Attirance sexuelle pour les enfants et transgenrisme

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L’autre jour, je suis sorti de ma grotte pour prendre une énorme claque. Notre société est allée plus loin que je ne l’avais imaginé. De retour dans le monde, je me suis retrouvé au milieu d’une foule de jeunes blancs en perdition. Pas méchants, mais mal sexués, percés de partout, et tatoués. Observant cette faune provinciale, j’ai cherché longtemps avant de tomber sur deux trois personnes qui échappaient au commun. Qu’est-ce que ça doit être dans les grandes métropoles…

Parmi eux, une fille a particulièrement attiré mon attention. La coupe à la garçonne, elle s’était faite mastectomiser. Et elle mettait en valeur fièrement son absence de poitrine à côté de sa sœur jumelle androgyne. « sœurs jumelles androgynes », même le français peine à décrire cette réalité. « Mastectomie », je ne devrais pas connaître ce mot dans un monde normal. Il s’est imposé grâce à ces personnes instables et à qui notre société a passé toutes leurs lubies, absence de père oblige.

J’ai tout de suite pensé que son refus de grandir ferait le bonheur d’un pédékiraste. Si les bordels ont jamais eu un intérêt, c’est de permettre aux pervers et aux déviants de pouvoir satisfaire leurs vices. Avant, de telles jeunes filles se coiffaient de deux couettes et d’une robe d’écolière pour récupérer de l’argent sur le dos de ces hères. De nos jours, elles jouent le trouble dans le genre, sans savoir quand elles consentent, ou pas.

Le cadre social a brouillé les définitions. Là où le tapin était en marge de la société, le transgenrisme en est à la pointe, sans que toutefois, les abus sexuels sur enfants n’aient été autorisés. Et tant que les abus sexuels sur les enfants ne seront pas permis, ce mouvement progressiste buttera contre un obstacle à sa normalisation. Car ce mouvement d’indifférenciation, ne s’arrête pas au sexe, mais aussi à l’âge, et à tout en vérité. Or le tabou sur les enfants est le dernier rempart qui tient encore dans notre société. Il tient très mal, mais il tient encore, la dernière polémique au palais de Tokyo le démontrant assez clairement : dénonciation du viol sur enfants et viol sur enfants se distinguant mal (je m’interdis de reproduire ici l’image ayant fait scandale pour éviter ce genre de confusion, mais cette image est véritablement très explicite).

Vous me direz, si en théorie, cette indifférenciation gagne, dans la réalité, il se pourrait que ce ne soit pas le cas. Les transexuels auraient alors réussi à se construire une identité sexuelle, tout en ayant changé de bord, et sans porter atteinte à la différence entre les âges. Laissez-moi en douter tant le milieu homosexuel est déjà atteint par ce travers. Et puis en ce jour, je viens d’en avoir confirmation à travers ce témoignage de repentie, ce qui m’a décidé à écrire cet article : oui le mouvement transgenre est propice à « infantiliser » des corps d’adultes, mais il le fait aussi en direction d’enfants, en se l’avouant plus ou moins.

La volonté de changer de sexe représente comme une sorte d’incapacité à grandir et à accepter son corps. Ce désir de contrôle cache la peur du corps animal. C’est une homosexualité pluss pluss. L’homosexuel de type Q veut s’identifier à l’autre sexe par loyauté envers l’un de ses parents (ce qui suppose le maintien d’une relation infantile). L’homosexuel de type R veut en rester à des rapports maternels (tout aussi infantile). Le transexuel n’accepte ni son corps, ni de grandir. Il veut garder la main sur son corps dont il perçoit les changements comme d’un danger, souvent à causes d’abus sexuels qu’il a vécus dans l’enfance. Son penchant pour l’immaturité peut rencontrer ou coïncider avec la culture pédékiraste.

Ici, comme avec la jeune fille que j’ai rencontrée, le désir de rester petite fille, jusqu’à la mastectomie, nourrit le fantasme d’une possible sexualité infantile épanouie. Car le refus du corps n’élimine pas le désir sexuel pour autant. Désir sexuel de la petite fille-« adulte » de grandir, désir sexuel du pervers de contrôle totalitaire. La rencontre entre ces deux là se nourrit toujours d’un quiproquo décevant. La petite fille-adulte, loin de grandir, est réifiée par le pervers. Et le pervers nourrit sa perversion en s’y adonnant. Pourtant, vont-ils être attirés l’un par l’autre. Or ce milieu transexuel apparaît de plus en plus comme un déversoir pour de tels fantasmes malsains, fantasmes glorifiés par la société au nom de la tolérance.

Toutes ces personnes qui désirent lutter contre la pédékirastie, et qui mènent un combat public pour cela, devraient commencer par interroger la pulsion homosexuelle. Mais ces chevaliers maman, avides de reconnaissance, sont trop occupés à obtenir une légitimité auprès de la société. Quand elles ne jouent pas avec les limites parce qu’elles en manquent. Car il faut le dire, banaliser la pulsion homosexuelle ou transgenre, comme tous les bien pensants le font, c’est véritablement favoriser les abus sur mineurs. Désormais, l’abus se déroule en direct et les personnes qui commettent ces abus ne sont ni dénoncées, ni mises en prison :

Ici ou encore là, au nom de leur désorientation, des adultes tentent de désorienter des enfants dans leur construction identitaire, car vous comprenez, l’identité sexuelle, ça n’existe pas, c’est une construction sociale.

Voyez combien tout le discours féministe égalitaire ne pouvait mener qu’à ce genre de déviance/perversion. Les féministes femellistes, journalistes de la première vidéo, ont beau jeu de se réclamer d’un féminisme qui n’aurait pas viré à l’abus, alors que tout le féminisme tendait vers un tel abus. Ces femmes là ne vont pas jusqu’au bout de leur idée. Elles voudraient arrêter le temps et la marche de leur idéologie. Comme toutes ces personnes qui se sont construites sur un mensonge, elles ont du mal à se remettre en question alors qu’elles n’en ont pas les moyens spirituels (catholiques) de le faire. Percevant le marasme, elles tentent pourtant de le dénoncer. Mais incapables de revenir sur leurs préconçus, à l’image de ces pères répudiés qui affichent leur féminisme, elles veulent stopper les conséquences dont elles chérissent les causes.

Oui, le féminisme est un processus d’indifférenciation. Et il l’a été dès le départ. D’abord une indifférenciation sociale/légale. Puis une indifférenciation professionnelle. Et encore une indifférenciation sexuelle ou indifférenciation spéciste. Enfin une indifférenciation des âges. Ce processus ne peut s’arrêter que de deux manières : la crise mimétique ou le retour au Christ. La crise mimétique, c’est la catharsis, le moment où la violence est purgée dans un immense holocauste humain. Le retour du Christ, c’est le refus de l’indifférenciation par la reconnaissance de ses propres péchés.

Les cycles mortifères ou la rédemption catholique. Entre les deux, il n’y a rien. Les positions intermédiaires des uns et des autres, sous couvert de mesure, cachent surtout une incompréhension complète de la profondeur de ce combat du mal contre le bien.

En notre époque de déchristianisation, le sacrifice humain tend à devenir la norme. Sacrifice des infanticides par avortements, sacrifice des vieux en maison de retraite, sacrifice de ces jeunes mutilés, sacrifice des vaccinés ou des non vaccinés et ainsi de suite. Au fur et à mesure que l’idée christique recule, le sacrifice prend ses aises, mais bien entendu, pour sauver des vies. Comme d’habitude je dirais. Les gens qui sacrifient des humains le font toujours pour éviter un mal plus grand (il faut apaiser les dieux). Mais qu’y-a-t-il de pire, quel plus grand malheur y-a-t-il dans une société que de supprimer des vies pour vivre, de se nourrir symboliquement de la mort de son prochain, avec l’idée derrière qu’on sera peut-être le prochain sur la liste et qu’il faut donc obéir. Fini alors la liberté de conscience. Ceux qui parlent de liberté de conscience sans Jésus ne sont que des usurpateurs. Il n’y en a pas sans Lui, et il n’y en aura jamais.

Voilà pourquoi tous les vrais gauchistes se sont retrouvés dans le camp vaccin obligatoire et pro-pass durant la crise sociale covidienne. Eux, soit-disant défenseurs des pauvres et des libertés publiques, ont exigé que les individus les plus fragiles se sacrifient pour le groupe en endossant le rôle de cobaye, ou en s’enfermant, ou en portant un masque putride les empêchant de respirer, une muselière équivoque, soit l’exact inverse de la défense des droits publics et individuels. Derrière cet épisode, c’est un combat spirituel de grande ampleur qui a eu lieu. Comme lors du passage de la loi sur les unions de duos homosexuels. Comme avec les gilets jaunes. Et ce combat spirituel, nous l’avons trois fois perdu, pour différentes raisons, mais surtout parce que nous avons pas pris en compte sa dimension eschatologique.

Allons-nous nous habituer à violer des enfants en public, comme nous nous sommes habitués au reste ? Tel est l’enjeu du refus de la normalisation transexuelle. Nous en sommes là. En m’empêchant de participer sereinement au débat public, et plus largement, en empêchant tous ceux qui dénoncent la théorie du genre d’y participer, j’accuse cette société d’encourager le viol d’enfants. Car il y a bien plus coupable que les pervers. Il y a les personnes saines de corps et d’esprit qui protègent les pervers pour justifier leur bonne conscience.

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