Les pervers sexuels sont de gauche

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Vous le savez tous. Ils, ou plutôt elles, vous l’ont martelé. Il n’y a pas plus de cas de viols et d’agressions sexuelles qu’avant. Une question me vient donc à l’esprit : pourquoi tous ces prédateurs se retrouvent-ils quasiment tous à gauche ? S’il n’y avait qu’une « prise de conscience de la parole », les accusations feraient florès autant à droite qu’à gauche. Mais là, bizarrement, que des élus de gauche, des producteurs de gauche, des journalistes de gauche. Il semble plutôt que ce discours sur le « rien a changé » cache surtout une forme d’irresponsabilité récurrente chez les socialistes. Si le monde avance en bien, ce sera grâce à eux (dans un futur très lointain). Mais quand il échouerait, ce serait parce que le monde est monde. Après m’être penché précédemment sur toutes les guerres, les colonisations et collaborations de gauche, j’aimerais donc m’étendre sur la catastrophe humaine d’un monde sans croyance en Dieu ayant la prétention de s’auto-engendrer.

Faisons tout d’abord le bilan. Les Clinton, Epstein, Weinstein, Woody Allen, Roman Polanski, Strauss Kahn, ne sont pas à proprement parlé des hommes de droite. Quand un Donald Trump affirme qu’il faut prendre les femmes par la chatte, eux, ne se payent pas de mots. Ils ne disent rien. Ils sont polis. Et même, vous rassurent-ils : ils sont à la pointe en matière de respect des minorités, et de la majorité de femmes qui gouverne en démocratie. Par contre en matière d’actes, ils sont bien loin devant la gaudriole d’un Donald Trump : viols, abus de stagiaires, incestes, trafics d’influence, et j’en passe.

Loin d’être propre aux USA, ce phénomène est identique chez nous, en France. Olivier Duhamel n’est pas n’ont plus un droitard de la première catégorie. Pas plus que le producteur Luc Besson. Pas plus que ces dirigeants de l’unef accusés par tout un tas de leurs collègues de gauche. Pas plus que cet homme politique célèbre pour qui “au-dessus de 14 ans”, c’est dégueulasse, et qui convoque Mickaël Jackson pour soutenir son propos. Pas plus que tous ces élus de Paris ici ou . Y-a pas à dire, la gay pride à la mairie a eu les effets escomptés ! Et puis dans notre Eglise, dans notre Eglise… presque tous les prêtres déchus qui ont été condamnés étaient de cette racaille progressiste. Et pour cause ! Les quelques cas qui contredisent cette règle générale ne font pas florès : le prédateur sexuel est plutôt de gauche. 

La gauche qui a promu l’asservissement sexuel a donc subi les conséquences de sa politique dans ses propres rangs. Pourquoi ce ne serait pas le cas dans le reste de la société ? Les féministes avancent de nos jours qu’il n’y a pas plus d’inceste selon la classe sociale. J’aimerais que cette affirmation péremptoire soit déjà prouvée. Cependant, je ne vais pas me battre ici pour que le débat factuel soit juste honnête. Voilà qui serait trop ambitieux dans un monde de gauche. J’ai juste envie de poser une question : combien de pervers, de violeurs, d’incestueux votent à gauche. Au vu de leur nombre dans notre élite, il est à augurer que la proportion est démentielle dans le reste de la population. Car oui, vous me trouverez facilement un contre exemple de personne votant à droite et qui a failli humainement. Mais pour combien de socialistes vermoulus à la Brigitte Macron ?

 

Tous les pervers n’y sont pas, mais sont-ils tous pervers ?

Voter socialiste, est-ce être forcément un pervers ? J’imagine que non, même si j’ai du mal à me l’imaginer en fait, tant le nombre de cas de socialistes corrompus, abonde autour de moi. Bon, par le passé, nous avions cette bonne gauche radicale de province qui se contentait de cocufier ses femmes, femmes qui allaient elles, à l’Église, prier la vierge Marie. Mais de nos jours, il ne me semble plus rester grand-chose de cette bonne vieille racaille socialiste crottée et s’imaginant à la pointe du progrès. Evacués les hypocrites qui se rêvaient en prêtres catholiques mais qui n’étaient que notables de province, hussards de la république française, ou petits élus très petits bourgeois.

Désormais place à la modernité : un puritanisme affiché afin de lutter pour les femmes, et de l’autre côté, du « tinder » en veux-tu en voilà, du « gleeden » pour tromper son mari en toute bonne conscience, de l’achat d’enfants avec la GPA, de l’esclavage des ventres à l’étranger, de la manipulation génétique qui nous amène le covid, notamment, ou des enfants modifiés génétiquement (PMA), bref, comme tous les puritains de la terre, de la corruption morale à plein, doublée récemment d’une interdiction de critiquer le discours puritain par une censure sur les réseaux sociaux et sur les moteurs de recherche. Il fallait le faire. Les gauchistes du temps passé voulaient réduire l’hypocrisie de leurs us sexuels hors normes, forcés qu’ils étaient de les pratiquer cachés, honteux. Nous avons désormais l’hypocrisie, les débordements et la perversion sexuelle en plus. Et comme d’une cerise sur le gâteau de l’asservissement sexuel : la stérilité et la baisse du nombre de relations sexuelles sur une vie avec des partenaires occasionnels, de plus en plus occasionnels. 

Objectivement, la situation ne s’est donc pas améliorée, la gauche ou le socialisme n’ont pas progressé, mais ont suivi leur pente naturelle, pour nous offrir un monde plus pourri et corrompu que jamais, où la dépravation est entrée dans chaque maison, ou plutôt s’est accentuée dans chaque maison. Car oui, nous avons tous des tendances à la perversion. Il ne faut pas être aussi hypocrite qu’un gauchiste sur le sujet. Cependant, favoriser cette perversion c’était ouvrir une boîte de Pandore qui nous a amené forcément aux plus grands écueils. Plus encore, qu’une personne cède à ses pulsions après avoir lutté honorablement le plus longtemps possible et de tous son coeur, quoi de plus commun ? et même de respectable sur un plan humain ? Là où le péché devient scandale, c’est lorsqu’il est promu sous prétexte de « libération ».  Ici, devient-il diabolique.

 

De nos jours, et depuis ses débuts, la gauche, c’est le diable

A force d’idéaux, la gauche est devenue l’arme actuelle privilégiée du diable. Il n’y a qu’à voir sa manière endogamique de raisonner (l’inceste n’est pas que dans leurs familles). Les autres sont méchants, et nous ne devons ni les écouter, ni les recevoir, ni prendre en compte leurs raisonnements (cancel culture). Viendrait-il à la tête d’une personne normalement constituée de ne plus aimer la glace au chocolat, parce que la droite l’aime ? Voilà pourtant un raisonnement devenu naturel en gauchimie. Depuis des décennies, le socialisme français est incapable de penser les questions identitaires, d’immigration ou de différence sexuelle, parce que vous comprenez, « ce sont des sujets de droite ». Aux USA, il en est arrivé à cautionner la fraude aux élections. L’Afrique rigole. Et sa manière de réintroduire son racialisme de toujours autour du concept de “racisé”, en s’imaginant que le racisme est blanc, juste parce que ce socialiste jalouse intérieurement un peuple autochtone fier de lui et qui ne veut pas de son contrôle collectif…

 

Comment la corruption des moeurs alimente le contrôle social

Fin du fin, après avoir promu la corruption généralisée des moeurs, la gauche se sert alors de cette corruption pour entretenir son système de corruption. Les premiers à dénoncer les pervers ou les déviants ou les simples bons vivants, sont de nos jours à gauche, et plutôt des femmes. Et il n’y a pas de contradictions en cela. La gauche invite à sanctionner ceux qu’elle désigne à la vindicte populaire, pour mieux contrôler ses dirigeants. Ce système mafieux est assez simple : une personne se compromet plus ou moins dans son intimité. Vous avez des preuves. S’il dévie de la ligne officielle gauchiste, vous révélez les faits à une opinion publique que vous avez préalablement chauffé à blanc, en jouant au maximum d’exagérations. Ainsi, ceux qui ne sont pas dénoncés deviennent d’autant plus serviles. Ils savent qu’au moindre écart, ils prendront cher. Vous n’avez qu’à étudier l’attitude récente d’un Daniel Cohen Bendit ou d’un Jack Lang pour le comprendre.

Aux USA, le vrai scandale Epstein est la mise en place d’un énorme réseau de trafic d’influence, notamment au bénéfice du mossad. Il est marrant de voir la droite parler “pédophilie” dans ce cadre, pour des mineurs de plus de 15 ans, et de participer ainsi au contrôle socialiste sur l’ensemble de la société. On ne combat pas l’injustice par plus d’injustice. La droite, éternelle cocue de notre société en cherchant à laver plus blanc que blanc, défend encore ces “pauvres femmes” dans leur ensemble parce qu’il faut continuer à être galant en toutes circonstances, femmes corrompues d’hier qui ont promu la “libération sexuelle” et qui désormais s’en servent pour les remplacer en jouant de fausse moralité. A ce rythme, droitard va bientôt être synonyme de cornard. 

 

La vraie responsabilité de la gauche

A cultiver la perversion, la gauche ne pouvait donc provoquer dans notre société, que plus de perversion. Ainsi, la gauche n’est pas responsable des incestes dans leur ensemble, mais de l’augmentation de ces incestes (multiplication des familles déstructurées), de l’augmentation des viols (notamment parce qu’elle a favorisé l’immigration incontrôlée), l’augmentation des agressions sexuelles (par le tout donné à la pulsion sexuelle), en s’érigeant en parangon de morale et de vertu.

D’ailleurs méfiez-vous des donneurs de leçons. Généralement, il n’y a pas plus corrompus. Dans ce cadre, je ne peux que vous inviter à prier Jésus, à demander pardon pour vos péchés, et à être le gardien de ma moralité, de m’empêcher tout abus sexuel, de m’interdire toute perversion, ou toute libération sexuelle, de ne pas me flatter pour que je déchois , d’avoir le courage de dénoncer l’abus et d’en subir les conséquences : car sachez le, faire le bien coûte, c’est un sacrifice à la suite duquel vous risquez de tout perdre.

La société, surtout actuelle, cette société socialiste, et contrairement à ce qu’elle affirme, ne supporte ni le bien, ni le bon, ni le vrai. Il faut s’armer de prière pour entrer en lutte contre ce qu’elle a de diabolique et qui a une fâcheuse tendance à régner en ce monde. Veut-elle libérer le monde ? L’asservit-elle à sa pulsion sexuelle. Veut-elle réguler le monde ? Lui édicte-t-elle des règles totalitaires. Ainsi en est-il de la médiocrité de ceux qui ne croient en rien, et qui sont le jouet plus ou moins conscient du diable.

 

 

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