Devrait-on avoir le droit de cogner sa femme ?

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Dans l’absolu oui. Il n’y a que les civilisations en fin de course et complètement efféminées qui se l’interdisent. Celles-là s’imaginent supérieures à toutes autres, alors qu’elles sont surtout lâches, faibles et peu sûres d’elles-mêmes. Dans ces sociétés qui tentent médiocrement de survivre, la violence symbolique est d’abord transférée à l’État. Cette prérogative est donc soustraite à l’homme. Puis quand la société, qui est femme, prend définitivement le dessus sur tous les individus, les femmes folles finissent par avoir toute licence pour tyranniser leur entourage dans l’impunité la plus complète. Car l’Etat, déjà incapable de s’occuper de lui-même, n’a aucun moyen de juger d’une situation intime. Il doit agir de manière binaire pour se simplifier la tâche : la femme est faible physiquement, elle est donc innocente lors d’une scène de violences conjugales. C’est ignorer la complexité des rapports humains, les provocations, les perversions, les faiblesses morales, les demandes d’autorité appuyées de la part des femmes.

L’absence de vraie condamnation pour les meurtres commis par Jacqueline Sauvage ou Alexandra Lange sur leurs compagnons, la relaxe de Dominique Cottrez après 4 ans de prison pour l’assassinat de 8 enfants ne sont que la partie émergée de l’iceberg. Sous l’eau, des millions d’hommes peuvent se faire tyranniser en France sans avoir le droit de réagir. Voilà ce que signifie l’impossibilité pratique de donner une bonne raclée à sa femme : la licence la plus complète. Beaucoup d’hommes sont victimes de ces femmes, tout comme bon nombre de femmes d’ailleurs. Car celles qui martyrisent leur mari, martyrisent aussi leurs enfants, entre autre.

Face à l’abus, ces millions de victimes devraient réagir me direz-vous. Cependant, elles ne le peuvent pas. Souvent, elles n’ont même pas conscience de la situation qui est la leur. Car l’abus d’une femme a ceci de caractéristique qu’il peut passer inaperçu assez facilement. Les victimes d’une mère, encore sous l’influence de la mère, voient toujours le monde à travers elle. Il faut entendre le témoignage de ces enfants victimes d’inceste maternel pour comprendre : tant que vous restez dans le giron de celle qui vous a donné la vie, vous êtes incapable de voir le monde par vos propres yeux. Plus vous restez dans son giron, plus vous êtes aveugle.

 

 

Ainsi, un homme marié peut-il être encore engoncé dans ses illusions et ne devoir son salut qu’au bon comportement de sa femme. Mais que se passe-t-il quand ce n’est plus le cas, quand l’abus qui a généré l’abus s’est propagé ? La réponse est simple : plus rien ne peut l’empêcher.

 

               Battre sa femme, une bonne solution ?

En théorie, oui. Mais en pratique, le monde n’est pas si simple. Si une femme remet en cause votre autorité de mari, qu’elle commet ce sacrilège, il vous faut vous opposer à elle par tous les moyens, tout en gardant votre calme. Cependant, si cela ne fonctionne pas, dîtes-vous bien qu’elle ne vous respecte pas et qu’elle ne vous respectera probablement jamais. Le problème vient d’ailleurs. La battre n’y changera rien. Au contraire, vous lui rendrez service en donnant des limites à son hystérie, cependant que vous vous salirez. Elle ne sortira jamais des rapports de domination qui la motivent. A ses yeux vous resterez un homme comme les autres, médiocre, qui la bat parce qu’il est un impuissant, finalement rassurant parce que manipulable.

Ce genre de femmes pourra changer 50 fois d’hommes, à chaque fois, bizarrement, elles se feront battre par leur nouveau compagnon, tandis que les dits hommes étaient considérés comme des agneaux auparavant (voir l’historique de Johnny Hallyday).

 

(extrait de “Sleepers”)

Si très souvent, ces femmes reviennent vers celui qui la bat, la raison en est simple : elles ne veulent pas lâcher leur victime si facilement. Elles savent qu’il leur faudra du temps pour retrouver une bonne relation toxique et polluer un autre homme, et comme tout à chacun, elles préfèrent « un tiens que deux tu l’auras ». Il est à souligner que ces femmes là ne sont pas les pires. Celles qui choisissent un partenaire pour pouvoir l’humilier à loisir, n’ont même pas le fantasme de s’élever un tout petit peu dans l’échelle de l’humanité…  

Certains hommes, des sortes de saints modernes, choisissent d’entamer un long travail de rééducation de leurs compagnes au lieu de les quitter. Avec l’expérience, je reste sceptique quant à ce genre de solution : si une femme accepte votre autorité simplement parce que vous vous affirmez verbalement, alors il n’y a pas de problème avec cette femme, et les difficultés viennent plutôt de vous s’il y en a. Mais si elle est malade, elle doit aller se faire soigner. Et si elle refuse les soins psychothérapiques, je crois qu’il est préférable de la fuir. Ce ne sera pas très catholique de la laisser seule à sa maladie, ou d’éviter de la frapper juste avant de partir, mais ce sera un moindre mal. Pour vous déculpabiliser, dîtes-vous que la société vous sanctionnera si vous vous laissez aller à la redresser, ne serait-ce qu’une fois pour lui rendre service. Car sachant son pouvoir, cette femme se servira très certainement des autorités judiciaires pour se venger, non pas d’avoir été frappée, elle n’attendait que ça, mais surtout d’avoir été abandonnée et d’avoir perdu son contrôle sur vous. Elle portera plainte, et la justice féminisée lui donnera raison.

En général, les provocations à la violence d’une femme servent à justifier une rupture qu’elle est incapable d’assumer. Elle se sent exister quand elle peut vous rabaisser et vous violenter. Vous n’existez plus, et cela la contente, quelle que soit votre réaction. Il est vrai que faire le bien, c’est se sacrifier.  Mais à mon avis, pas en alimentant le tonneau des Danaïdes. 

Bien entendu, il existe des hommes tyranniques, violeurs, manipulateurs. Mais à leur décharge, il faut dire qu’ils ont très souvent été éduqués par une mère abusive. Leur violence vient d’une révolte inappropriée.

 

Pour résumer, battre sa femme, c’est se soumettre à sa maladie, ou bien, exercer une tyrannie.

Dès lors, pourquoi j’affirme que nous devrions avoir ce droit en tant qu’hommes ?

 

              L’autorité symbolique

Quand l’autorité d’un homme est assise institutionnellement, elle est moins susceptible d’être remise en cause par des femmes instables mais toutes puissantes. Ainsi les rapports intimes en sont-ils pacifiés car ce modeste pouvoir physique, appuyé par la société,  commence à faire contrepoids à la toute puissance féminine.

La dépossession des hommes de toute autorité symbolique particulière, vient d’une mauvaise hypothèse de départ concernant les relations hommes femmes. Dans un monde féminisé, l’idée se propage que la pauvre femme est faible, qu’elle a besoin de tout l’appui de la société face à l’horrible pouvoir masculin. En vérité, la femme est en position de supériorité naturelle par rapport à l’homme. Dès le plus jeune âge, ses enfants ont envie de la défendre face au père. Les hommes qui sont encore sous l’influence de leur mère font de même. Ainsi, dans la société se constitue-t-il toujours une vaste majorité en faveur des femmes, composée des femmes-elles-mêmes, mais aussi de tous ces hommes qui veulent défendre la veuve et l’orphelin, plus ou moins machos.

 

Le principe masculin, est le principe fragile par essence. Il n’est ni machiste, ni tyrannique, ni perméable à ce que le beau sexe a de faux. Il est rare en vérité, et promu plus souvent par des femmes lucides quant à leurs limites, que par des hommes dont le regard d’enfant dépend de leurs mères. Sinon, à mon avis, il aurait disparu depuis longtemps. Notre perméabilité aux femmes explique d’ailleurs comment nous en sommes arrivés à innocenter des femmes clairement coupables d’assassinat, et aussi comment la civilisation a toujours tendance à revenir à une forme de tribalité. Quand la féminisation s’est étendue en tout et pour tout, quand ce pouvoir despotique n’est contrebalancé par aucune institution, le n’importe quoi redevient la norme. 

 

               L’absence d’autorité débouche sur la recherche violente d’une autorité légitime, ou tyrannique

Si sans réfléchir, une société condamne les hommes en cas de violences conjugales, ceci afin de les domestiquer, elle sape l’autorité masculine et provoque par là-même, une augmentation de ces violences conjugales. Voilà pourquoi, plus le nombre de lois protégeant spécifiquement les femmes augmentent, plus les violences contre les femmes augmentent. Les féministes sont directement responsables de cette augmentation en ce qu’elles sapent la parole masculine. Car non reconnus, les hommes ne peuvent exercer aucune autorité, qu’elle soit légitime ou pas. Et dès lors, la femme, incapable de régir le monde sans un principe d’altérité, exerce sa toute puissance sans en être corrigée. Elle divague, devient tyrannique ou inconséquente, surtout inapte à juger un comportement masculin, qu’il soit légitime ou oppressif, les considérant à parts égales, s’y pliant ou le combattant de toutes ses forces de manière aléatoire.

Ainsi, les hommes sont toujours appelés, de tout temps, à imposer une autorité aux femmes pour que la société s’élève un peu. Les femmes ne peuvent pas tout, et il revient aux hommes de les faire revenir à la raison. Dans ce cas, comme dit l’adage populaire “l’injustice plutôt que le chaos”. Cette nécessité de réagir découle d’une hystérie féministe qui suit de près le laisser-aller des hommes, les deux s’entretenant, et débouchant sur des vécus sociétaux ubuesques. Il n’y a qu’à songer à la chasse à l’homme actuelle, ou à l’incompétence féminine qui n’est jamais sanctionnée, capable à elle seule de faire sombrer la société la plus riche qui soit.

Si l’homme ne réagit pas, la société s’effondre, et la femme finit par vendre son cul à d’autres vainqueurs, Nègres, Mohamétans, Teutons, n’importe qui en vérité qui puisse la guérir un tant soi peu de sa toute puissance ou la lui faire accepter fantasmatiquement. L’étranger peut ainsi jouer un rôle ambivalent.

Tout comme le Rital d’avant, le Mohamétan, aura pour vocation chez la femme hystérique de protéger la mère de la femme qui est en elle, mais aussi de la protéger de la toute puissance des autres femmes. Que les Mohamétans soient totalement perméables au culte de la déesse mère, cela n’a aucune importance. Au moins, la femme sera contenue, et la petite fille respectée.

A l’inverse, la féministe se servira du Nègre pour persister dans l’hystérie la plus complète, cherchant à endosser tous les rôles et s’étonnant que la relation ne soit pas satisfaisante.

Enfin, la collaboration poussée de beaucoup de Françaises avenantes, durant la seconde guerre mondiale, aura été l’occasion de consacrer les représentants d’une civilisation supérieure à la nôtre, une tyrannie installée par les femmes allemandes et qui aura su prendre des décisions institutionnelles payantes, alors que nous nous vautrions dans l’idéologie féminisée du Front Populaire de l’époque. 

 

                La possibilité de séparation de corps

Faire refluer l’Etat des guerres intimes, pacifierait notre société, sans laisser les femmes dénuées de moyens. En Islam, le divorce est possible. Chez les catholiques, la séparation de corps sert de soupape de sécurité. Une femme qui ne veut pas être battue, a toujours la possibilité de s’enfuir. Dans notre société, quand elle part avec pertes et fracas, telle une tornade, elle emporte avec elle la maison, les enfants, et l’argent. C’est déjà pas mal ? La société féminisée fait payer la facture à l’homme, quelques que soient ses responsabilités dans la rupture. Dès lors pourquoi vouloir l’annihiler en sus par une condamnation pénale inique ?

Avant qu’une femme n’ait été laissée à l’abandon, il a fallu que neuf hommes le soient, les chiffres de SDFs en témoignant. En somme, la société est toujours organisée pour protéger spécifiquement les femmes, toutes les sociétés sans exception, car c’est une condition de survie de base pour elles. Les problèmes de couples ne viennent presque jamais d’un déficit de protection des femmes, mais d’un déficit d’autorité légitime des hommes, qu’ils ne soient pas à la hauteur, ou que cette autorité leur ait été contestée. Afin de pacifier la société, il vaudrait mieux travailler à légitimer cette autorité, plutôt que de s’acharner à la détruire comme s’y emploient les féministes, sauf à vouloir continuer dans le chaos et la destruction actuels (“Malgré l’immigration, la baisse de la natalité s’accentue dangereusement en France“).

67 réponses à “Devrait-on avoir le droit de cogner sa femme ?”


  1. Avatar de
    Anonyme

    Même si elle ne porte pas plainte contre vous, il  y a tant de moyens de nous détruire si on les frappe. Mon ex m'a poussé à bout un jour et je l'ai frappé. Elle a brutalement coupé les ponts et a sali ma réputation dans notre cercle. 7 ans de relation et elle n'a jamais voulu s'expliquer ou accepté même de me dire bonjour depuis. 

     


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      C’est quand même mieux que si vous étiez resté avec une telle conne ?


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "Un pensionnaire de la Comédie-Française jugé pour «violences» sur une ex-petite amie" AFP du 09/10/2020.

    Elle est en train de le détruire minutieusement avec l'assentiment des lois. 


  3. Avatar de Hancel
    Hancel

    Une vidéo révélatrice. Dans un supermarché néerlandais, un client et une cliente en viennent aux mains pour une histoire de non respect de la distance de sécurité en cette période de pandémie. Une poignée de secondes plus tard, déboulent deux types qui se jettent non sur la femme mais sur l’homme vu comme le méchant dans l’affaire :

    https://www.youtube.com/watch?v=nMyVUBueR-4&feature=youtu.be


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Non, cet homme essaie de tricher, de ne pas respecter les règles en passant devant tout le monde. C’est un négro féminisé de banlieue. Et le service de l’ordre a bien raison d’intervenir en sa défaveur. Notez toutefois, qu’il a été provoquer l’homme 2 rangs devant, et qu’il ne s’est pas attaqué à la femme devant lui. Il cherche le père, la limite, par provocation. Et c’est un de ses copains qui vient le chercher, et le seul qu’il écoute. Typique.


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    "A Paris, les manifestantes chargées par les forces de l’ordre lors de la « Marche féministe »" L'Obs du 08/03/2020.

    Elles appellent cela des violences policières ! ! ! On croit rêver. Les policiers sont particulièrement gentils avec elles et face à leurs provocations. Elles attendent de se faire taper dessus, mais on voit bien que les policiers sont terrorisés à l'idée d'être considérés comme des agresseurs. Du coup, ni les unes, ni les autres n'obtiennent ce qu'ils veulent. Ridicule. Franchement, elles ne savent plus à qui s'adresser pour obtenir une bonne rouste. 


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    "Christophe Dettinger, le « boxeur » de gendarmes, en garde à vue pour violences conjugales" L'Obs du 08/01/2020.

    Ohlala, leur couple n'a pas résisté à la thérapie de choc socialiste devant la justice. Mais quelle surprise ! Voilà désormais madame désarçonnée, qui ne sait plus si son homme est légitime ou pas, et qui par contre a tout le soutien de la société pour le plumer. Mais que va-t-il se passer ????


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    "Homme battu : «Je veux voir mon fils !», crie Jevin, désespéré " Defimedia du 27/10/2019*.

    Ce genre de cas n'arriverait presque jamais, et je dis bien presque jamais, si l'homme avait le droit de donner quelques bonnes roustes à sa compagne. 


  7. Avatar de Léonidas Durandal

    Dommage qu'il ne l'ait pas abattue d'une grande tarte dans la tronche :

     


  8. Avatar de Léonidas Durandal

    "En Russie, «s’il te bat, c’est qu’il t’aime»" Figaro du 13/12/2019.

    L'inverse est aussi vrai : une femme qui cherche à se faire battre a l'impression d'être aimée. 


  9. Avatar de Léonidas Durandal

    "Mort de Marie Trintignant: les images de l’audition de Bertrand Cantat diffusées par M6" Figaro du 22/11/2019.

    En dénonçant les violences conjugales, l'oligarchie française essaie de donner tout pouvoir à des femmes folles qui humilient leurs compagnons et les provoquent à la violence.


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