
Publié le 18 mai 2022 par Léonidas Durandal
Publié le 12 juin 2020 par Léonidas Durandal
En attendant de me fabriquer un serveur, plein d’espoir, je fais une dernière tentative avant les vacances en direction des plateformes gratuites d’hébergement vidéo. Après les censures de Youtube, les restrictions de Dailymotion, et le flicage de Rutube, cette fois-ci nous allons voir ce que nous allons voir avec Vimeo. Et je commence avec une blague belge : Angèle. Je devais la faire depuis longtemps, je liquide les stocks avant juillet :
PS : ben si ça marche pas, c’est que la vidéo a été censurée, comme d’habitude !
Publié le 23 avril 2020 par Léonidas Durandal
(L’histoire se lit de haut en bas, et pas de gauche à droite)
Publié le 3 octobre 2019 par Léonidas Durandal
Face au tout féminisation dans notre société, nous n’avons que deux choix. Soit apprendre l’humour aux femmes, soit renoncer à l’humour. C’est devenu une question de survie. Rien que cette semaine, un restaurateur se retrouve devant le tribunal correctionnel pour avoir affiché dans son établissement : «Mon secret séduction tient en trois mots: gentillesse, humour, bagou. Si ça ne marche pas? Je me contente des premières lettres» . Pour ce bon mot, il risque 45000 euros d’amende et 5 ans de prison. Aussi dans le Figaro de cette semaine, je me fais traiter de « mâle blanc beauf impuissant »,
parce que j’aurais oser rire de Greta la bêcheuse avec certains de mes congénères. Le Monde le confirme en sous-titrant dans un de ses articles : « Les remarques sexistes ou sexuelles, sous couvert d’humour, sont de moins en moins tolérées dans un milieu où les filles sont plus nombreuses qu’il y dix ans. ». Or qu’est-ce que l’humour sinon prendre de la distance sur des sujets sérieux. S’il n’est plus possible de le faire concernant nos différences sexuées, le journal Le Monde n’est pas dérangé par le sexisme, il est dérangé par l’humour. Trêve d’hypocrisie.
Comme il m’est difficile de renoncer à l’humour, comme il va nous être difficile d’échapper au tout féminisation dans les décennies à venir, il ne me reste qu’une option : vous apprendre l’humour mesdames.
Chères consoeurs du sexe faible, dotées d’un tout petit clitoris en lieu et place de nos immenses pénis, l’humour a pour but de dire de manière acceptable ce qui inévitablement provoquerait la guerre entre personnes à vues différentes.
Exemple. Je ne peux pas dire à une femme qu’elle m’emmerde parce que c’est une femme (bien que d’autres se le soient permis à des époques moins totalitaires
). Ou encore que je désire la trépaner avec mon sexe. Par contre, je peux parler « d’éternel féminin » ou d’envie de « mettre la bûche dans l’âtre ». Voilà ce qu’on appelle des allégories. Elles ont pour but de rendre possible l’expression de sentiments purs sans choquer votre pruderie. Généralement, elles provoquent l’hilarité du public masculin qui comprend avec exactitude ce qui est dit par des moyens poétiques. La poésie, le romantisme, c’est important pour un homme.
Notez le, l’humour est probablement une invention des hommes pour répondre aux incapacités intellectuelles et affectives des femmes à affronter la réalité (lié à un complexe de supériorité). Plus généralement, j’en suis arrivé à la conclusion qu’il ne faut pas parler franchement à une femme, jamais, c’est une faute de goût, encore pire que de s’essayer à l’humour avec elles. Les femmes à qui vous parlez franchement vont l’assimiler à de l’insoumission. Si vous faites de l’humour avec elles, elles risquent juste de ne pas comprendre, ou de mal comprendre, ce qui sera toujours jugé préférable à une quelconque volonté d’émancipation de votre part.
Nous sommes donc devenus plus intelligents en tant qu’hommes, en développant des formes d’humour diverses pour contourner votre petite tyrannie domestique. Parfois, le diable porte pierre. Cela nous permet de respirer émotionnellement. Sans, nous risquerions de vous le mettre en pleine tronche, notre humour. L’humour fait donc baisser mécaniquement le niveau des violences conjugales. Or, voilà que les féministes luttent contre (preuve 1, preuve 2, preuve 3), mais passons… Recentrons nous sur l’objet de cet article : identifier l’humour pour une femme, le repérer, voire, soyons fous, en faire.
Apprendre à connaître la culture de son pays : l’humour gaulois
Vous connaissez peut-être encore la gauloiserie même si elle se fait bien rare dans notre pays récemment civilisé par les progressistes (
). Il s’agit de volontairement mettre mal à l’aise son interlocuteur par des allusions explicites à son activité sexuelle ou à celle de son entourage. Si le dit interlocuteur, le prend à la rigolade, il n’y aura pas lieu de se battre pour défendre son honneur. Mieux, s’il répond avec la même verve, il sera jugé comme d’un individu crédible (prêt à se battre). Attention, il doit toujours y avoir un fond de vérité dans cette oïl galéjade, sinon ça manque de sel.
Lors d’une soirée arrosée, vous pouvez prendre par les épaules un cocu et lui dire : « Viens par ici mon cornard ! » mais seulement sous certaines conditions : si sa femme l’a quitté, qu’il est heureux d’être cocu (il y en a plus qu’on le croit) et que vous lui payez un coup après ça pour faire passer la pilule. C’est une question de tact. Ou bien alors le trait doit être entièrement gratuit.
L’humour gaulois allie donc la plus grande des vulgarités (aussi salace qu’un Portugais du nord) avec l’esprit de circonstance le plus fin qui soit. Car les femmes de France se sont faites roulées dessus par toute l’Europe et même une partie de l’Afrique durant moult générations. Les hommes français ont donc dû apprendre à faire le grand écart pour recomposer les morceaux, culturellement parlant je veux dire. De ce fait, ils sont devenus fins et vulgaires en même temps, histoire de plaire à tout le monde.
Mesdames qui voulez vous sortir de la fange de votre sexe, vous n’aurez pas toujours l’occasion de vous faire rouler dessus à domicile. Parfois, il s’agira de vous adapter en terrain adverse. Si vous allez à l’étranger, vous risquez d’être doublement déboussolées, par l’humour, et par les particularismes locaux. Car chaque peuple pratique un humour qui lui est bien particulier. Et vous trouverez même des femmes étrangères pour le maîtriser. N’en soyez pas troublées.
Les Niaks
Quand il s’agit de ne jamais le dire, tout en le disant, les rois de l’allégorie sexuelle sont asiatiques : « Je vais saucer la petite pouce de mon bambou dans ton nuoc mam et tu vas sauter comme un canard laqué pour le nouvel an » est indispensable avant tout préliminaire.
Je n’entre pas dans les particularismes locaux car tous les Niakwés n’ont pas le même humour (ceci est un article juste pour ouvrir mes lectrices à de nouveaux horizons) (mais tout de même, l’humour japonais et le jeu sur les conventions sociales :
ou ce petit garçon brimé par sa mère qui a une pancarte autour du cou « ne lui donnez pas de sucreries, ni de chips. Cet enfant est élevé avec de la nourriture saine :
) Très sensible aux cultures venues d’ailleurs, ce genre d’humour me fait mourir de rire. N’ouvrez pas que votre corps mesdames, ouvrez aussi votre esprit.
Les Amerloches
L’humour américain est un mélange d’exagération marseillaise (vous connaissez l’histoire de la sardine qui a bouché le vieux port ?) et de bon sens : « Elle avait un cul comme « bam », et des seins comme « bam » et tous les matous faisaient miaou en la voyant, en tirant la langue comme « bam ». Et pourtant ce n’était pas la pleine lune ».
Appréciable. Cependant, il ne faut pas en abuser. Indigeste à la longue.
Les Anglais
A l’opposé des Américains, l’humour anglais minore à l’extrême les situations pour en faire ressortir leur côté comique. Une phrase du type : « Vous voulez un whisky ? » « Un doigt SVP. » « Et pour le whisky ? » est typiquement de l’humour anglais.
Voilà ce qu’on appelle aussi de l’autodérision dans ce dernier sketch. L’autodérision est un type d’humour qui va vous paraître complètement absurde, si ce n’est dangereux pour votre complexe sus cité. C’est rire de soi-même. Pourtant ça existe, et dans le monde des hommes, c’est même jugé comme une marque d’intelligence liée aux émotions. Et puis, rire de soi est très bon pour ce qu’on appelle chez les hommes « l’humilité ». Bien que vous leur fassiez subir les pires tortures, les hommes français en restent capables :
L’humour belge une fois
Très connu en France, il s’appuie sur des situations absurdes ou la soit disant naïveté du résident de ce pays. Oui, c’est de l’affreux racisme selon votre langage multiculturaliste, ou de la « généralisation » mais ça existe et depuis toute éternité, et ce genre de trait a été universellement reconnu comme marrant par les êtres dotés d’une âme :
A une époque récente, ça marchait même avec les négros, jusqu’à ce que vos associations d’aigris foutent la merde :
Résultat d’un sketch qui m’a fait mourir de rire, une énième grogn…… qui avait ses ra…….. s’est vue offerte une tribune par un de nos journaux subventionnés pour jouer la rabat-joie faussement intégrée :
Voilà ce que nous ne voulons plus voir en France. Car le manque d’humour tue. Il n’y a qu’à connaître un Allemand pour le savoir.
Femmes je vous aime, avec de l’humour
En conclusion, sachez que ces particularismes sont universels, « local est international » et qu’ils font la richesse de notre civilisation. Nous avons une culture si étendue en ce domaine que certaines blagues ne sont comprises que de quelques personnes, ce que les roast beef appellent une « private joke ». Elles peuvent être aussi régionales ou d’expatriés, et connaître un énorme succès dans le monde. Les Québécois ne nous doivent-ils pas tout en la matière ?
Si vous voulez enfin vous intégrer à la culture française afin de la faire vivre, il est temps que vous vous y mettiez. Revenons en aux temps où « femme qui rit » était « à moitié dans ton lit ». (Ré)apprenez l’humour mesdames, ce n’est pas sale. Vous pouvez aussi continuer à vous boucher les oreilles et aller au diable vauvert mais par pitié laissez aux sujets que nous sommes, la liberté de bouffoner un peu leur maîtresse domina. Vivons dans un semblant de concorde, retrouvons les bienfaits de l’humilité, rions mes soeurs, rions ensemble, même à gorges profondes et déployées aux quatre vents. Débrayez, lâchez l’élastique, arrêtez de tirer sur la corde, les hommes, ces êtres fragiles ont tant à vous apprendre dans le partage et l’amour.
PS : si une juge mal baisée me lit, je précise que cet article est un monument d’humour du genre qu’on appelle « ironie ». Je vous explique, l’ironie, c’est exagérer une idée pour mettre en évidence les conséquences de choix ou de raisonnements qui mènent à des situations absurdes. Ce jeu intellectuel est normalement accessible à des personnes dotées d’un QI de 55-60, parfois même 50. Oralisez le texte si vous ne comprenez toujours pas.
Publié le 14 juin 2019 par Léonidas Durandal
Impossible de vomir partout, physiquement. Trop de gens, trop d’images, trop de paroles nauséabondes, pas assez de bile dans son estomac aguerri. Nous étions revenus aux pires heures de fiottisation de notre histoire et Gérard était seul, avec sa bite et ses deux burnes en guise de baïonnette au milieu d’un champ de bataille infini.
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Publié le 1 mars 2019 par Léonidas Durandal
Un homme de 88 ans s’est débarrassé de sa femme de 93 ans parce qu’elle lui avait servi de la soupe trop chaude. Avec Libération, j’en suis tout abasourdi. Comment un mari a pu tenir aussi longtemps avec une épouse qui ne savait pas faire la cuisine ? Elle était au courant pourtant, depuis 70 ans, Gérard aimait la soupe ni trop chaude, ni trop froide. Il la voulait comme la faisait sa mère. Rien de plus, rien de moins. Il avait accepté de prendre une femme plus vieille que lui, d’être cocu, que son intérieur soit un vrai capharnaüm, que ses enfants ne soient pas les siens, qu’elle lui pourrisse les oreilles de ses médisances, mais il était intransigeant en matière de cuisine. Il fallait que la soupe lui soit servie à point.
Lire la suite de cet article »Publié le 5 octobre 2018 par Léonidas Durandal
Des campagnes contre les violences sexistes dirigées uniquement contre les hommes. Contre les hommes blancs. Et dedans, le bon nègre est toujours gentil ! Une vraie caricature. L’homme blanc, il a le dos large mazette. Jusqu’à nourrir de grosses salopes qui se permettent de lui cracher à la gueule. C’est la dernière invention du gouvernement et de nos élites indifférenciées. La violence matriarcale revient plus forte que jamais pour éradiquer du masculin, ou provoquer une réaction en lui, je ne sais plus bien. Lire la suite de cet article »
Publié le 13 décembre 2017 par Léonidas Durandal
Les femmes seraient trop petites parce que les hommes les auraient privés de viande. Une blague ? Non. Du pur féminisme.
Nous sommes encore au 19ème siècle ou des femmes peuvent déclarer, sans risque d’être enfermées, que « la science est une invention masculine ».
Hier, cette science incomprise et dénoncée comme masculine était ignorée, voire honnie par de nombreuses femmes qui voulaient inventer autre chose. Aujourd’hui, indifférenciation oblige, ces femmes ont conquis les plus hautes places au sein d’un des principaux organismes de recherche d’Etat français : le CNRS. Et si elles acceptent la notion de science du bout des lèvres, elles ne la comprennent toujours pas. Il faut la féminiser pour la rendre valide. D’où toutes les aberrations d’une Catherine Vidal ou d’une Françoise Héritier que seule une société en pleine déchéance et riche a pu nous imposer.
Enième Odile Fillod, la journaliste de France info, excusez du peu, nous présente ici des résultats de recherche ridicules car basées sur des hypothèses qu’un garçon de lycée serait capable d’invalider. Prendre au sérieux de tels développements, serait tout aussi ridicule. Cette fois, j’ai choisi d’en rire un peu, même si comme on le voit clairement ici, l’égalité a de tristes conséquences en Occident :
Si problème sur Rutube, essayez sur Dailymotion.
Publié le 22 novembre 2017 par Léonidas Durandal
A un moment donné ou à un autre, il faut savoir pousser un cri et dire stop.
Pour en savoir plus :
Pour approfondir encore, voir les commentaires :
Publié le 9 octobre 2017 par Léonidas Durandal
Beaucoup d’hommes ont tendance à reprocher aux femmes ce qu’elles sont, et en premier lieu d’être incompréhensibles. Or c’est bien souvent parce qu’ils n’arrivent pas à les comprendre qu’ils les aiment. Dès lors, il ne faut pas s’étonner de voir de nombreuses femmes adopter des comportements excentriques au possible, pour répondre à cette attente. Lire la suite de cet article »
Publié le 22 novembre 2016 par Allan Queensean
Publié le 26 septembre 2016 par Léonidas Durandal
Ceci est une réponse à la vidéo de Virginia Vota « Ce que les femmes attendent des hommes aujourd’hui » :
« Ce que les hommes attendent des femmes depuis toujours » :
Ce que les hommes attendent des femmes depuis toujours от Léonidas Durandal на Rutube.
Si le lien ne fonctionne pas, essayez sur Dailymotion en cliquant ici.
Publié le 13 avril 2016 par Léonidas Durandal
Le lien direct sur Rutube si la vidéo ne se lance pas.
Publié le 5 juillet 2014 par Léonidas Durandal
Si le lien ne fonctionne pas, essayez sur Dailymotion :
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Publié le 28 mai 2014 par Léonidas Durandal
Ce qui s’est passé durant l’élection européenne est inadmissible.
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