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PARTIE 1 :
Faillite de la protection de l’enfance (partie… par LeonidasDD
PARTIE 2 :
Faillite de la protection de l’enfance (partie… par LeonidasDD
Pour compléter le reportage, voici un témoignage du COMITE CEDIF de la part de grands-parents et de petits-enfants spoliés
“Le calvaire d’Adrien Durousset, enfant de la Ddass chahuté pendant des années“, Figaro du 21/11/2016.
“Un couple chrétien empêché d’adopter au Royaume-Uni : il est opposé à l’adoption gay”, RITV du 07/11/2016.
Offrir un père et une mère pour un enfant est devenu rédhibitoire en Angleterre. Où quand l’Etat se révèle incapable de s’occuper de protection de l’enfance.
J’ai vu l’émission.Sans surprise ! Les travailleurs sociaux sont des travailleuses à 90%. Les responsables, toutes des femmes , parlent avec assurances, sans jamais vouloir reconnaitre leurs torts. Il se peut qu’il y ait des “erreurs”, mais jamais de fautes. (Pas de visites de contrôles à l’improviste en familles d’accueil pendant 20 ans !) Pas même de contrôle des comptes d’une assoce ! Le responsable en second, un homme, est le plus souvent muet ou se contente d’entériner sa cheffe ! On se demande en quoi consistent les fonctions de ces dirigeants administratifs ou politiques, payés grassement et qui ne vérifient jamais rien … A vrai dire, comment mettre en cause la mère d’accueil dans une société féministe comme la nôtre !
Je suis depuis un peu plus d’une dizaine d’années deux familles. l’une biologique – 3 enfants – un père et une mère. Le père soumis tentant d’instaurer une caricature de patriarcat – femme au fourneau, élevant les enfants, s’occupant de tout ce qui relève de la “domus”. Dépensant les revenus du mari jusqu’au dernier centime (elle se drogue) l’endettant ensus. Il ravaille de nuit
Reportage intéressant.
Si on regarde, les filles victimes interrogées parlent d’elles même, les garçons répondent aux questions que leur pose le psychiatre (le dernier semble presque réciter un questionnaire appris par cœur)
On voit parler une femme qui aurait participé aux malversations (et encore en présence de son avocat) contre plusieurs hommes dont la mauvaise foi est montrée de façon évidente.
Les journaliste évitent soigneusement de dire que la plupart du temps le parent gravement défaillant semble être la mère.
Les hommes ne sont peu pas interrogés par la reporter. Le peu d’homme qui sont mentionnés sont sont vu sous un jour plutôt négatif ou sur des sujets qui peuvent sembler rébarbatif (examen des finances)
Notez également comment cet univers est féminisé: éducatrices, avocates, juges … et journalistes.
J'y t'envoie une lettrinfo par saison
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