pour entretenir aux frais de la République tout un tas de parasites.

 

Alors en ce jour du 8 mars, faisons la fête : honni soit le féminisme culpabilisateur, le féminisme mensonger, le féminisme avorteur, et divorciateur, honni soit le féminisme tout court. A bas le féminisme. Nous ne voulons plus de détraquées comme interlocutrices. Et nous demandons instamment aux femmes de changer d’attitude et de commencer à réfléchir un peu plus aux représentantes qu’elles se choisissent. En ce mardi gras, n’oublions pas que demain c’est carême et qu’il faudra bientôt nous serrer la ceinture : nous nous gavons encore de mensonges féministes mais les lendemains d’orgueil sont des lendemains qui déchantent.

39 réponses à “8 mars : fête des salopes. Le féminisme n’est pas ringard, il est meurtrier.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    “Jean de Dieu : une vie d’homme”, Neomasculin du 08/03/2019.

    La meilleure lecture à avoir en cette journée de fête de Saint Jean de Dieu et accessoirement, journée de la femme.


  2. Avatar de Hansel
    Hansel

    Souriez, aujourd’hui c’est la première Journée Internationale des Filles décrétée par l’ONU sous la pression des féministes qui ont transformé la journée des hommes en journée mondiale des toilettes !


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