Femmes libérées : « Je n’ai plus besoin du féminisme parce que… »
Publié le 21 juillet 2014 par Léonidas Durandal à 10 h 52 min
de pouvoir sans précédent. Aujourd’hui que le féminisme a échoué, nous ne pouvons revenir à un état antérieur. Il va donc nous falloir détailler les mécanismes humains qui ont pu donner tant de pouvoir à des femmes, comment celles-là ont naturellement outrepassé toutes leurs prérogatives, et quel pourrait être la place de chacun dans une société future plus harmonieuse et qui saura rester tolérante. A cette fin, il va nous falloir nous armer de lucidité et peut-être pour la première fois de l’histoire de l’humanité, regarder collectivement nos femmes dans les yeux sans faux-semblants tout en réussissant à leur garder notre amour. Voilà tout au moins, le chemin que je me propose d’accomplir avec tous les hommes qui auront conscience de l’importance de ces enjeux, et qui sauront s’armer d’un esprit tout autant positif que pragmatique et ferme.
Extrait : « Cette propension à l’excès, au choc frontal, au jumelage avec un multiculturalisme idéalisé, est pain-bénit pour les antiféministes de tous crins, en particulier ceux issus d’une frange de l’extrême-droite qui rêveraient de pouvoir restreindre le droit à l’IVG ou à la contraception. Un jour viendra où l’on ne saura plus lequel des deux camps est le moins rebutant. À force de regarder l’abîme… »
La menace est à peine voilée genre : « si vous ne respectez pas notre volonté de femmes, nous vous retirons notre caution, et nous ferons explosé vos associations. Nous sommes prêtes à soutenir l’antiféminisme si vous ne changez pas de comportement. »
Il y a pire que les associations féministes : les femmes qui se servent du féminisme.
« Cologne : quand le féminisme fait le lit du communautarisme », Figaro du 23/01/2016.
Extrait :
« Cette propension à l’excès, au choc frontal, au jumelage avec un multiculturalisme idéalisé, est pain-bénit pour les antiféministes de tous crins, en particulier ceux issus d’une frange de l’extrême-droite qui rêveraient de pouvoir restreindre le droit à l’IVG ou à la contraception. Un jour viendra où l’on ne saura plus lequel des deux camps est le moins rebutant. À force de regarder l’abîme… »
La menace est à peine voilée genre : « si vous ne respectez pas notre volonté de femmes, nous vous retirons notre caution, et nous ferons explosé vos associations. Nous sommes prêtes à soutenir l’antiféminisme si vous ne changez pas de comportement. »
Il y a pire que les associations féministes : les femmes qui se servent du féminisme.