(Vidéo) Le concept de violences conjugales pour contrôler les hommes

Article écrit par

le

dans la catégorie


Les violences conjugales pour contrôler les hommes par LeonidasDD

Si la vidéo a été désactivée, essayez sur Rutube, mais précisez bien que vous avez 18 ans en cliquant sur le centre de l’écran (c’est un blocage automatique qui n’a rien à voir avec le contenu de la vidéo) :

124 réponses à “(Vidéo) Le concept de violences conjugales pour contrôler les hommes”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    “Procès : les sinistres fanfaronnades de Jawad Bendaoud”, Le Point du 25/04/2018.

    6 mois de prison avec sursis alors que la fille a retiré sa plainte et lui envoie maintenant des photos d’elle en petite culotte Si ce n’est pas du contrôle social sur les hommes ça…


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    “Les violences conjugales augmentent-elles les soirs de match?”, L’Express du 06/03/2018.

    Ouhhh, le vilain alcool. Il faudra supprimer les ventes les soirs de match.


  3. Avatar de jesuisunefemmecelibataire@moimoimoi.com
    jesuisunefemmecelibataire@moimoimoi.com

    Monsieur Léonidas,
    Notre guide à tous,
    Cher Léo,

    Larousse viril :

    mère-célibataire : (1) femme ayant besoin d’argent sous forme de pension alimentaire ou aide sociale. (2) statut victimaire permettant d’attirer de la compassion.

    “mère-célibataire” + “je suis une femme” c’est un combo magique de forum pour attirer l’attention et gagner en légitimité je suppose.

    Hé oh ! JE SUIS UNE FEMME ! JE SUIS UNE FEMME ! JE SUIS UNE FEMME ! JE SUIS UNE FEMME ! JE SUIS UNE FEMME ! JE SUIS UNE FEMME !

     


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    “”Elle le quitte, il la tue”, scénario typique du féminicide”, L’Obs du 22/01/2018.

    Très bon résumé :

    “En fait, les hommes tueraient leur femme pour la garder… alors que les femmes tueraient leur conjoint pour s’en débarrasser”

    Les femmes tuent les hommes quand elles ne peuvent pas s’en séparer. Les hommes tuent les femmes quand elles veulent se séparer. La réaction est la même à un sentiment qui se regarde en miroir : les femmes voudraient pouvoir se séparer, les hommes voudraient pouvoir maintenir une forme d’unité. Il s’agit donc d’un trouble de l’attachement : les hommes meurtriers voudraient être aimés de manière exclusive, tels de petits enfants. Les femmes meurtrières voudraient avoir la capacité de se séparer de l’objet aimé, telles des adultes. Tous sont immatures quant à leur sexe.

    Selon les féministes, les humains ne devraient plus s’aimer de manière exclusive, ni ne jamais être immatures. Voeux pieu.

    Autre étonnement : dans la majorité des cas, aucune violences conjugales n’a précédé le passage à l’acte physique. Autant dire que l’image de l’homme violent est battue en brèche.


    1. Avatar de gastirad39
      gastirad39

      Léonida: super intéressant ! Je titrerai: “Féminisme: arme acérée pour crever les yeux des mal-voyants de naissance”

      Que nous apprend Alexia Delbreil:

      “Dans mes dossiers, peu de violences physiques préalable au passage à l’acte” C’est capital. Son étude prouve scientifiquement que le fameux “Continuum de la violence masculine dans le couple; celui qui va du contrôle psy au féminicide en passant par les menaces et les coups:

      CA N’EXISTE PAS !

      Avec à l’appui, une vaste étude menée par une féministe psy ET médecin légiste !

      Allons plus loin. Toutes les féministes disent que le moment le plus dangereux pour les femmes, c’est le divorce, quand une femme cherche à reprendre sa liberté et se libère de l’EMPRISE= CONTROLE du Mâle.Hors, il y a 140 000 divorces par an en France pour 120 féminicides. Le calcul de la dangerosité du divorce est facile

      Moins de 1/ 1000 ! La route tue 100 fois plus.Parlons aussi disputes. Il y a 17 millions de couples en France qui se disputent au moins une fois l’an. La probabilité que cela finisse en féminicide serait donc de 1 / 141 600 ! C’est infime !!!

      Pourtant, depuis 40 ans, de vastes moyens sont mis en oeuvre chaque jour, avec un coût faramineux (des centaines d’Associations subventionnées, des employées d’Etat par milliers… des ministres…)

      Loin de moi l’idée de légitimer les violences dans les couples. D’autant qu’il ne faudrait pas oublier les violences des femmes envers les hommes dans ce fameux continuum (les violences psy surtout) et celles légitimées par le féminisme d’Etat (surtout Justice, Police et Administration)

      Mais il faut au moins convenir que le problème est insoluble car très mal posé.

      Une dernière question. Et si les féministes avaient peur actuellement ? Les chiffres sont de plus en plus têtus. La grande victoire du féminisme, c’est la liberté des femmes dont le divorce est emblématique. 1950 / 1970: 33 000 par an; 1972: 44 500; 2005: 155 000 … et en baisse continue depuis, et ceux du mariage, de la natalité …sont en baisse aussi

      Pour les féministes la côte d’alerte est dépassée. Il est urgent de relancer la propagande !


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        Mais il faut au moins convenir que le problème est insoluble car très mal posé.

        C’est à chaque fois mon problème avec les féministes. Elles construisent des cadres mentaux délirants. Il me faut à chaque fois essayer de comprendre leur logique pour la traduire en manière de bon sens. Elles, elles essaient à chaque fois de faire plier la réalité à leurs théories fumeuses et nous sommes si habitués à leurs raisonnements, que s’en extraire est très difficile.

        “Pour les féministes la côte d’alerte est dépassée. Il est urgent de relancer la propagande !”

        Durant des années, les féministes nous serinaient que leur politique avait réussi. Preuve en était le bon taux de fécondité des Françaises. A chaque fois que j’entendais cela, je ne comprenais pas. Je trouvais cela absurde de mesurer la réussite de leur politique en lien avec le taux de fécondité de nos compatriotes. En particulier dans un pays qui importait des ventres, ce qui brouillait forcément le résultat. En particulier dans un pays qui n’arrivait pas à dépasser le taux de reproduction naturel.

        Puis je me suis rappelé qu’elles avaient assis une bonne partie de leur discours sur le raisonnement suivant : plus d’infanticides par avortement, plus de liberté pour les femmes, plus de libéralisme (sociétal) = prospérité. Or non seulement le taux de fécondité des Françaises de souche s’est complètement effondré. Mais en plus, elles n’arrivent même plus à maintenir ce taux de fécondité grâce aux wagons d’immigration qu’elles ont cautionnés. L’échec est complet. Les familles explosent. Les subventions ne suffisent plus à maintenir la natalité alors qu’elles continuent d’être distribuées largement, en particulier en direction des misérables. Comme si ces enfants de misérables allaient particulièrement développer notre pays.

        Ces allocations familiales sont une catastrophe. Elles n’auraient jamais dû être inventées. Seul un féminisé, un homme entièrement perméable aux mamans, un fou furieux qui voulait se faire père de la nation, a pu penser une telle idée.


        1. Avatar de Manuela
          Manuela

          Oui je suis d’accord avec vous c’est vraiment une connerie les allocations familiales, c’est même pas une connerie c’est que je ne comprends même pas à quoi cela sert à part contribuer à la fabrication de cas sociaux, qu’ils soient immigrés ou de souche d’ailleurs. Dans mon bled il y a tellement de cas sociaux que ça devient un énorme ghetto, nous sommes en train de récupérer la vermine de région parisienne et je crois que cela va empirer avec les JO.

           


          1. Avatar de je sais plus mon pseudo(je suis une femme)
            je sais plus mon pseudo(je suis une femme)

            Là je vous comprends pas pourquoi les allocations familiales ne sont pas bien?ça aide les familles qui en ont besoin.

            Supprimer les allocations familiales…Pourquoi??


          2. Avatar de Léonidas Durandal

            Parce qu’on ne pourra jamais vérifier que les parents n’ont pas eu des enfants pour avoir un peu de fric, un statut social, une reconnaissance de la part de la société, bref pour jouer les mères (célibataires) courages maltraitantes. Et puis, recevoir de l’argent pour faire un enfant, de la part de l’Etat, c’est accepter une tutelle, au minimum d’être nourrie par son nouveau mari : l’Etat. Le jour où on vous les enlève, il ne faut pas se plaindre : la société paye, ils appartiennent à la société. Cela justifie les placements d’enfants, plus ou moins justes. Cela me fait penser à ces pères divorcés qui ne voient pas leurs enfants, mais qui soutiennent les familles de lesbiennes. Ils n’arrivent pas à comprendre pourquoi ils ne sont rien pour l’Etat. En même temps, ils défendent des idées où des pères peuvent être rien dans certaines familles, et sont remplaçables à souhait. Les allocations familiales, cela fait partie de l’horreur des bonnes intentions. La personne qui reçoit du fric se dit “y-a pas de mal à recevoir du fric”. En fait elle s’est faite acheter. Elle devient la pute de l’Etat. Et par voie de conséquence, elle aura tendance à courber l’échine quand il y aura des abus.


          3. Avatar de JE sais plus mon pseudo
            JE sais plus mon pseudo

            Notre famille bénéficie des allocations familiales j’avoue ,mon mari est en formation payé et gagne le smic,moi je suis manipulatrice en radiologie donc j’arrete de m’occuper de ma petite qui a 8 mois et je la laisse à la creche à temps plein?(c’est un creve coeur déjà que la je vais devoir reprendre à temps partiel ) Car les allocations familiales nous donne 300 euros par mois et ca nous aide.


          4. Avatar de Léonidas Durandal

            On vous le prend en impôts, ce qu’on vous redonne d’une autre main pour mieux vous contrôler.


          5. Avatar de JE sais plus mon pseudo
            JE sais plus mon pseudo

            J’inclus la paje dans les allocations familiales. Et pour les femmes célibataires vous avez penser aux jeunes mamans qui ont refusées d’avorter?


          6. Avatar de Léonidas Durandal

            Je tiens à souligner avant de répondre que vous utilisez un procédé assez déloyal en matière d’argument : prendre un cas très exceptionnel pour justifier de l’usage général. Mais passons.

            Les lois françaises font payer des pensions alimentaires très fortes aux hommes dans ce genre de cas. Ce n’est pas un solution, mais disons que c’est un exemple parmi de nombreux autres qui montre que notre société n’abandonne pas les femmes, et les traitent même de manière privilégiée. Si le problème se posait vraiment, il y aurait des allocations pour ce genre de cas. D’ailleurs, en dehors des allocations familiales, il y a une allocation mères isolées, des APL supplémentaires, les assistantes sociales qui peuvent intervenir etc etc… les allocations familiales c’est donc un autre débat qui n’a rien à voir avec celui-là.

            C’est ça être prisonnier : cautionner le système par peur. Vous avez cédé à la peur. Vos raisonnements le prouvent.


          7. Avatar de je sais plus mon pseudo(je suis une femme)
            je sais plus mon pseudo(je suis une femme)

            c’est vrai pour mon cas et pour les jeunes mamans célibataires(quoique des fois elles ont pas de pension alimentaire mais ça c’est un autre débat) mais vous avez pensé aux familles pauvres ou le chômage leur tombe dessus?Les salaires sont très bas en Frnace par rapport au coût de la vie.


          8. Avatar de Léonidas Durandal

            Je vois que vous vivez dans la peur et que vous comptez sur l’Etat pour vous protéger. Mais l’Etat ne guérira pas vos peurs. Qu’est-ce qu’un Etat peut faire contre des fantasmes, à part les entretenir ? Par contre, vos peurs finiront très certainement par vous séparer de votre mari si vous ne réussissez pas à les contenir. Penchez vous sur le vrai problème, celui qui vous est personnel. Après nous pourrons discuter de lois sérieusement.


          9. Avatar de je sais plus mon pseudo(je suis une femme)
            je sais plus mon pseudo(je suis une femme)

            Il faut qu’il y ait plus de chômage,moins d’impôt et que les salaires augmentent,là on pourra enlever certaines aides.Et en quoi les allocations familiales ont un rapport avec le placement des enfants?


          10. Avatar de Léonidas Durandal

            Personne ne peut mordre la main de celui qui le nourrit. Vous croyez sérieusement que l’Etat fait bien son travail, est un bon employeur, protège les gens ?
            Si c’est ça, vous êtes complètement à côté de la plaque. Mon opinion, c’est que vous cachez votre asservissement intellectuel derrière un “l’Etat fait ce qu’il faut”. Cela vous évite d’ouvrir un peu les yeux sur votre environnement. Je crois que vous n’êtes pas prête pour débattre ici. Il faut que vous exerciez votre esprit critique dans le monde qui vous entoure, d’abord. Quand vous aurez vu le mal, je pourrai vous apprendre ce que c’est que l’amour. Jusque là, je peux vous donner un indice : l’amour fait vivre les gens, pas les subventions ni les assurances.


          11. Avatar de Manuela
            Manuela

            Je n’attends rien des autres je préfère me débrouiller toute seule et soutenir mon mari.

            Je ne viens pas d’un milieu riche, mais travailleur voir un peu esclave.

            Comme je l’ai dit plus haut je suis entourée de cas sociaux et ça devient vraiment une plaie pour les gens qui essaie de s’en sortir seul par le mérite.

            Une mère de famille qui accouchera du 5ème enfant dans quelques semaines nous a dit un jour qu’elle mettait ses enfants au centre parce que la CAF lui donnait trop d’argent… Le système est totalement vicié et le pire ce sont ces connards de clientéliste qui les maintiennent dans cette dépendance en justifiant l’injustifiable, même si cela commence à être de plus en plus difficile à trouver des excuses à des gens qui offre à Noël à leurs enfants de 5 ans un iPhone. Et par pitié ne me sortez pas que “c’est un cliché les gens ne gagne pas plus en restant chez eux” en fait je tape de leur vie aucun cas je les envie même si en dépit de leur vie décadente je préfère ces gens qui parfois ont beaucoup plus de bon sens que ceux qui sont sensés les aider à s’en sortir… enfin ils n’ont aucun intérêt à aider ces gens puisque ça leur permet de rester au pouvoir, et puis les cassos ça consomme plutôt bien en superflu… Vive l’allocation de rentrée Vive l’allocation de Noël et j’en ai appris une nouvelle le prêt sans remboursement. Vive la France soviétique.

            https://www.youtube.com/watch?v=Hrcss6GOB20&t=3253s

            C’est merveilleux le vivre ensemble n’est-ce pas?

             

             

             


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    “Gironde: deux gendarmes blessés par un forcené qui se donne la mort”, *AFP du 02/12/2017.

    Les suites de l’affaire Weinstein : maman croit tout pouvoir contrôler à la maison, et la situation dérape méchamment.


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    “Le viol dans les années 80 : retour sur l’extrait du documentaire de Depardon”, L’Obs du 26/11/2017.

    La fille, jalouse de la femme officielle du type, lui fait une scène après une relation sexuelle. Elle va alors à l’hôpital pour asseoir sa plainte. Seulement l’hôpital n’a rien à dire sur l’affaire, et le gendarme sent de plus en plus qu’on se sert de lui pour régler des comptes personnels. Elle doit s’excuser. Il doit s’excuser de s’être mal comporté.

    Aujourd’hui, ce bon sens est jugé comme “ne pas écouter la parole des femmes”. Une manipulatrice reste une manipulatrice. Elle aurait dû être condamnée et renvoyée dans son pays. Pour avoir couché avec un homme déjà pris, pour avoir porté de fausses accusations, pour avoir mis en danger et la relation de cet homme et son assise sociale. Toute la violence de ces femmes est aujourd’hui tolérée, et incomprise, libération sexuelle oblige. Le problème des mauvais comportements des femmes n’est pas prêt d’être réglé.


  7. Avatar de Léonidas Durandal

    “L’emprise, cet engrenage crucial des violences faites aux femmes”, L’Obs du 25/11/2017.

    Mélanger harcèlement, violences conjugales et emprise, cela s’appelle de la manipulation.


    1. Avatar de Manuela
      Manuela

      Il y en a encore qui n’ont pas compris que certain préfère être mal accompagné plutôt que seul.


  8. Avatar de Léonidas Durandal

    “”Devoir conjugal”: le juge mis en cause écarté des comparutions immédiates”, L’Express du 07/06/2017.

    La fille a rendu fou son mari en le privant de sexe, puis quand le juge n’a fait, ne serait-ce que lui faire remarquer, elle s’est sentie anéantie. Mais ce n’est pas le juge qui a eu raison, c’est la femme. L’utilisation de moyens déloyaux à l’intérieur du mariage, n’est plus reconnu, ceci pour asseoir le pouvoir des femmes. L’absence complète de morale des femmes décrite par Otto Weininger prend ici tout son sens. Les juges ne sont pas censés faire de la morale. En vérité, tout le monde en fait, tout le temps, alors autant que ce soit une bonne morale. Ce n’est pas le cas aujourd’hui.

    Dans un monde où la justice peut tout, et use et abuse de son pouvoir en de nombreuses circonstances, ici elle s’affronte à un pouvoir qui la domine : celui des femmes. La justice d’ailleurs n’est-elle pas quasiment sous contrôle des femmes. Ici, le moindre homme, la moindre réflexion morale, est écartée au profit de ce qui constitue une absence de morale : le rapport de force, au profit de ces dames.

    Un homme ne peut survivre en démocratie.


  9. Avatar de Léonidas Durandal

    “Saint-Malo. 17 mois de prison pour le rappeur tunisien coupable de violences conjugales”, Breizh du 16/05/2017.

     

    En outre, son ex-compagne a indiqué durant l’enquête avoir fourni, sous la contrainte, des attestations expliquant que Weld El 15 n’était plus violent, et cela afin de lui permettre de rester en France, à Saint-Malo.

    Ouaih, sous la contrainte, alors qu’il lui suffisait de ne rien faire pour le voir dégager.


Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.