Combat bioprotecteurs contre transhumanistes : nous ne sommes pas encore à la hauteur

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Constat

Qui a conscience que le combat autour des unions de duos oppose les bio-protecteurs et les transhumanistes ?

Les premiers se référant à la sacralité de le Création, se sont levés pour que les commandements qu’ils pensent avoir reçu de Dieu soient respectés. Les autres, ont décidé de se détacher progressivement d’une conception biologique des rapports humains et de suivre leurs propres désirs. Parfois inconscients de leur positivisme, ces derniers défendent le genre comme construction sociale pure de la sexuation. Le pouvoir de tout faire est leur horizon quelles qu’en soient les conséquences. Aucune manipulation biologique ne leur fait peur pour peu qu’elles soient entreprises progressivement. Cette ligne de fracture qui n’est pas encore nette parce que le combat n’a connu pour l’instant que quelques escarmouches, se révèle progressivement à la société au fur et à mesure que les modes de vies de chacun s’éloignent s’éloignent les uns des autres.

 

Combattants en place

Aux deux extrêmes, il y a Google et  par exemple, les universités de sociologie, d’un côté. Et de l’autre, les Catholiques accompagnés d’autres croyants monothéistes.

Les premiers veulent définir l’homme comme ils l’entendent et lui donner tout pouvoir d’agir sur son destin. Ils ont le désir d’aller vers un au-delà qu’ils ne sentent pas en eux. Les seconds ont accepté la présence de Dieu dans leur être et ils pensent que les limites naturelles de l’homme lui révèlent son humanité. Ils pensent aussi qu’à s’écarter de ces limites, les désordres au bonheur entraînés sont plus grands que les avantages. Les premiers accusent les seconds de vouloir les contraindre à une morale étroite qui sacrifie leur réalisation personnelle à une domination collective dont ils souffrent. Les seconds accusent les premiers de faire le malheur de l’humanité.

Les transhumanistes partent donc d’une vision personnelle de la société et pensent pouvoir prendre en charge toute souffrance individuelle pour faire advenir une révélation démiurgique (immanence). Les Catholiques pensent avoir reçu cette Révélation et croient pouvoir s’en servir pour essayer de prendre en charge les souffrances individuelles, dans l’imperfection.
A ce point de mon développement, je préfère préciser qu’il y a des personnes qui se croient transhumanistes alors qu’elles sont proches de la catholicité (certains écologistes) et qu’à l’inverse, il y a des Catholiques persuadés de vivre leur religion mais qui sont plutôt transhumanistes (progressistes).

 

Aspects génétiques : le déséquilibre entre sexe.

Le combat a commencé il y a longtemps, peut-être même depuis toujours si l’on considère que le bien et le mal existent. Les Catholiques dialoguent depuis longtemps avec ceux qui pensent pouvoir tout penser de leur propre chef, qu’ils soient marchands, Protestants, scientistes, darwinistes… Par contre, les transhumanistes appartiennent souvent à la génération spontanée. Ils suivent leur propre voie et s’ils font culture, ils la définissent par rapport à eux-mêmes et repartent toujours du début. Ils ne sont héritiers de rien et s’en défie d’ailleurs avec violence, ne sachant pas apparemment porter ce genre de croix. L’exemple qui m’a le plus marqué est celui du Protestantisme en Suède. Là-bas, l’immanence a tant imprégné les esprits que les églises chrétiennes poussent comme des champignons comme aux premiers temps de l’ère chrétienne. Il est proprement sidérant de voir ces enfants de Dieu essayer de réinventer le dogme en une seule génération et constater à quel point ils peuvent renouveler ces erreurs que nous avons dépassées depuis longtemps (on peut ainsi classer certains d’entre eux comme transhumanistes quand ils montent des églises homosexualistes par exemple).

 

Plus récemment le combat a pris une tout autre tournure avec l’entrée en lice de moyens scientifiques sans précédent. Il devient possible de procréer en intervenant à des niveaux biologiques de plus en plus précoces. Nous avons d’abord avorté les enfants avant de prendre conscience par l’échographie que le fœtus était vivant. Puis nous avons reproduit artificiellement la rencontre d’un spermatozoïde et d’un ovule en dehors de l’utérus de la femme, pour donner naissance aux premiers enfants nés par procréation médicalement assistée. Nous avons sacrifié beaucoup d’enfants viables à cette fin. Puis nous avons sélectionné de plus en plus les spermatozoïdes et les embryons pour obtenir certaines caractéristiques génétiques. Une femme lesbienne peut désormais choisir  la couleur des yeux, le sexe, et plus généralement le patrimoine génétique de son enfant. A noter qu’elle choisit à 80% une fille quand elle en a la possibilité  (1). Et bientôt, il ne faut pas en douter,  deux femmes pourront procréer ensemble, puisque une deuxième femme peut déjà intervenir génétiquement dans la procréation médicalement assistée entre le père et la mère de l’enfant (2). Ainsi, les duos lesbiens pourront bientôt se reproduire biologiquement parlant, et ainsi introduire de sévères modifications dans la répartition génétique du patrimoine de l’humanité. Toutes les possibilités nous seront bientôt offertes, et à n’en pas douter, les cas les plus improbables se réaliseront.

 

Le choix, ou le non choix.

Soit nous continuons à laisser les évènements se dérouler au gré des vents, soit nous décidons de prendre notre destin en main. Aujourd’hui, nous sommes complètement dépassés par les bouleversements techniques et les conséquences qu’ils impliquent. Les esprits féminisés ne veulent pas réfléchir à ces conséquences (aussi par gynocentrisme). Ils pensent que ces possibilités sont offertes pour le bien de l’individu et qu’il faut donc obligatoirement en user. Ou bien qu’”on n’y peut rien”. A l’inverse, je pense, que dans une pensée de la transmission, nous devrions réfléchir aux nouveaux tabous dont nous pourrions user afin d’offrir à nos enfants  les conditions d’une existence heureuse.  Ces conditions s’appellent « morale ».  Ils ne s’agit donc pas de « revenir en arrière » comme nous en accusent les transhumanistes, mais plutôt de sélectionner à l’aune de notre expérience ce que nous jugerons pouvoir accepter de ce qui sera déclaré inadmissible. De toutes les manières, de mon point de vue catholique, l’inconséquence de l’immanence ne peut pas nous mener bien loin, puisqu’elle est, intrinsèquement, un refus ou une dénaturation du Logos et donc de l’intelligence propre à donner du sens à nos existences. Cependant le chaos est toujours possible, l’histoire ne l’a que trop prouvé. Il semble même que les périodes de paix, où les hommes trouvent un juste équilibre entre leur environnement et leur morale aient été très peu nombreux dans l’histoire de l’humanité.  Les hommes ont souvent préféré suivre leurs plus bas instincts plutôt que de se référer à l’intelligence des écritures, et aujourd’hui plus que jamais.

 

Positions stratégiques : les pauvres contre les riches.

A bien y regarder, nous partons à 1 contre 100, au moins. C’est une constante quand on lutte pour le bien. Sans la prière à l’Esprit Saint, il va être bien difficile de nous en sortir. Google et son projet transhumaniste tel qu’il est décrit dans l’émission de France Culture un peu plus haut, fait venir à lui les meilleurs cerveaux, les meilleurs scientifiques, dispose de milliards de dollars, et contrôle l’information, si ce n’est de larges parties du Web. A noter qu’il n’est pas étonnant qu’une société de moteur de recherche ait abouti à une telle démarche puisque tout tend chez elle vers le technique surtout dans son processus de construction. Tout y est création d’un nouveau monde à partir de rien, et il doit bien être difficile de se départir du péché d’orgueil dans ce cadre.

Contre nous, il y a aussi tous les sociologues du genre qui ont pollué les universités, tous les réseaux homosexualistes qui ont investi nos institutions, tous les scientifiques sans morale, tous les marchands prêts à vendre des enfants pour un peu de bénéfice, tous les publicitaires qui flattent nos vices pour nous vendre des produits inutiles, tous les politiciens amoraux et j’allais oublier le principal : tous les journalistes médiocres. Et ils sont tous plutôt riches, puissants et bien placés dans nos institutions.

Dans notre camp par contre, il y a des catholiques qui portent des ballons bleus et roses pour protester énergiquement contre un effondrement civilisationnel. Il y a des Evêques qui ont peur de choquer la paranoïa naturelle de quelques personnes à pulsions homosexuelles par une parole un peu trop haute. Il y a les pauvres qu’on a détruit par la télévision et par des lois familiales sanguinaires, pauvres qui n’ont donc, ni pouvoir politique, ni les moyens d’en récupérer un peu. Il y a des familles nombreuses plutôt croyantes qui ne pourraient pas vivre sans le concours de l’Etat, et des écoles privées subventionnées remplies de professeurs adeptes de l’immanence.  Il y a des hommes politiques qui pensent que créer une fédération de parents d’élèves autonome est trop extrémiste à moins qu’ils ne refusent de vouloir travailler avec une Arabe. Il y a aussi des Mohamétans tentés par le djihad, d’autres par la Ouma comme vérité unique, et une autre catégorie qui sont tout simplement heureux de vivre.  Il y a des écologistes tellement névrosés qu’ils sont dans le camp politique transhumaniste tout en aspirant à une société « naturelle ». Il y a donc tout un tas de personnes gentilles, qui ne feraient pas de mal à une mouche, mais qui n’acceptent pas de vivre en cohérence. Seulement le bien doit se défendre avec efficacité s’il veut exister. Et ne pas vouloir les moyens proportionnés à sa victoire quand on cherche le bien, c’est laisser objectivement toute place au mal. Il y a de la lâcheté à cela. Beaucoup de lâcheté cachée derrière une apparence responsable.

 

Noé de Darren Aronofsky et John Logan, une allégorie de la lutte entre transhumanisme et bio-protecteurs.

(pitié, est-ce que Wikipédia pourrait corriger son article sur le film, en particulier dans la partie controverse pour éviter de faire passer une majorité de catholiques pour des niais).
Dans ce film, les auteurs nous racontent une histoire de notre passé pour mieux nous parler de notre présent. De l’épuisement de nos ressources naturelles,  de notre manque de frugalité, de notre avidité, du scientisme et du mal. Le scientisme des hommes a abouti à l’épuisement de la création. L’homme est devenu une plaie pour l’homme et pour la nature. Face à cela, les fils de Seth tentent de vivre en paix, cachés des fils de Caïn qui cherchent à s’étendre à tout prix. Les anges déchus qui ont voulu aider les hommes en désobéissant à Dieu (première explication que je trouve intelligente d’une rébellion à Dieu par des êtres de lumière) vont soutenir une dernière fois les hommes pour les sauver d’eux-mêmes. Une longue chaîne d’espérance va ainsi mener l’humanité à se perpétuer, peut-être pour vivre de manière plus cohérente, nous l’espérons.

 

Mathusalem noé noa

Mathusalem sauve les derniers veilleurs.

 

Veilleur Noé Noah watcher

Le veilleur rebelle conduit la famille de Noé à Mathusalem

Naameh noé noah

Naameh réussit à convaincre Mathusalem

 

Ila noé Noah

Mathusalem redonne sa fécondité à Ila

 

Noé Russel Crow

Noé renonce à interpréter les intentions de Dieu

Les hommes de bien sont donc en minorité dans ce film, mais Dieu décide de la survie de ceux-là seuls, dans le cas où, bien entendu, un peu de miséricorde persisterait en eux.

Les fils de Caïn représentent la part d’humanité (aussi en nous) qui ne voit que par elle-même, qui refuse son Créateur, qui méprise la loi naturelle. Les fils de Seth à l’inverse, choisissent de respecter Dieu jusqu’à éviter de trop interpréter ses intentions.

 

A nous de choisir.

Ces « évolutions » dont on nous dit qu’elles sont inévitables, le sont bien. Mais nous pouvons choisir, nous en avons même le devoir. Les hommes de bien doivent reprendre le flambeau de leurs responsabilités et faire vaincre l’idée d’une humanité qui saura vivre de cohérence dans la religiosité d’une société catholique. Nous appelons donc à nous, tous les catholiques, évidemment, mais aussi parce que Dieu ne semble pas vouloir nous laisser le choix, tous ceux qui sentent l’Esprit Saint à travers leurs désirs de nature, tous les Mohamétans désireux d’accomplir l’œuvre de Dieu, toutes les personnes en général qui ne veulent pas se résumer à leur travail salarié, ou à l’argent qu’ils gagnent, et qui sentent combien nos intérêts individuels sont inaptes à guider la communauté, quand bien même notre liberté de conscience serait inaltérable, tous les Protestants qui refusent que nous suivions un chemin de mort, tous les athées sensibles aux souffrances de ce monde , tous ceux que j’oublie et qui ont un rôle à jouer dans la longue chaîne d’humanité qui a perduré jusqu’ici et qui veut continuer en ce sens. Le combat a commencé, un combat encore plus large que celui contre le mariage lesbien.

 

1 « Les Anglaises vont aux Etats-Unis pour choisir le sexe de leur enfants », Figaro Madame du 22/07/2014.

2 « AMP : les Britaniques consultés sur une FIV à 2. », Le blog de la santé, 21/09/2012.

44 réponses à “Combat bioprotecteurs contre transhumanistes : nous ne sommes pas encore à la hauteur”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "L'immoralité de la "possession" d'armes atomiques sera inscrite dans le catéchisme" AFP du 26/11/2019.

    Une technique qui serait intrinsèquement mauvaise… Comme si ce n'était pas notre liberté en l'occurrence qui était en jeu. A l'image des écologistes gauchistes, le Pape ne semble pas apprécier la liberté dont Dieu nous a pourvus. Les malheurs qui surviendront justifieront encore moins de liberté pour l'homme, alors que la liberté de choisir le bien ou le mal est l'essence du Christianisme. Il n'y a pas de technologies foncièrement mauvaises. Mais il y a des hommes qui le sont. 


  2. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Bonjour M. Durandal,

    Voici un article qui devrait vous plaire. http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/actu/item/22751-la-culture-pop-art-pornographique-par-excellence

    Bonne lecture,

    Cyrus


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      M Cyrus,

      J’ai eu juste un petit soulèvement de coeur quand il n’a pas précisé que le jazz est surtout issu de la tradition française des fanfares. Musicalement, il y a peu à voir entre le jazz et le blues d’ailleurs. Je n’ai jamais compris cette correspondance que comme une volonté gauchiste d’effacer le rôle essentiel joué par l’occident dans l’émergence d’une grande partie des mouvements musicaux modernes. Et vous même pourriez en être vexé puisque ces musiques de fanfares peuvent être rattachées aux musiques orientales de l’ancien temps et des défilés de groupes dans les rues. Tout est à revoir dans l’instruction qui nous a été transmise, ce qui me mène vers votre deuxième commentaire.

      M.D


      1. Avatar de Cyrus
        Cyrus

        Bonsoir M. Durandal,

        Je tiens juste à dire que cet extrait décrit à la perfection mon existence actuelle et future. Je fais partie et continuerai d'ailleurs de faire partie de la cohorte des sans-voix. Voici l'extrait :

        '' Plus vous exprimer un point de vu, plus vous vous exposez à des représailles de toutes sortes. Et, moins vous prenez la parole, plus vous êtes isolé dans la strate des sans-voix, ceux qui n’auront plus droit de cité dans la futur démocratie cybernétique. ''

        J'ajouterais aussi cet extrait de M. Perrier dans son article sur le film Joker (que j'ai vu et beaucoup aimé) : l'article : http://www.lebonnetdespatriotes.net/lbdp/index.php/decrypt/item/22687

        L'extrait sous le titre qui me décrit bien : Purger le mal à défaut de propager l’amour :

        '' On n’y forge plus des citoyens libres, mais des mésadaptés incapables d’assumer la moindre responsabilité puisqu’ils n’ont plus rien à dire. L’atonie et la souffrance des masses produit ses propres bourreaux, sommes-nous tentés d’ajouter. ''

        Un autre extrait : '' Le Joker représente l’ancien citoyen de la cité dévoyée qui s’est mué en mésadapté au gré du process de la marchandisation des corps et des esprits. ''

        Et, enfin : '' Cette fois-ci, contre toute attente, les bourreaux ne sont plus Staline, Hitler ou Mao, mais des inconnus mésadaptés qui, après avoir « pété les plombs », entreprennent de purger l’humanité de son trop-plein d’hypocrisie. Mais, au lieu de s’en prendre aux responsables de leur aliénation, tous les Joker de nos sociétés moribondes se contentent d’abattre les « agneaux silencieux » qui peuplent nos métropoles. Le Joker fait le sale boulot de l’oligarchie en instituant les bains de sang collectifs comme rituel expiatoire du XXIe siècle. ''

        À une différence près, si j'étais un dirigeant politique, je massacrerais les membres de l'oligarchie… en plus des '' agneaux silencieux '' des mégalopoles modernes.

        Je détruirais tout sur mon passage.

        Cordialement,

        Cyrus

         

         

         


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          M Cyrus,

          C’est marrant, ce film m’a bien marqué aussi. Il m’a mis mal à l’aise, tant et si bien que j’ai failli en faire un article. Celui que je viens de lire sur le bonnet des patriotes est très intelligent, et je n’aurai peut-être pas fait mieux, exception faite du point de vue personnel et familial qu’il n’aborde pas. Les hommes aiment à penser les idées, très peu les relations inter-personnelles. Et pourtant qu’elle mine avec la situation familiale du joker. “L’inadapté” est le fruit d’une femme qui ne pouvait avoir d’enfant, qui en a adopté un et qui l’a maltraité notamment en lui faisant croire tout un tas de billevesées sur son père. Le joker se forme à travers ses manques affectifs, et pour la première fois de mémoire, nous avons un film qui fait le lien entre terrorisme et vécu familial. Le joker doit toujours rire, toujours être heureux, pour faire plaisir à sa mère, qui l’a traumatisé en l’attachant au radiateur s’il ne s’exécutait pas. Il est en complet décalage avec le monde à cause d’elle, et se raccroche à une image fantasmatique de père qu’elle lui a jeté en pâture pour éviter d’avoir à se remettre en question et surtout pour lui faire faire ce qu’elle veut. Il va se remettre en accord avec le monde en devenant un assassin (et en tuant sa mère de mémoire). Dans sa situation, il ne peut plus supporter l’hypocrisie sociale, il fait un rejet pourrait-on dire, car le monde a été trop maltraitant avec lui. Il choisit alors la vérité plutôt que l’amour. Il n’a plus de réserves ni d’exemples d’amour autour de lui, et se jette dans une quête éperdue du père. La logique refait surface, mais de manière violente, ce qui arrive tout le temps dans nos banlieues en France en ce moment. Oui, un véritable chef d’oeuvre ce film. Il y a de quoi être jaloux du scénariste et du metteur en scène d’avoir réalisé une telle oeuvre d’art. C’est un monument de notre temps. Car il en dit long sur l’état de notre société et de nos familles.

          M.D


          1. Avatar de Cyrus
            Cyrus

            Bonsoir M. Durandal,

            Je vous invite aussi à regarder cette vidéo où, dans la deuxième partie, se trouve une analyse très intéressante du Joker : https://www.youtube.com/watch?v=d9VgmC9UFos

            Cordialement,

            Cyrus


          2. Avatar de Léonidas Durandal

            M Cyrus,

            Pierre-Yves Rougeron est mon joker à moi ‘:))

            M.D


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    “Le PDG de Netflix pense qu’en 2070, il divertira des robots – avec ses très controversés « Casques Blancs » ?”, RITV du 28/02/2017.

    Divertir des robots avec des humains. Toute une allégorie de l’homme orgueilleux.


  4. Avatar de Léonidas Durandal
  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Jean-Marie Le Méné reçu à TV Liberté suite à la parution de son livre :


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