Publié le 18 août 2011 par Léonidas Durandal à 0 h 00 min
Cassandre et Houria, jeunes élites intellectuelles de notre pays féminisé, sont mortes loin de leur pays, en « excursion touristique », l’une sauvagement violée et l’autre agressée sexuellement avant d’être toutes les deux, achevées sans pitié par un groupe d’hommes et la complicité de femmes d’un pays dit civilisé.
Quelle est la responsabilité des féministes me direz-vous ?
Elle est pourtant évidente. Depuis des années celles-ci font comme si hommes et femmes étaient égaux. Selon les féministes, les femmes ont le droit de circuler dans la rue, à l’identique des hommes, et les viols dans les caves, en voyage, ou ailleurs, ne devraient jamais exister. Malheureusement la violence persiste et quand des femmes sont mises en face de la responsabilité de cette égalité, et qu’elles se font violenter ou qu’elles échouent, une question implicite nous est posé : à qui la responsabilité ? De cette question implicite que nous pose les féministes, faisons-en une question explicite. Alors : POURQUOI LA VIOLENCE PERDURE ET QUI EN EST RESPONSABLE ?
Dans le cas qui nous intéresse, il est évident que les féministes ont instillé une réponse subliminale à nos cerveaux. Vous savez quand une jeune fille en banlieue se fait agresser, ce n’est pas de la faute de tous les hommes bien entendu, mais de barbares garçons qui ont une image « décalée » des femmes. Il faut manifester pour lutter contre « certains problèmes de société ». A la fin, la généralisation est si effective que nous assimilons viol, et non seulement garçons de banlieues, mais également hommes (l’affaire DSK devait nous révéler que presque toutes les filles de France étaient violées, soit 75 000 par an!), raison pour laquelle, dans la vie de tous les jours, il nous arrive, il vous est arrivé en tant qu’homme, d’être accusé plus ou moins directement de faire partie d’une sous-classe capable de tout, et en particulier du viol des femmes. Eh oui, vous savez bien, ce sont toujours des hommes qui violent des femmes !
En adoptant une position égalitaire, les féministes nous disent « ce sont les hommes qui sont responsables ». Implicitement, il nous est suggéré que ce sont les hommes, dans leur ensemble, qui les empêche de vivre cette égalité.
A l’inverse des féministes, je ne crois pas que les hommes soient responsables, en tant qu’hommes, et de manière généralisée, d’empêcher les femmes de vivre cette égalité, et ceci pour la simple et bonne raison que cette égalité n’existe pas. Les féministes ont créé un problème en le posant mal ou de la manière qui les arrangeait pour pouvoir ensuite y apporter leurs réponses, et étendre leur pouvoir sans fin en entretenant une guerre impossible à mener à bout. Avec des phrases comme « les femmes peuvent faire les mêmes métiers que les hommes » (policiers, militaires), « peuvent être comme les hommes », « peuvent agir comme les hommes », les féministes ont tenté de faire passer une revendication absolue d’égalité entre hommes et femmes. Or, à l’évidence hommes et femmes ne sont pas égaux, en particulier quand il s’agit de force physique, ou de situations risquées, comme lors de certains voyages. Et encore plus, égaux, ils ne le seront jamais. En niant les différences entre hommes et femmes, en créant le mythe d’une égalité sécurisante, les féministes ont envoyé toutes les femmes qui les ont crues au casse-pipe, que ce soit dans la rue, ou dans le monde du travail. Et, manquant d’amour pour nos femmes, nous les avons laissées faire.
Les féministes ont donc tenté de faire vivre nos femmes dans une illusion de sécurité égalitaire, ou en ont appelé à cet idéal.
Mais pourquoi ? Notre lâcheté d’homme, elle, nous est bien connue. Elle vient de deux guerres mondiales où nous avons cru nous faire honte. Elle provient des scrupules dont nous nous sommes chargés idéologiquement et progressivement en occident. Mais la volonté autodestructrice des femmes, d’où vient-elle ? Ont-elles seulement été déçue de notre propre faiblesse ? Certes, comme nous venons de le dire, l’utopie égalitaire leur a permis de mener la société par le bout du nez en poursuivant un but impossible à atteindre, cherchant la virilité d’hommes qui les fuyaient. Mais ont-elles été seulement avides de pouvoir et de sécurité ? Pas seulement. Ce serait les dédouaner trop rapidement. Derrière tout cela, il y a aussi l’idée de vouloir devenir identique aux hommes. Ce fantasme homosexuel, ne se réalise jamais dans la vraie vie. Ainsi vivent-elles en pensant n’avoir jamais besoin d’hommes pour les protéger. Et pire, elles tentent de le faire « >
"Clermont-Ferrand : Chaïb viole une étudiante forte et indépendante qui rentrait seule tard dans la nuit" DP du 15/12/2020.
« Bulgarie : une étudiante française retrouvée pendue sur un chantier », AFP du 11/11/2018.
Encore une étudiante de sociologie qui a certainement cru pouvoir changer le monde.
« Des ossements découverts en Croatie sont ceux d’une Française disparue en 2014 », L’Obs du 16/01/2018.
Etudiante en BTP, elle cumulait.
« Pour échapper aux féminicides, de jeunes Mexicaines apprennent les arts martiaux », AFP du 07/04/2016.
Donner l’illusion de la sécurité pour continuer dans la folle course à l’indépendance de femmes misérables.
C’est donner aux femmes plus d’armes qu’elles n’en ont. Pendant ce temps-là personne pour dénoncer le masculinicide de la société y compris au second degré
« À 25 ans, elle part à l’aventure avec sa fille de 3 ans sur le dos ! Les photos sont à couper le souffle… », démotivateur du 06/10/2015.
La maman, l’air de rien, n’oublie pas de montrer son postérieur (Une photo sur 5) dans le but inavoué d’attirer assez vite le mâle qui manque visiblement à son existence…
C’est très exactement une photo sur 5 c’est impressionnant, difficile de croire que ce soit fait par accident. Pas forcement pour attirer un mâle mais peut être dans une logique de concurrence entre femme pour montrer que elle aussi est sexy.
Exactement, la logique est double et est permise notamment par cette société du paraître ou grâce aux images on peut feindre d’avoir une vie parfaite ou l’on réussit sur tous les plans; en l’ocurrence pour le cas présent: « je suis jeune, je suis mère et ma relation avec mon enfant est extraordinaire (sans père), je suis belle et sexy, j’ai les moyens de faire le tour du monde ». Carré d’as.
Un carré d’as de pique pour être précis….