Il nous faut un dictateur

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Voilà une phrase que je n’aurais pas imaginé prononcer, et qui est toujours aux antipodes de mes croyances.

Sauf dans ma jeunesse, je n’ai jamais cru qu’un système puisse surpasser tous les autres, en tout temps, en tout lieu. L’efficacité des systèmes politiques est relative à une situation historique particulière, voire aux défauts du système qui l’a précédé comme l’a si bien illustré Platon. Et notre époque est une époque de corruption complète de la démocratie. Même aux USA. Chez eux, les institutions sont encore susceptibles de jouer leur rôle en s’attaquant à la fraude. Chez nous, je crois que la corruption est trop avancée. Il est donc temps de changer de cadre politique.

Car j’ai beau être certain qu’un peuple décide du niveau de ses dirigeants, nous n’y arriverons pas en France sans administrer une bonne volée de bois vert à tous les féminisés qui ont monopolisé les pouvoirs institutionnels au nom de leur sainte religion républicaine. Nous leur devons 200 ans de guerres et d’échecs successifs, et surtout, de mépris de notre peuple, jusqu’à la volonté désormais de le détruire. En quelque sorte, nous en sommes arrivés au bout. Et il va falloir nous faire respecter si nous voulons survivre. 

Les journaux ? Achetés par d’autres que leurs lecteurs. L’union européenne ? Une coterie de bureaucrates marxistes. Notre administration ? Des comptables directifs et sans imagination. Notre économie ? Socialisée pour mieux répandre la guerre sur terre. Notre clergé ? Rallié et tolérant face au démon qui vit en son sein. Lâche. Notre justice ? En roue libre. Nos hommes politiques ? Corrompus, parfois par des nations étrangères. Notre école ? Des politologues méprisants des parents, repliés sur leur situation personnelle. Notre système de santé ? Un cloaque qui a réussi à mêler gabegie et inefficacité, dans un contexte perclus de conflits d’intérêts. Notre police ? Défenderesse du pouvoir et non plus du peuple. Notre armée ? Dévirilisée. 

Comme d’habitude, notre nation a été incapable de se réformer par le jeu institutionnel. Comme d’habitude, la France va vers le chaos et attend son homme providentiel parce que ses chefs ont oublié qu’ils étaient là pour servir, et que son peuple féminisé a oublié qu’il était là pour se faire obéir. 

Partout où nous tournons nos regards, le mensonge fait œuvre de loi. Les lois se sont multipliées. Et leur multiplication a abouti au vice. Plus rien n’est cohérent car le droit du plus fort règne en maître. Notre intimité même est menacée, j’y reviendrai dans un prochain article. Les femmes ont imposé leur système de contrôle des personnes au nom du respect des individus, des groupes, des minorités. Et peu d’hommes sont capables de le comprendre. Ils adhèrent à leur propre auto-destruction. La gangrène de la corruption des mœurs et de la société, s’est étendue dans presque toutes les familles et a légitimé l’élection de politiques séducteurs, remplaçants des pères de famille. Exception faite dans les groupes qui ont rejeté violemment toute idée de respect des règles sociales françaises, mohamétans en tête. Chaque jour qui passe nous montre l’intérêt que nous avons à devenir asociaux. Malgré nous, il nous faut renoncer à la civilisation au fur et à mesure que le socialisme progresse, et que la ruche étend son emprise sur les individus.

Le socialisme prétend redistribuer les fruits du capitalisme. En vérité, il prive les citoyens d’autonomie, confisque le pouvoir politique, et encourage l’infantilisation, tout autant que la fragilité des individus. Il fantasme sur un paradis perdu communiste par jalousie (qu’il appelle égalité). Et au bord de la rupture, il est en passe de céder la place à une autre forme de socialisme, islamique celui-là, parce qu’il n’acceptera jamais d’avoir eu tort face à son ennemi historique : le catholicisme.

Français, dans cette situation, il nous faut un dictateur. Et je suis celui qu’il vous faut. Par le passé, nous avons loupé un président de la république providentiel en la personne de Jean-Marie Le Pen, cet homme qui nous aurait sorti de notre merde en douceur, par le biais des élections. Ces temps sont révolus parce que depuis, nous avons choisi trop de corrompus mielleux. Nous nous sommes préservés de trop de nécessaires conflits pour nous éviter un bouleversement complet. Nous avons été jusqu’à nous priver de libertés pour ce faire. L’asservissement est désormais quotidien. La guerre est à nos portes.  L’état de droit, un vague souvenir. Reste la peur qui nous coupe de toute réflexion ou action virile. En attendant godot. 

Il est donc temps de remettre les femmes à une juste place, tout comme les hommes d’ailleurs, tout comme les immigrés, tout comme chacun d’entre nous, selon ce que nous sommes. Et je crois que je suis le mieux à même de mener à bien cette mission de différenciation, délicate et virile parce que je me suis élevé spirituellement et intellectuellement au-dessus du commun, malgré la chape de plomb imposée par les femmes de notre pays. Je le dis d’ailleurs sans aucune prétention. Si je n’y arrive pas, je doute qu’aucun autre puisse y arriver en France. C’est ainsi. Telle était ma voie. J’ai réussi mieux que quiconque. Je me suis élevé au-dessus de tout ce que ce pays possède d’intellectuels. Je suis sans conteste le meilleur, et de loin. Au peuple français de l’admettre. Tout simplement. S’il réussit à se départir de son orgueil et de sa jalousie. 

Pour tout vous dire, je n’ai aucune envie de remplir cette fonction. Celle-ci me dégoûte profondément. J’aurais tant préféré que ce peuple s’élève au-dessus de son servage. Cependant, il s’est privé de ce moyen en renonçant à la foi catholique. Je ne le vois que trop désormais. Engoncé dans sa graisse et son manque de pratique religieuse, il s’est putréfie dans le marigot républicain. Et nous pourrissons tous à vrai dire, raison pour laquelle je me dois de nous offrir une porte de sortie, pour nous aider à nous délivrer de cette culture diabolique. La miséricorde envers le prochain est le second devoir d’un catholique. Peut-être qu’en consacrant un peu de temps à notre libération, sauverai-je mon âme du feu éternel ? 

Bien entendu, si vous me lisez déjà, vous savez que ma réflexion s’étend bien au-delà de la question de l’antiféminisme. J’ai volontairement limité mon champ d’étude car je savais qu’en abattant le féminisme, j’avais une chance de détruire ce système démoniaque dans son ensemble. Il est désormais trop tard là aussi. Le féminisme a conquis notre université, nos médias, et le pire : nos esprits et nos lois. Il est cet état d’esprit régressif et tribal, communiste, déconstructiviste, situationniste qui nous guide. Songez d’ailleurs que le nazisme est interdit en France, mais que l’idéologie marxiste dont ces pensées découlent et qui a fait bien plus de morts dans l’histoire humaine, ne l’est pas, elle, interdite. Il est temps de réparer cette grossière erreur. Tout comme il est temps de renoncer définitivement au socialisme au vu de sa nullité jamais démentie, national socialisme inclus.

De nos jours, l’influence du socialisme/marxisme est totale dans notre pays.  A ce point que ma possibilité de pouvoir diffuser largement mes idées s’est réduite à la portion congrue tant ces démons ont réussi à imposer leurs vues totalitaires sur les réseaux sociaux et ailleurs. La parole est filtrée et il ne vous arrive que le moins choquant aux oreilles. Vous avez dû vous habituer à une sorte de mièvrerie intellectuelle. Certains d’entre vous ont fini par croire qu’elle était la seule autorisée, car raisonnable ou praticable. Officiellement, il vous est d’ailleurs défendu d’aller au-delà pour votre propre bien et souvent, vous avez souscrit à cette infantilisation. Sur ce point, la sanction sociale ne s’est pas faite attendre si vous avez osé faire preuve d’indépendance d’esprit. Les petits kapos marxistes/féminisés veillent au grain, bien au-delà de la fonction publique, jusque dans votre intimité. Ils défendent le bon ordre, et se sentent sûr d’eux car ils se savent soutenus par le troupeau.

Comme pour nos intellectuels, seule la réflexion dans le carcan vous est autorisée, et vous avez fini, je le vois bien dans mes relations sociales, par être interdits face à l’idée de devoir sortir du marais conformiste républicain. Mais cela n’est pas penser, pas plus qu’avancer. Apeurés à l’idée de prendre le moindre risque, vous ne commettez aucun échec, et vous ne connaissez aucune réussite non plus, et nous subissons tous ensemble, une longue décadence.

Chaque jour vous démontre pourtant la nullité de ce cadre intellectuel. Mais qu’importe. Vous vous dîtes que le groupe doit avoir raison et vous vous sentez impuissant à lui faire face. Vous attendez qu’il se réveille. Ou pire, vous vous dîtes qu’il faut encore plus de républicanisme, encore plus de socialisme, pour faire réussir une république et un socialisme qui ont déjà largement échoué. Innocents… Vous allez attendre longtemps, et nous allons descendre bien bas en attendant. Au contraire, c’est à nous, individuellement, de changer le monde, de nous changer, d’évoluer pour le faire évoluer, jusqu’à penser la dictature s’il le faut. 

Car il est temps de déloger les récalcitrants de leurs positions de manière violente. Ils s’accrocheront fermement à leur rocher tant que personne ne leur bottera les fesses. Au contraire, de nos jours, tout les pousse à continuer dans leur parasitisme, puisque l’hôte l’accepte. L’hôte, c’est la France. Le parasite, c’est le socialisme. La France, c’est vous, un peuple capable de produire richesses sur richesses quand il n’est pas entravé par l’état. Brisez vos chaînes et devenez maîtres de votre destin. Ou bien subissez le joug de votre lâcheté. 

J’ai, bien entendu, un projet. Il me faudra 7 à 10 ans pour le mettre en œuvre et revenir à des pratiques démocratiques. Je sais trop que garder le pouvoir, et instaurer une tyrannie, ce serait échouer dans les vues élevées que je me suis données. Je n’ai pas l’âme d’un tribal. Je sais aussi que tous ces dictateurs qui ont voulu confondre le bonheur de leur peuple et leur propre pouvoir, ont stérilisé leur nation. Que reste-t-il de l’Espagne de Franco ou du Portugal de Salazar ? Deux territoires remis pieds et poings liés au socialisme. Ce serait pour moi, le pire des échecs. Même les régimes qui sortent d’une dictature socialiste n’ont qu’une envie en tête : faire le contraire. Non, il nous faut exercer la démocratie en en ayant une idée, faire nos erreurs, apprendre, avoir les moyens de choisir, entre le diable et le projet de Dieu. Dans notre société, seul le projet du diable a toute licence. Il faut laisser une chance à Dieu d’être choisi. Tel est mon horizon. A vous de faire ce qu’il faut pour que je me donne cette peine. A vous de reconquérir le pouvoir en vous donnant un dictateur qui réformera de fond en comble les institutions législatives, exécutives et judiciaires de ce pays, pour qu’elles prennent le moins de place possible dans vos vies. 

25 réponses à “Il nous faut un dictateur”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "La vérité sur les conflits d'intérêt" IHU du Marseilles du 15/12/2020.


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Les non spécialistes qui donnent des leçons aux spécialistes d'infectiologie", IHU de Marseilles du ???? (probablement autour du 15/12/2020)


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Comment l'Etat profond a vendu la Sécu à Wall Street – Politique & Eco n°279 avec Eloïse Benhammou" du 07/12/2020.

    Il me semble parfaitement inadmissible que cette femme n'ait pas la bague au doigt. Son compagnon est un mufle. 


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Le b.a.-ba de Béa Bach #10 – Confinement, EHPAD, masque chez l’enfant, vaccin ARN !" ER du 30/11/2020. 


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "L'espion qui nous veut du bien ? Marc Eichinger [ En direct ]" Thinkerview du  01/12/2020


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Alexandre Langlois : Pourquoi je quitte la Police" L'humanité du 28/11/2020.

    Voilà quelqu’un qui ferait un très bon ministre de l’intérieur.


  7. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Cher Monsieur Durandal,

    National-socialiste…et défenseur de la restauration catholique… et de la restauration monarchique… et de la souveraineté nationale. 

    J'aime votre réponse. 

    Vous connaissez déjà mes arguments, notamment fiscaux, quant à la possibilité de mettre en place ma version, fortement inspirée par Jaurès, du socialisme. 

    Cela étant, mon impression est que si je dirigeais la France, ce pays que j'aime tant, vous seriez globalement satisfait autant de mon administration que de ma vision des choses. Je pense aussi que vous seriez globalement plus heureux de vivre en France, même à Paris. Paris changerait, pour le mieux. Si en tant que dirigeant, je consultais encore votre blog, sachant votre bonne foi, vous ne seriez pas si critique à mon égard (vous n'êtes jamais très critique à mon égard), mais n'hésiteriez pas à souligner mes faiblesses, mes erreurs, mes limites et ce qui peut être fait pour améliorer les choses. N'oubliez jamais que nous avons plus en commun que de choses nous divisant.

    Enfin, je me réjoui de savoir que votre observation de la situation française combinée à mes réflexions sur le pouvoir vous ont amené vers ma vision des choses, à quelques différences près. Vous semblez vouloir maintenir la République française, mais en dictateur. Vous envisagez votre temps en politique entre 5 et 7 ans et non 25 ans comme je l'envisage. Enfin, vous voulez réformer le pays pour améliorer sa démocratie alors que je veux ramener une monarchie de droit divin et un système de succession fondé soit sur la famille, comme autrefois, ou les mérites d'individus exceptionnels acceptant la charge de roi. Sinon, à part cela, je vous ai manifestement fortement influencé et vous vous êtes rangé à ma vision des choses.

    Vous savez, M. Durandal, vous m'avez beaucoup influencé dans ma vie, toujours pour le mieux. Je me suis parfois demandé si je vous ai influencé d'une quelconque manière. Cet excellent texte est la première preuve flagrante que j'ai réussi. J'en suis heureux. J'en suis également heureux pour vous et la France.

    Souvenez-vous de la fréquence avec laquelle je vous disais '' Votre Majesté ''. Ce n'était pas sans raison. Vous avez un destin, si les étoiles s'alignent. Si Dieu soutient la France, alors vous serez son lieutenant.

    Vous avez mon soutien indéfectible et mon affection la plus profonde.

    Je vous aime toujours autant.

    Respectueusement,

    Cyrus

    P.S. Je viens de revoir en DVD le premier James Bond de Daniel Craig, sorti en 2006, intitulé Casino Royale. Ça m'a fait, comme à chaque fois, passer un excellent moment, une excellente soirée et m'a rappelé pourquoi c'était et c'est toujours mon James Bond préféré de Daniel Craig et l'un des meilleurs jamais réalisé.


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      M Cyrus,

      “Je pense aussi que vous seriez globalement plus heureux de vivre en France, même à Paris. Paris changerait, pour le mieux. “
      Comme je serais plus heureux sous un régime islamiste qui s’attaquerait à la foi catholique de manière ouverte. Au moins auriai-je l’occasion de me battre avec brio au lieu de cultiver mon ermitage.

      “Enfin, je me réjoui de savoir que votre observation de la situation française combinée à mes réflexions sur le pouvoir vous ont amené vers ma vision des choses, à quelques différences près.”
      J’y suis venu par la force des choses. Parce que personne ne peut imposer ses idées en dehors d’une prise en compte des circonstances. D’ailleurs sur ce point :

      “Vous savez, M. Durandal, vous m’avez beaucoup influencé dans ma vie, toujours pour le mieux.”
      Si j’ai changé d’idées, vous n’avez pas bougé d’un iota M Cyrus. Je ne vous ai donc influencé en rien du tout, absolument rien du tout. Mais c’est le propre d’un socialiste je suppose.

      Enfin, en bon socialiste iranien, vous parlez d’alignement des étoiles pour que ça bouge en France. et vous avez raison, il faut de la chance, ou l’aide de Dieu pour accomplir certaines tâches. D’autres y verront un signe des astres. Cependant, pour moi, il est encore plus important que les individus soient évangélisés et exercent leur responsabilité individuelle pour faire bouger le monde. Sinon, comme je le précise dans l’article, nous en reviendrons aux mêmes travers historiques. Jésus nous rend responsables de notre destin. Voilà en quoi je déteste le socialisme car il asservit les peuples en les mettant face à leur complète impuissance personnelle. Il favorise la faiblesse en eux et leur fait accepter l’injustice.

      M.D


      1. Avatar de Cyrus
        Cyrus

        Bonjour M. Durandal,

        Vous m'avez influencé en-dehors du domaine de l'économie politique. Vous ne le constatez pas, mais vous m'avez influencé. 

        Je suis surpris que vous me voyiez comme un islamiste voulant s'attaquer à la foi catholique, alors que je souhaite la restaurer. M'enfin…

        Vous avez vous-même écrit qu'entre le califat islamique et la république, vous choisiriez le califat islamique. Alors, pourquoi parler de combat ? 

        Quant à votre combativité avec brio, ma question est simple : avez-vous au moins fait votre service militaire pour savoir vous battre ? J'espère que ce n'est pas un caractère bravache qui se paie de mots qui s'affirme là, hein ?

        Quant au système politique, votre orgueil français vous interdit de le reconnaître (vous m'avez vous-même dit que vous étiez orgueilleux), mais je sais que je vous ai influencé, car je vous ai longtemps précédé. Comme le disent les Américains : '' credit is due where credit is due ''. 

        En conclusion, la vie humaine est une éternelle souffrance que seule la mort termine. Je ne crois pas en la justice sur Terre. J'ai une conception cyclique de la chose civilisationnelle, avec des hauts et des bas sous différentes morphologies politiques. La justice, paradoxalement, a commencé à exister et s'est rendu elle-même impossible dès l'instant où Adam et Ève ont mordu dans le fruit interdit. 

        Cordialement,

        Cyrus

        P.S. Je suis l'exemple même d'une responsabilité individuelle qui n'a trouvé chez les Québécois que l'écho d'une envie de mort. J'ai fait ce que j'ai pu, mais j'ai la modestie d'admettre mes limites et de savoir quand m'arrêter. 

         


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          M Cyrus,

          Il fallait comprendre :

          Je serais globalement plus heureux de vivre sous votre régime, mais aussi, je serais plus heureux sous un régime islamiste qui s’attaquerait à la foi catholique de manière ouverte.

          Si vous voulez que je vous dise que vous m’avez influencé, cela ne me pose pas de problème. Vous m’avez fait réfléchir sur cette question de régime politique.

          M.D


  8. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Bonsoir M. Durandal,

    Je suis disponible.

    Cordialement,

    Cyrus


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      M Cyrus,

      Vous êtes socialiste.

      M.D


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