Les violences conjugales pour contrôler les hommes par LeonidasDD
Si la vidéo a été désactivée, essayez sur Rutube, mais précisez bien que vous avez 18 ans en cliquant sur le centre de l’écran (c’est un blocage automatique qui n’a rien à voir avec le contenu de la vidéo) :
Cher Durandal,
Soyons honnêtes, ces hommes aiment les provocations et font tout pour que leurs femmes les provoquent. Ca leur rappelle leur maman castratrice, les femmes calmes, ils ont l'impression qu'elles s'en foutent d'eux. Ils se sont bien trouvés ces deux huluberlus c'est pour ça qu'ils restent ensembles. En plus, ils sont noirs américains. J'ai eu un compagnon comme ça dans le temps, au final, j'ai dû faire en sorte qu'il croie que c'est lui qui mettait un terme à la relation pour qu'il me foute enfin la paix. J'ai pleuré des larmes de soulagement lors de la rupture et j'ai fait passé ça pour de la tristesse…Et il a quand même essayé qu'on se remette ensemble alors que j'étais objectivement une harpie avec lui. Les hommes sont étranges. Comment peut on être aussi doués en science et autre choses compliquées et ne pas voir de telles évidences ?
Marie
Bonjour Marie,
C’est exactement ce que je défends : la notion de couple dysfonctionnel. Votre ancien compagnon cherchait une femme comme vous, et vous, je n’ai pas compris ce que vous cherchiez, mais vous cherchiez certainement à savoir si ce genre de relation vous conviendrait j’imagine, ou à tester les limites de votre pouvoir. Vous vous êtes bien servie de lui pour avancer. Certaines femmes cherchent vraiment des limites physiques chez leur homme, beaucoup de femmes ont ce fantasme d’ailleurs. Et des hommes, vous avez raison, ne peuvent vivre que dans la turbulence et le conflit, suite des histoires avec leur mère. Il y a beaucoup de femmes comme cela aussi. Je tenais seulement à introduire un peu de complexité dans cet article. Pour les féministes, le discours c’est “ouh ouh, les méchants hommes qui violentent les femmes !” Alors que dans la réalité, c’est souvent une Alice Cordier de Némésis qui cherche des noises à un Baptiste Marchais afin de se prendre la bonne bouffe qu’elle n’a jamais reçue, puis qui milite contre les violences conjugales. Le simplisme féministe en action…
Cordialement.
M.D
J'y t'envoie une lettrinfo par saison
Laisser un commentaire