(Assises de G Tron) « Il faut une femme pour juger un homme »

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Certains de mes lecteurs restent sceptiques quand je leur parle de domination féminine pour le pire, dans la justice, dans la société, dans les médias.

En général, dans la plupart de ces affaires louches de viol, le procureur sait très bien que le procès aux Assises va révéler l’ambiguïté de ces femmes « victimes ». Pour éviter une telle mascarade devant un tribunal populaire, l’institution lave plus blanc que blanc dans le secret des alcôves. Elle correctionnalise les plaintes. Ce choix politique lui permet de condamner à tort et à tour de bras, mais en minorant les peines. Tout le monde est satisfait, exception faite des nombreuses victimes de fausses accusations bien évidemment.

Cependant, cette (in)justice en leur faveur n’a jamais suffi aux féministes. Depuis des années, elles poussent à l’augmentation des peines pour viol. Les prisons n’ont jamais été autant remplies pour un résultat toujours moindre, mais tant pis. Le système est engorgé, mais tant pis. Le comportement des femmes est de moins en moins interrogé, mais tant pis. Elles ont raison et ne veulent surtout pas en démordre.

Ainsi, pour des raisons médiatiques seules, le cas du maire de Draveil, Georges Tron, en est arrivé jusqu’aux Assises. Tel que je l’avais prévu il y a presque 5 ans de cela, la mascarade est complète. Or entre-temps, le pouvoir totalitaire des femmes n’a cessé de croître. Et le juge en charge de l’affaire ne sait plus comment s’y prendre pour répondre aux attentes féministes. Il évoque désormais la possibilité de se dessaisir de l’affaire parce qu’il est un homme. Voilà où notre pays en est arrivé en matière de totalitarisme idéologique : un homme ne peut plus juger un autre homme sans se sentir accusé de favoriser la « domination patriarcale ». Il faut une femme pour entendre les improbables victimes femmes, tandis qu’en parallèle, notre système relâche les meurtrières quand elles ont tué leur mari durant une scène de violences conjugales.

Mais ce n’est pas tout. Pour saisir toute l’ampleur du désastre, il faut étudier de près ce que ce juge a dit en privé et notamment qu’il en était arrivé à s’interdire certaines questions. En somme, la pression féminine est telle qu’il ne peut pas mener les débats comme il l’entend, et que la vérité n’a plus cours au palais de justice. D’ailleurs, il n’a même pas pu ordonner d’autorité un juste renvoi de l’affaire avant que Me Dupond ne l’y force en divulguant ses propos. Un comble quand on sait à quel point notre institution judiciaire sait agir comme bon lui semble avec le commun.

Seulement là, l’impitoyable corporation s’affronte à plus fort qu’elle. Le juge le confirme en privé : « il craint le hashtag #balancetonporc ». L’avocate de la défense a beau hurler à la mort qu’elle veut la présence du bâtonnier, la vérité a été malheureusement dite pour elle et pour sa cliente. Et cela risque de n’être qu’un début.

Le reportage totalement à charge d’Elise Lucet et d’ « Envoyé spécial » ne changera pas la donne. L’hystérie féministe qui se positionne en victime va mal supporter la contradiction parce qu’enfin, pour une fois, elle sera acculée à se justifier et à répondre aux accusations. Le tribunal sur internet autorise le lynchage. C’est plus compliqué dans la vraie vie. Voilà pourquoi le procureur déteste que ce genre de procès pour viol arrive jusqu’aux Assises. Ils sont pour la plupart creux. On ne condamne pas un innocent sans preuve. Enfin je veux dire, on ne condamne pas dans notre pays un personnage public puissant sans preuve.

Le spectateur passif n’en retiendra rien, excepté un dégoût plus ou moins prononcé pour ses institutions. Et l’affaire viendra rejoindre la pile déjà énorme des fausses accusations soutenues par des féministes. Qu’importe la vérité aura fini par vaincre… dans un pays où il faut être de plus en plus puissant pour ne pas être victime de malades mentales organisées en réseau.

27 réponses à “(Assises de G Tron) « Il faut une femme pour juger un homme »”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "Jean-Pierre Darroussin rétropédale sur Polanski" Le Point du 09/03/2020.

    Voilà ce qui s'est joué en arrière plan. tout le monde était terrifié par le totalitarisme féministe :

    "« J'étais un peu étonné, cela fait 10 ans qu'on ne m'avait pas appelé pour les César… Ils me disent que personne ne veut venir, que tout le monde a la trouille. Moi, je me dis que je n'ai rien à craindre et j'accepte l'invitation. »" 


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "« On peut se demander si Harvey Weinstein a intérêt à faire appel »" Le Monde du 26/02/2020.

    Etant donné qu'il est innocent, il aurait intérêt à faire appel. Etant donné la perméabilité de la justice américaine au féminisme, c'est plus épineux. 


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    "Donna Rotunno, la femme qui veut innocenter Harvey Weinstein" Figaro du 19/12/2019.

    Il faut un avocat femme pour défendre un homme.


  4. Avatar de PeterPanpan
    PeterPanpan

    Ce n’est pas pour rien que Dieu à créé l’homme plus fort physiquement et rationnellement et..et..et…..que la femme car il savait ses côté pernicieux, viles, jalouse, envieuse, manipulatrice et menteuse et que si un jour les hommes laissaient les pouvoirs aux femmes ce qui est aujourd’hui le cas ils risquaient de devenir leurs esclaves… ce qui aurait été le cas depuis la nuit des temps si les femmes avaient plus forte physiquement que les hommes…et bien bro le temps est arrivé d’utiliser ce que Dieu nous a donné en plus et de reprendre le contrôle avant qu’il ne soit trop tard et car l’homme lui même par la saloperie de l’eugénisme qui va se mettre en place va produire des hommes forts sans âmes aux service de ses… rendons grâce a Dieu..et agissons..


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    “Georges Tron, jugé pour viols et agressions sexuelles, est acquitté”, AFP du 15/11/2018.

    Voilà, ça c’est fait. Et bientôt :

    “Affaire Ramadan : l’islamologue, accusé de viols, obtient sa mise en liberté”, AFP du 16/11/2018.

    Ce n’est pas parce qu’une personne profite de sa position avec les femmes qu’elle est fautive légalement (ou qu’une femme se comporte en pute sous prétexte de chercher l’amour). C’est une question morale à laquelle la société civile est incapable de répondre.


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo coub) “Les femmes décident de l’emprisonnement des hommes”, Durandal du 14/03/2018.

    Il faut aussi une femme pour emprisonner un homme :

     


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