Noli vinci a malo…

 

Introduction :

nous abattrons le cancer féministe.

Il
me semble parfois qu’il n’était pas si loin ce temps où
hommes et femmes vivaient des relations équilibrées, où
les hommes et les femmes avaient des enfants ensemble et fondaient
des familles plutôt stables, où l’équilibre
régnait à défaut d’une harmonie systématique,
où chacun travaillait pour sa famille et non pour devenir
indépendant, où les gens étaient différents
avant d’être égaux, et égaux avant d’être
aliénés.

Qui
m’a volé ce monde ?

Qui
a sali mes grands-mères ?

Qui
en a fait des esclaves ? Qui a fait de ces femmes au foyer si
chaleureuses, si épanouies, si pleines de caractère des
images de serfs et qui leur a substitué des salariées
pressées, égoïstes et impuissantes. Qui a créé
ce genre de monstres et en a fait des exemples supérieurs à
ces vieilles bonnes femmes pleines d’amour ?

Qui
a sali mes grands-pères ?

Qui
en a fait des soulards systématiquement violents et
dominateurs ? Qui a fait de ces hommes qui travaillaient
durement pour nourrir leur famille, des parasites fainéants
justes bons à se mettre les deux pieds sous la table ?
Qui a fait de ces sages de imbéciles ?

Nous
avons perdu un petit machin essentiel en chemin pour nous emplir de
vide.

Nos
désirs individuels. Notre indépendance. Que cachent ces
concepts qui ont tout détruit sur leur passage ?

Eradiqué
l’amour.

Hommes
et femmes ont été mis en opposition et le chaos a
émergé de cette opposition.

Nous
sommes passés d’une situation de partage des pouvoirs
familiaux et sociaux à un empiétement sans fin des uns
sur les autres.

Dans
cette volonté guerrière une majorité de femmes
se sont perdues. Les hommes quant à eux
ses sont laissés asservir : détresse morale,
financière et psychologique.
Les
femmes
détiennent
aujourd’hui tous les pouvoirs (capital, psychologique, culturel…)
et bien inconscient est celui qui osera contester ce pouvoir, ou même
regarder en direction de ce pouvoir. Le
totalitarisme de l’intime ne fait pas de cadeau
. L’homme
qui ouvre les yeux sur cette réalité est en danger
,
et inconsciemment il le sait si
bien qu’il préférera maintenir serré lui-même
le bandeau qui le laisse dans l’obscurité. Aujourd’hui, nous
n’avons plus qu’à nous en remettre aux femmes équilibrées.
Mais éduquées par des mères omnipotentes et des
pères absents, d’ici peu il n’en restera plus beaucoup.

Les
féministes ont tenté un hold-up sur l’ensemble de la
société.
Le
braquage a mal tourné. Nous
travaillons désormais pour nourrir les enfants de nos femmes,
des femmes de plus en plus déséquilibrées.
Mais
à l’intérieur de nos cœurs, il nous reste
encore la mémoire d’une époque plus juste. J’en
suis certain. Oui,
il
fut une époque où les hommes ne furent pas tant
exploités, où ils subirent moins la pression au
suicide, où ils se retrouvèrent moins en prison
qu’aujourd’hui, où s’ils travaillèrent dans des métiers
durs, ils furent reconnus pour cela, où le partage du capital
fut plus équilibré, où ils eurent un rôle
à jouer dans leurs familles, où ils ne se retrouvèrent
pas, en grande majorité et en nombre, à la rue.
Faisons
appel à notre mémoire et non à la mythologie
dont on nous a abreuvé. Le partage inégalitaire du
passé était loin d’être injuste. Comparons-le à
l’égalitarisme actuel égocentré sur les femmes
et aux fruits qu’il ne cesse de donner, au chaos qu’il sème et
à l’inégalité de plus en plus criante qu’il
répand en ignorant les injustices que les hommes subissent.

Le
paysan n’avait pas les moyens de communiquer et d’analyser son vécu
avec les outils de l’anthropologie et de la sociologie. Nous,
petits-fils de paysans, parfois instruits, en avons désormais
la possibilité. L’histoire a besoin que nous révisions
les théories mortifères dont nous avons tous été
les victimes. Ces théories créées par quelques
bourgeois qui ont monopolisé la pensée, ou bien par des
penseurs juifs qui ont poussé trop loin des concepts inadaptés
à notre société chrétienne, doivent
désormais être compensées par le bon sens d’une
part de notre culture qui a été ignorée jusque
là et qui a aujourd’hui accès à la pensée
conceptuelle et surtout qui a les moyens de la diffuser par internet
(même si dans les faits, la ségrégation
culturelle est de plus en plus importante envers les enfants de
pauvres).

Lorsque
l’humanité voulut se libérer de sa condition, elle créa
le nazisme et le communisme. La civilisation est une machine aisée
à détraquer. L’enfer est pavé de bonnes
intentions.

Lorsque
des femmes voulurent se libérer de leur condition, elles
créèrent le féminisme. La famille est une
machine aisée à détraquer. L’enfer est pavé
de bonnes intentions.

Contrairement
au nazisme et au communisme, nous n’avons pas tiré les leçons
du féminisme. Le féminisme a masqué ses crimes,
des crimes plus nombreux que ces deux autres idéologies
rassemblées.

Nous
montrerons en quoi le féminisme,
comme
le communisme d’Etat ou le fascisme, a pourri notre société,
et en quoi ce premier a fait bien plus de
morts à lui seul que les deux autres totalitarismes.

Nous
repousserons une à une toutes les culpabilités dont
nous avons été chargés en tant qu’hommes.

Nous
défendrons hommes et les femmes à l’intérieur de
nos familles.

Nous
réhabiliterons nos ancêtres.

Nous
abattrons le cancer féministe.

 Léonidas
Durandal