Les pères n’ont jamais voulu les séparations, on leur impose le statut de beau-parent

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La prochaine loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant (1) résume toutes les contradictions de notre société : d’un côté nous voudrions renforcer la place du père, de l’autre nous mettons en place le statut du beau-parent qui va rentrer en opposition directe avec lui.

 

Le renforcement du statut du beau-parent (article 9, 10, 11, 12, 13)

 

Un mal pour l’enfant.

 

Après avoir pris une bonne part dans la destruction des familles, l’Etat a l’ambition d’organiser les suites du massacre, de rattraper au coup par coup toutes les erreurs qui ont été commises, et tout cela au nom de « l’intérêt de l’enfant ». Or, c’est une triste rigolade quand on sait que l’intérêt de l’enfant, c’est principalement de voir ses parents s’entendre et rester ensemble. Désormais au nom de « l’intérêt de l’enfant », l’enfant se verra reconnaître d’autres parents, des beaux-parents dont il ne veut pas , qu’il n’a pas choisi, les nouveaux conjoints de papa ou de maman, qui seront reconnus progressivement par la loi, à l’égal du père et de la mère. Tout cela ne fera que le perturber, rendre encore plus complexe des situations de vie qui le sont déjà trop pour lui. Mais l’Etat ne voit que par les adultes qui veulent s’approprier les enfants, et appelle cela « intérêt de l’enfant ». La famille élargie à n’importe qui est en marche. Le vers est enfoncé si profondément dans le fruit que les adultes ne s’aperçoivent même plus que « l’intérêt de l’enfant », c’est d’abord leur intérêt. Ils confondent d’ailleurs cet intérêt avec l’intérêt des duos homosexuels. Car à n’en pas douter, le statut des beaux-parents est surtout une mesure pour favoriser les recompositions de duos de sexe identique autour d’enfants qui auront été achetés à l’étranger. Il permettra de contourner ce dont toute une société ne veut pas : l’achat d’enfants ;

 

 

L’arbre des beaux-parents qui cache la forêt homosexualiste.

 

Les beaux-parents avaient déjà une délégation d’autorité parentale qui était bien suffisante. Pourquoi dès lors vouloir renforcer ce statut ? On ne peut comprendre le bourrage de crâne médiatique organisé dernièrement sur le sujet, la dramatisation à l’extrême et le jeu sur l’émotionnel absurde pour faire passer ce renforcement inutile, sans comprendre l’action du lobby LGBT qui se joue en arrière plan. Dernièrement, les juges se sont prononcés en défaveur de la reconnaissance des enfants achetés à l’étranger par une PMA ou par une GPA (2), mais le lobby homosexuel ne l’accepte pas. Malgré tout, le statut des beaux-parents leur permettra d’accomplir ce qu’on leur refuse : reconnaître légalement des personnes dans le statut de parents qui ne sont pas des parents.

Le reste de la loi sur l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant : que de bonnes intentions ?

 

  • Rappeler les droits et devoirs d’un parent lors de la reconnaissance d’un enfant (article 1, article 2), c’est beau et ça mène à quoi exactement ? C’est un peu comme ces professeurs qui pensent qu’en expliquant aux enfants les règles de vie, cela suffira à ce qu’ils les respectent.
  • Rappeler que les parents doivent prendre les décisions en commun concernant l’enfant (article 3, article 4) : qui le leur imposera puisque la loi ne prévoit aucune sanction en cas de manquement ?
  • Sanctionner les non représentations d’enfants par une amende (article 5) risque de ne pas changer grand chose : avant les mères risquaient de la prison, et les juges ne voulaient pas les condamner. Désormais, ces mêmes juges voudront-ils les amender alors que ce sont de pauvres femmes en difficulté, principalement financière ? J’en doute. Mais qui sait ? L’argent est souvent une motivation plus conséquente que l’intérêt de l’enfant seul…
  • En renforçant les pouvoirs des services à l’enfance et en leur donnant une autorité parentale réelle sur les enfants qu’on aura retirés de leur famille (article 15), l’Etat se substituera encore plus aux parents. Au lieu de renforcer les sanctions sur les comportements inadaptés de parents, l’Etat se positionnera en garant du bien, rôle qui fera de lui toujours plus une institution totalitaire.
  • La médiation est une très bonne chose (articles 16,17, 18, 19). Cependant, là encore, je pense qu’il faudrait prévoir des sanctions concernant les parents qui ne joueraient pas le jeu.
  • Enfin l’article 7 me semble très important, fixant la résidence alternée et égale comme base lors des séparations. Cependant, à n’en pas douter, ce sont toujours les femmes qui en profiteront, car elles ont su organiser leur vie autour des enfants, et ce, malgré leur insertion professionnelle, en profitant des mi-temps ou en faisant pression pour obtenir des avantages particuliers dans les secteurs qu’elles investissaient (fonctionnariat).

 

Qu’a-t-on oublié ?

 

C’est vrai, les pères qui se battent pour leurs enfants seront contents. La loi va dans le bon sens pour eux. Ils pourront jouer le rôle qu’ils désirent, rétablir un peu de leur autorité si tant est que le statut du beau-parent ne la leur enlève pas. Cependant n’a-t-on pas oublié la majorité des pères qui ne veulent pas s’occuper de leurs enfants après une séparation ? N’a-t-on pas oublié les enfants mêmes ? Ceux-là forment une majorité silencieuse qui n’intéresse personne.

 

Des personnes qu’on ne veut pas écouter.

 

Les pères qui ne veulent pas s’occuper de leurs enfants après une séparation ne suscitent aujourd’hui que l’indignation. Quant aux enfants, comme dans toutes les sociétés maltraitantes, on leur ordonne de se confronter aux désirs des adultes, alors qu’ils n’ont pas encore grandi. C’est ceux-là que je voudrais défendre. Ces enfants comme ces pères démissionnaires, n’ont pas choisi la séparation. Ils voulaient fonder famille et en ont été privés dans 80% des cas, par une femme inconstante et lubrique. Ils n’ont pas signé pour des relations futiles et volatiles. Après la séparation, on leur a demandé d’assumer des responsabilités dont ils ne voulaient plus alors que les règles du jeu s’étaient modifiées entre temps à leur détriment. En leur redonnant un peu de poids, peut-être décideront-ils de s’impliquer à nouveau ? Cependant j’en doute. Peu d’hommes seront capables de continuer à jouer leur rôle professionnel, celui qui les motive principalement, tout en s’impliquant à égalité dans leur foyer. Ils ne se résigneront pas à faire mal et l’un, et l’autre tout en ayant des rôles de plus en plus indifférenciés avec leur ex-compagne. Ils auront également peur de perdre leur masculinité en étant entraînés dans un jeu de dupe. Les pères depuis toujours n’ont pas voulu des séparations en masse. Ils trouvent ce système absurde. Tant qu’ils resteront des hommes « moyens », ces puissants freins psychologiques resteront en eux. Et probablement qu’ils continueront à avoir raison contre toute une société féminisée qui s’enfonce dans des mesures de rattrapage dont seule la richesse a pu nous empêcher de constater l’inefficience.

PMARetrouvez le blog de M Sani ici.

Ce que veulent les hommes, les pères.

Ils veulent des femmes constantes et fidèles. Ils veulent des femmes qui s’occupent de leur foyer, qui ne se comportent pas comme des hommes, qui ne leur fassent pas concurrence. Ils ne veulent pas que leur statut d’époux et de père auprès de leurs enfants soit dissocié. Un être complet est celui qui est père et époux. L’un sans l’autre perd de son sens. L’enfant ne légitime pas son père si ce dernier n’est pas l’époux de sa mère. Et inversement, la légitimité de la mère célibataire est totale tant que l’enfant est en fusion avec elle, tout en étant nulle à chaque fois que l’enfant réussit à se séparer d’elle. C’est un rapport totalement inapproprié sans la présence d’un père et d’un époux. Plus encore, le père est d’abord l’époux de sa femme car dans le cas contraire, il devient comme la mère, et risque d’entretenir une relation fusionnelle avec ses enfants, perdant dès lors, tout ce qui fait sa spécificité de père. Un père sain aime d’abord sa femme, une adulte qu’il a choisie, avant les enfants qui sont issus de cette union. L’inverse est malsain. Or ce sont ces situations qui sont désormais privilégiées dans les séparations. Ceci explique pourquoi les enfants de divorcés ont beaucoup plus de difficultés dans la vie que les autres, et pourquoi notre société vit une régression profonde en parlant de « progrès ». Chez nous, les enfants sont torturés tandis que les adultes leur expliquent qu’ils veulent leur bonheur. Quant au rôle qu’on attribue aux pères, il est de plus en plus contre-nature. Personne ne comprend qu’ils ne veulent pas se comporter en mères. Tandis que tout le monde essaie de les rassurer, ils sentent trop, et souvent les femmes le leur font sentir aussi, combien en perdant leurs fonctions, ils perdent leur identité.

Quand les lâcheurs ont raison dans le fond.

Une société ne se fabrique pas à coup de tyrannie idéologique. Les croyances maçonniques qu’on tente de nous imposer étant plus pauvres que les croyances catholiques qui les ont précédées, la société résiste. Elle ne veut pas de cette régression qu’on lui présente comme un progrès. Les hommes qui se désinvestissent de leur famille, les enfants qui refusent la séparation de leurs parents, les femmes qui veulent garder leurs prérogatives de mères, ont donc probablement raison tandis qu’on veut les convaincre du contraire. Tous ceux qui font de l’obstruction veulent une société d’amour et se refusent inconsciemment à vivre cet individualisme qu’un contrat social pauvre tente de nous imposer. S’ils se choisissent des moyens égoïstes qui ne changeront rien à la société, leur volonté doit être entendue comme une obligation de changement de notre part. Non, un changement qui serait un laisser-aller féminisé, mais un changement viril qui rétablirait réellement le père dans ses fonctions, après des années d’errance.

 

1 Proposition de loi n°1856 relative à l’autorité parentale et l’intérêt de l’enfant.

 

2 « La cours de cassation contre Taubira », Le Point du 24/03/2014.

36 réponses à “Les pères n’ont jamais voulu les séparations, on leur impose le statut de beau-parent”


  1. Avatar de Terreros
    Terreros

    ” ici le vouvoiement est de rigueur”. Il ne me semble pas vous avoir insulter. J’ai parler de comportements infantile. De plus, vous ne m’avez jamais vu écrire que je prêtais à la gente masculine l’ensemble des maux de l’humanité. Vous me prêtez des pensées que je n’ai pas formulée. Mais qu’importe, j’ai mieux à faire que de discuter avec un homme qui ne sait que répété inlassablement les deux trois mot intelligents qu’il a apprit dans sa vie pour pouvoir insulter toutes les personnes qui ne pensent pas comme lui. Sortez de votre coquille d’insulte et j’aurais tout le plaisir du monde à discuter avec vous. (Et vous vous rendrez peut-être compte que ma pensée est à des kilomètre de ce que vous vous imaginez) 


  2. Avatar de Zorro le renard
    Zorro le renard

    @plus pas que Terreros  D’accord alors pourquoi insultez vous vos contradicteurs ? dois je en déduire que vous êtes dépourvue d’intelligence ? Ensuite arrête d’insulter les autres et je ne t’insulterais pas . Sinon je continue à te prouver ce que tu vaux Incompréheensible parce qu’il ne rentre pas dans votre carcan idéologique qui vous semble si confortable. En fait vous rejetez en bloc tout ce qui n’aspire pas à votre point de vue on ne peut plus farfelu. Je crois que vous avez un problème avec les hommes et la virilité en général et vous le démontrez via vos proses indigestes et insensées. Je pourrais vous retourner votre argument à votre compte “ouin ouin c’est des salauds les mecs”vous démontrez votre malhonnêteté et démagogie ce qui est plutôt contreproductif si on veut discuter raisonnablement. Bref que du boulgi glouba depuis vos débuts d’intervention doublé d’un sophisme à toute épreuve


  3. Avatar de ALLINE
    ALLINE

    Une société où les hommes élèvent les enfants et où les femmes règnent en maîtresse existe chère Terreros. De nos jours qui plus est. Et vous avez raison, les femmes ne les élèvent pas. On peut cependant en les étudiant en conclure que cette société (Mosuo) – elle n’est pas la seule – n’est qu’une société de survie. Tout à fait anecdotiquement les hommes n’y ont absolument ucuns droits. Cela ne devrait pas vous déranger… Au delà de cet aspect, ce ne sont que des sociétés de survie ne créant pas, ne construisant, n’inventant pas, dépendant du bon vouloir de mère nature. “Ses enfants” la quitte. POUR VIVRE ailleurs. Et où ailleurs ? Chez ses voisins : Le patriarcat familial Chinois. Alors chère madame, une société dirigée par un pouvoir fémino-matriarcal : Rêve ou cauchemar ? Maintenant si élever et tenter d’éduquer vos enfants est aussi laborieux que vous semblez le prétendre, il y a d’excellentes familles d’accueil. Je peux vous mettre en rapport. Après tout, l’important c’est l’enfant, non ? Alors si le message que vous transmettez à votre progéniture est que l’homme est puéril, abruti, ou graine de salaud, j’espère que vous n’avez pas de garçon et même si ce sont des filles, elles auraient tout à gagner à grandir dans un univers où les deux genres se respectent et tentent de se comprendre. Amicalement, François


  4. Avatar de Terreros
    Terreros

    Conclusion quand j’adopterais votre point de vu partiel et partial de la réalité, je trouverais grâce à vos yeux. Je me passerais de votre appréciation. Pour ce qu’il vaut. De toute manière vous me demandez quelque chose qui n’a pas de sens, et vous vous renseigniez un peu sur le sujet au lieu de pleurer en accusant de féminisme de vous faire couper les couilles vous le sauriez. Regardez des films, lisez des films, sortez dans la rue, tentez d’écouter autre chose que votre frustration puérile d’homme blessé. Et vous verrez que le monde que vous décrivez n’existe que dans vos fantasmes. En revanche, il y a effectivement de nombreuses questions à se poser sur la place du père dans la famille, et pendant le processus du divorce. La question se pose surtout pour les enfants en bas âge, ou, effectivement, il y a une sorte de réticence à séparer la mère de l’enfant. Certaines fois cette décision se justifie, d’autre fois non. Mais dans beaucoup de cas l’enfant peut choisir avec quel parent il souhaite vivre. Bref de toute manière, je certifie, les enfants c’est des contraintes de temps et d’argent, alors si les femmes gouvernaient le monde les gars, ça ferait longtemps qu’elle ne s’en occuperait plus ! 


  5. Avatar de Terreros
    Terreros

    @zorro le renard , tu sais l’insulte et le mépris ne sont jamais signe d’intelligence. Si tu veux discuter avec moi il va falloir que tu baisse d’un ton, il ne me semble pas t’avoir traiter de gros con sans cervelle ( ni même de t’avoir adressé la parole m’enfin.. ). Vous me prêtez des intentions farfelues qui semble tout droit sortis d’un cerveau malade. Je n’ai jamais nié que beaucoup de père souhaitent s’occuper de leurs enfants. Heureusement d’ailleurs. J’ai simplement énoncé le fait que beaucoup d’homme ne DEMANDE pas la garde de leurs enfants, ce qui est tout à fait différent. De plus vous vous contredisez tout au long de votre diatribe. D’un coté les femmes ( de par leur biologie ) devraient naturellement s’occuper des enfants, et non les hommes et de l’autre coté les hommes veulent s’en occuper, votre pensée n’est pas bien claire. Du reste votre commentaire est totalement incompréhensible, tant il est mal écrit ( vous avez apparemment des problèmes avec la ponctuation de votre ordinateur ), et je n’ai pas le temps de déchiffrer votre grotesque et insultant message. Pour finir je vous dirais que votre Attitude résolument enfantine qui consiste à chouiner devant tout les problèmes de votre vie en disant ” Ouin ouin ouin c’est la fautes des féministes” est à la fois, drôle, pathétique et finalement assez dangereuse puisqu’elle finit par justifier n’importe qu’elle violence faite aux femmes ( ben voui de toute façon se sont les pauvres hommes les victimes dans l’histoire).Et j’avoue qu’elle ne vous donne pas vraiment l’air viril, plutôt celui d’un enfant qui fait un caprice devant une glace au chocolat. M’enfin si ça vous amuse de rester un gamin égocentrique incapable de se remettre 30 seconde en question et toujours prêt à accuser les autres de ses propres erreurs… Ma foi c’est votre probléme. Bonne soirée petit garçon. 


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Quand la virilité sert à mieux écraser les hommes, elle n’est qu’une manipulation, qu’une fausse force. Quand on vous entendra critiquer le chouinement perpétuel des féministes et le deux poids deux mesures, faire des articles contre la folie féministe, je vous jugerai crédible. En attendant…


  6. Avatar de Zorro le renard
    Zorro le renard

    @Terreros-les hommes sont toujours les victimes : la femme est systématiquement assimilée à la victime et l’homme le bourreau. Peu importe si il est lui même réellement une victime. Tant qu’il y aura des gens comme toi pour le nier, notre combat aura à plus forte raison un sens.-La vision qu’il en a est partagée par plus de gens que vous ne le croyez, loin de vos idéos de bobo débile. -Vous n’avez absolument aucun crédit au niveau de la juridiction, des hommes qui veulent s’occuper de leurs enfants ça existe et je vous invite à aller faire un tour dans le site cause des hommes pour vous en apercevoir. D’ailleurs les femmes ont plus un rôle à jouer dans l’élevation des enfants de par leur biologie. Réfléchissez à celà avant de pondre inscouciamment des enfants dont vous n’assumeriez de toute façon pas votre rôle de mère, tant vos maîtres ont réussi à prendre votre destin en main.-Les hommes n’ont pas à s’occuper des bébés, ce n’est pas son rôle, tant que vous ne comprendriez pas ceci, vous ne comprendrez jamais rien à l’existence humaine.-Le problème voyez-vous c’est que tant qu’il y aura des femmes qui pensent comme vous il y aura toujours un rejet de sa faute d’hommes sur les femmes. Vous ne connaissez pas la souffrance des hommes, ce qui un jour finira par dégénérer et ce jour là vous l’auriez bien cherché.”Si Nous étions réèllement au pouvoir nous vous refilerions les enfants, filerions une vie d’indépendance et de liberté pendant que vous vous taperiez l’éducation des enfants, les économies pour emmener la fratrie en vacances etc etc… la lessive, ménage, vaisselle, baby-sitting, aide aux devoirs… tout ça tout ça …”Insidieusement c’est exactement ce qui se passe dans la société, mais je ne me souviens pas avoir lu que c’était la faute des femmes, mais un système féministe plutôt, une gynécocratie. Mais bon vous êtes surement une femme, vous seriez un homme peut être vous en renderiez vous compte. Vous vous asseyez sur vos privilèges volés au mépris des hommes.” Pourquoi vous rendre plus stupide que vous ne l’êtes en rejetant tout les malheurs de cette sociétés sur les mères ? “Et pourquoi être si stupide pour ne pas comprendre le sens de cet article ? Tu veux que je te fournisse un lien pour commander un cerveau tout neuf ? Les hommes demandent le divorce dis tu ? Pourtant les chiffres parlent de 80 % des divorces demandées par les femmes (si si même que pour une fois qu’ils sont moins partiels ce sont les chiffres officiels) 


  7. Avatar de Terreros
    Terreros

    Ah oui, et heu les hommes demandent le divorce. Souvent. Si si. ( et même que parfois, c’est d’un commun accord, et que les deux parents se respectent et s’aiment encore oui oui, il y a des belles choses dans la vie) 


  8. Avatar de Terreros
    Terreros

    Donc les hommes sont toujours victimes et jamais démissionnaire c’est bien ça ? Vous avez quand même une vision assez partial des rapport homme/femme, je ne sais pas si vous en avez conscience. J’imagine que vous êtes quand même au courant d’élever des enfants seule pour une mère célibataire ( et surtout quand il sont plusieurs ) n’est absolument pas une franche partie de rigolade, et que souvent si la mère se retrouve avec la garde des enfants et bien c’est parce que c’est la seule à l’avoir demander ou bien parce que les enfants sont assez grands pour choisir eux-même avec quels parents ils veulent rester. Associer le fait de devoir se taper l’éducation d’un ou plusieurs enfants en bas âge, avec tout ce que cela réprésente de frais financier (même lorsqu’il y a pension alimentaire, et encore faut-il que monsieur la paye), psychologique, de temps et d’énergie à un PRIVILÈGE, que l’on volerait impunément aux hommes, c’est vraiment le monde à l’envers. Bien sur qu’il existe de mauvaises mères, abusives, égoiste et démissionnaire, comme ils existent de mauvais père, abusive et démissionnaire ou tellement égoiste qu’ils ne s’occupe plus de leurs enfants. Oui la plupart des homme divorcés ne voient que rarement leurs enfants… Heu le téléphone existe depuis maintenant pas de temps, et si l’homme veut prouver sa virilité je crois qu’il ne le fera pas mieux en se battant pour creer une complicité avec ses enfants. Mais non, c’est beaucoup plus simple de rejeter TOUT  les maux de la terre sur ses connasses de mère et de femme qui ne font pas leurs boulots de reproductrices. Bon calmez-vous monsieur et prenez vos couilles à deux mains ( promis personne ne vous les coupera ), et vous allez voir le monde est rempli de femmes qui veulent être aimé et faire des enfants. ps : Reflechissez deux minutes, qui aimerais être mère célibataire divorcé avec trois enfants ?  C’est un privilège de merde. Si Nous étions réèllement au pouvoir nous vous refilerions les enfants, filerions une vie d’indépendance et de liberté pendant que vous vous taperiez l’éducation des enfants, les économies pour emmener la fratrie en vacances etc etc… la lessive, ménage, vaisselle, baby-sitting, aide aux devoirs… tout ça tout ça … La grosse éclate quoi ! Avoir des enfants c’est magique, mais c’est aussi une énorme charge de travail et d’argent, et d’angoisse aussi (parce qu’on les aimes les petits bouts), et je pense que vous êtes assez intelligent pour le savoir. Pourquoi vous rendre plus stupide que vous ne l’êtes en rejetant tout les malheurs de cette sociétés sur les mères ? 


    1. Avatar de ALLINE
      ALLINE

      Magnifique témoignage. Il faut le considérer pour ce qu’il
      est et de qui il émane. D’une femme/mère de trois enfants qu’elle élève seule.
      Bravo !  Je crois et espère être
      un  lecteur et commentateur critique – au
      bon sens du terme – de ce blog. Je suis très 
      heureux de constater qu’une femme/mère s’y exprime. Enfin !
      Changeant ainsi des récriminations ou agressions d’hommes/mâles ou le
      revendiquant,  en perdition, revendiquant
      une estime d’eux-mêmes qu’ils ont abandonnés par lâcheté, bêtise ou simplement
      pour avoir le sentiment de ne pas être respectés en tant qu’homme ou/et que
      père. Madame. Vous êtes le produit de la libération de la femme. Femme
      endoctrinée à croire à une indispensable et incontournable bienveillance
      maternelle laquelle refléterait une bonté prêtée – très abusivement – à votre
      genre.  Parler de l’égoïsme de l’homme
      est assez comique, pour ne pas dire insultant lorsque l’on sait que l’histoire
      nous enseigne qu’il s’est de tous temps sacrifié pour sa famille, femme et
      enfants. Seriez en mesure de me démontrer qu’à l’inverse la notion de famille,
      telle que conçue par la femme d’aujourd’hui, dépasse l’entretien de la survie
      de sa progéniture. La survie n’est pas la vie. La famille nouvelle, ce nouveau concept,
      excluant d’évidence  le mâle reproducteur,
      donc le père. C’est plus simple de
      rejeter tous les maux de la terre sur cette connasse, la mère dites-vous.
      En
      effet. C’est exactement ce que vous faites depuis 4 décennies sur l’homme. Le
      masculin, serait responsable et coupable de tous les maux ; du
      « malheur » et de la violence. Les hommes/pères sont certainement
      moins démissionnaires que démissionnés. Virés pour incompétence présumée ou
      incapacité éducative supposée. La mère n’a jamais éduqué madame. Dans aucune
      civilisation, sur aucuns continents. 
      Elevé, nourri ses enfants avec ce que le l’homme/père gagnait. Transposé
      à aujourd’hui – pour les enfants privés de pères, donc de référent
      masculin  – il s’agit de la pension
      alimentaire à laquelle vous faites allusion. A défaut, la société s’en charge.
      Remplaçant père et mère au besoin dans les cas ultimes. L’éducatif est un
      devoir et non un droit réduit à un rendu affectif. Il suppose pour être
      dispensé que l’adulte en charge soit respecté. La mère l’est. Sacralisée et
      magnifiée par une société tant religieuse que laïque. L’homme/père est pour sa
      part conspué et condamné en tant qu’époux – violent par nature nous dit-on
      –  parent devenu secondaire. Puisque
      secondaire, en effet, pas forcément considéré comme nécessaire, il en vient souvent
      à se faire discret, s’absenter, voire disparaitre. Pour ce qui est du choix des
      enfants en cas de droit de garde, la théorie de l’attachement au parent
      nourricier pourrait être de nature à fausser la décision d’un enfant bien en
      peine de savoir comment  faire le bon
      choix. Si bon choix il y a. Non ? Pour ce qui est des couilles, chère
      madame. Il faudrait peut être pour que l’homme les prennent en main que sa mère
      ne lui ait pas coupées…. Pour terminer, afin que ma réponse ne soit pas
      illisible puisque trop longue, je retiens votre formule pour ce qu’elle a de
      révélateur : « qui
      aimerais être mère célibataire divorcé avec trois enfants ?  C’est un
      privilège de merde. Si Nous étions
      réèllement au pouvoir nous vous refilerions les enfants, filerions une vie
      d’indépendance et de liberté pendant que vous vous taperiez l’éducation des
      enfants, les économies pour emmener la fratrie en vacances etc etc… la lessive,
      ménage, vaisselle, baby-sitting, aide aux devoirs…
       ». Les
      enfants seraient une charge – financière et psychologique – dont l’homme/père
      se serait débarrassé pour la dolce vitae.  C’est un peu plus compliqué,
      non ? On pourrait envisager, à vous lire et vouloir vous comprendre, que
      ces 4 décennies correspondant à la libération de votre genre, confortées par
      une doxa d’un maternalisme aussi 
      incontournable qu’irremplaçable soit en passe d’atteindre sa limite. Vous
      en avez marre… Cela étant, on ne peut pas culpabiliser l’homme, démolir la
      fonction paternelle à travers une charge sans précédent exercée à l’encontre
      d’un patriarcat coupable de tous les maux et espérer du masculin qu’il se
      contente de ramper pour avouer des fautes qu’il n’a pas commises. Puis lui
      demander d’exercer des responsabilités après l’avoir  accusé d’être un incapable. Vous n’en êtes
      probablement ni responsable ni coupable, mais l’état d’esprit est bien là.
      Prégnant, culpabilisant et insupportable. Ne vous étonnez pas de la réponse du
      berger à la bergère. Je lis ce blog revendiquant u retour à l’ordre ancien sans
      en partager certaines analyses que j’estime totalement dépassées. Néanmoins je
      comprends on ne peut mieux la frustration et la colère d’innombrables
      hommes/pères culpabilisés, rejetés et méprisés aux motifs du nécessaire exercice d’un féminin prétendument
      bienveillant en opposition à un masculin défini comme brutal et violent. Sans
      respect de l’autre et de sa fonction il n’y a et aura rien d’autre qu’une
      guerre des sexes. Les enfants – société et civilisation – n’y gagneront rien.


  9. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Voilà les situations ubuesques que l’on veut renforcer par le “statut du beau-parent” :

    NDF du 29/04/2014


  10. Avatar de ALLINE
    ALLINE

    S’ils se choisissent des moyens égoïstes qui ne changeront rien à la société, leur volonté doit être entendue comme une obligation de changement de notre part. Non, un changement qui serait un laisser-aller féminisé, mais un changement viril qui rétablirait réellement le père dans ses fonctions, après des années d’errance.Si je comprends bien, ce sont toujours LA FEMME qui doit décider. LA SOCIETE établir les règles restaurant l’autorité paternelle et la dignité de l’homme à défaut de L’EGLISE cette épouse de l’homme/patriarcat, épouse bafouée que la laïcité a répudiée en 1905. En clair vous attendez que la femme fasse l’homme. Pourriez vous m’expliquer ce que l’église a apporté à l’humanité. Même ne serait-ce qu’à l’homme/mâle en dehors de l’illusion de décider de sa vie alors qu’elle lui imposait dans les moindres détails ce que devait être son comportement ? Vous savez que l’église est la mère des croyants et la fille de Marie. On pourrait quasiment parler d’association de malfaiteuses…


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Je crois que vous êtes en colère et qu’on ne peut discuter sur cette base. Toute notre civilisation repose sur l’Eglise, encore même aujourd’hui. Quant à un changement viril, je ne l’entendais pas du côté des femmes.


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