Mariage lesbien : le combat commence.

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Nous refusons ce texte, les conditions dans lesquels il n’a pas été débattu, ni choisi par le peuple.

Depuis 40 années, nous avons le recul nécessaire sur ces différents projets de loi qui étaient censés créer un nouveau paradis sur terre. Cette utopie sans Dieu devait nous combler, mais elle n’a été suivie que par une longue cohorte de familles détruites. Les divorces de masse ont entraîné encore plus de divorces. Les avortements encore plus d’indifférence. Les individualismes, encore plus de souffrance. La tolérance compassionnelle nous a isolés les uns des autres, tout en détruisant nos enfants.

 

 

Le manque de courage intellectuel.

 

Nous avons mis du temps à réagir contre le nouveau monstre de notre époque. Dans les années 60, ils n’étaient que quelques réactionnaires à oser se méfier de cette bêtise idéologique par trop humaine et qu’on nommait libération sexuelle. Ils étaient cultivés, ils savaient que la colonisation avait été décidée au nom de ces mêmes idéaux d’égalité, et que ceux-là même qui avaient initiés le processus s’étaient révélés incapables d’assumer leur échec total plus tard, comme ils se trouveraient incapables d’assumer l’échec prévisible de leur rêve de familles nouvelles dont le fondement laissait déjà présager le cauchemar indifférencié que nous vivons actuellement.

 

 

Flatter le peuple des paresseux.

 

A chaque fois, pour faire voter leurs lois, ces personnes sûres d’elles, nous ressortirent un même argumentaire, parlant de nécessité historique, de mise en adéquation des lois entre l’Etat et le citoyen, de progrès. Jamais elles ne pensèrent être responsables de notre sort. Jamais elles ne crurent véritablement être dépositaires de nos souhaits, de nos espérances et de nos désirs cachés. Elles voulurent accompagner le peuple dans ce qu’il avait de marginal et de soit-disant, innovant. Simples chambres d’enregistrement de la facétie de tordus, nos représentants sanctifièrent leur inutilité en votant des lois dont ils pensaient qu’elles dussent s’imposer naturellement, en évitant le plus possible de les passer au tamis d’une quelconque morale. Ils furent peu nombreux autant à droite qu’à gauche à être assez cultivés pour se méfier de ces mouvements par trop humains, mouvements de mode, de superficialité, d’une pensée immanente créée par des êtres médiocres qui voulaient décider pour les autres, par les autres, et au nom d’un bien commun désincarné, aujourd’hui individualiste, dans une posture civique qu’ils faisaient parfois affleurer chez leurs semblables et dont ils se justifiaient. L’humain n’est qu’une petite chose dans un plus grand ensemble. Et vouloir lui donner des prérogatives à ce point orgueilleuses était bien le signe d’une pensée ridicule qui enflait en se glorifiant de découvertes scientifiques vaines tandis qu’elle laissait son humanité dépérir à l’intérieur de son cœur.

 

 

La responsabilité incommensurable de l’athéisme.

 

Il faut en terminer avec la pensée athée. Il n’y a pas de pensée athée. La pensée athée n’existe pas ou n’est que médiocrité. Elle est la reproduction de désirs fugaces et superficiels qui mènent l’humanité d’un bout à l’autre de l’horreur sans jamais véritablement la guider. Les humains qui survivent en ce monde, sont fatigués de l’athéisme. Ils veulent enfin que la terreur inspirée par l’athéisme cesse, et plus particulièrement par la pensée religieuse de l’immanence. L’immanence n’existe pas. Le bon et le bien se choisissent, ils se décident, et s’ils ne se décident pas, l’absence de choix nous mène systématiquement à la catastrophe. L’Eglise catholique a connu des catastrophes, mais jamais au grand jamais elles ne seront comparables en nombre et en qualité à celles que l’immanence et l’athéisme ont produites au 19ème et au 20ème siècle. Les catastrophes catholiques furent bien humaines chez des gens qui voulaient progresser mais qui étaient limités. Les catastrophes athées n’eurent point de limites, et il fallut qu’elles détruisent absolument tout autour d’elles pour que les humains les plus éloignés de ce fléau puissent enfin revivre.

 

 

Pour les athées intelligents.

 

A ceux qui ne croient pas en Dieu, je voudrais dire qu’il n’est nul besoin de croire en Dieu pour comprendre la supériorité d’une religion révélée. Il suffit de voir les fruits qu’elle a donnés à la famille, à l’art, à la culture, à tous les domaines qui font de nous des êtres d’excellence. En comparaison combien la production athée est faible et vite oubliée.

 

 

 

Faire des efforts.

 

Si vous n’avez pas la chance d’être encore sensible à la grâce de Dieu, priez pour le bonheur de vos proches, chacun est appelé à vivre dans l’amour. Et si malgré tout, rien ne se produit dans votre cœur, regardez combien votre prière aura changé votre environnement et combien vous vivrez de manière plus apaisée dans votre environnement.

 

Il n’est pas besoin de croire pour combattre l’athéisme et l’immanence, juste constater combien un enfant éduqué de manière chrétienne, avec un père et une mère, est tout ce qu’il y a de plus beau et de plus épanoui, combien celui-là souffre de son inhumanité mais combien il est plus apte à vivre en société et à se transcender. Cette société athée a tari l’amour d’une société chrétienne à qui elle devait tout. Elle a sali l’innocence de l’enfant en lui parlant de tout, en lui montrant tout, en lui faisant subir ses propres faiblesses d’adulte. Elle s’est enfermée dans l’individualisme faisant de ses enfants des objets de droit, et non plus des sujets. Le mariage lesbien en est l’illustration ultime, un retour édifiant à notre animalité. Notre société est passée du culte des désirs individuels, à l’absence de compréhension de l’altérité, et au handicap donné en legs à ses enfants. Quel chemin parcouru ! Un simple athée doté d’un cerveau normalement constitué, se serait converti au vu de cet état des lieux. Mais non, engoncés dans leur manque de culture, dans leur folie à tout vouloir, tout pouvoir, à tout dominer, ils furent incapables de jeter ne serait-ce qu’un regard, sur leur propre médiocrité. Leur aveuglement justifia la grandeur de leur raison et ils s’enflèrent d’autant plus.

 

Pitoyables humains sans morale, quand cesserez-vous d’oppresser ce monde ?

 

 

Ceux-là croient avoir une morale.

 

Mais qu’elle est cette morale qui se réfère à elle même et qui croit tout pouvoir, tout inventer, si ce n’est une morale qui n’a aucun repère fixe et qui dérive dans l’univers ?

 

La morale, c’est le bien, le mal, la culpabilité et le pardon. La notion de bien et de mal nous sont donnés par Dieu. La culpabilité est inhérente à la conscience du bien et du mal. Seul Dieu peut nous rendre capables de pardonner en toutes circonstances. En tout et pour tout, l’athée est bien loin de pouvoir vivre comme un être moral. Mais il nous faut supporter son discours, à toutes les époques : monsieur de Châteaubriand n’a-t-il pas dû les subir lui-aussi ? Il nous faut supporter leur propre fatuité déguisée en habits clinquants, en prêt à penser, et en slogans débilitants comme « égalité, liberté et fraternité ». Il nous faut supporter leur parasitisme, eux qui vivent sur le dos des croyants en se croyant libres.

L’égalité n’existe que dans le regard de Dieu. Notre liberté c’est notre soumission aux lois divines. Et la fraternité, nous ne pouvons la vivre qu’après le pardon. En tout et pour tout, ces fruits n’ont pas à être idolâtrés, ils ne sont que la douce conséquence d’une vie humble et dévouée au Christ.

Quelle prétention d’en avoir fait des dieux, de ces mêmes dieux que je conchie, de ces stars qui ne sont rien, de cet argent pourri, et que chaque croyant se doit de mépriser au plus haut point, s’il veut un tant soit peu s’élever. Les êtres soumis à la célébrité voudraient me donner des leçons à moi, être soumis à Dieu ! Que l’enfer les rôtisse dès à présent, que leurs vies ne soient qu’espoirs déçus, ignorance du vrai bonheur, mépris des choses belles et bonnes, car mon coeur ne supporte plus leur vue, et seul le Christ me fait encore espérer de pouvoir les aimer, eux, qui propagent la haine sans même le voir et qui Le méprisent en sa beauté.

 

 

Ceux-là nous ont donnés en exemple leur art.

 

Ils ont multiplié le futile dans nos civilisations, dans nos lois, dans nos peintures, dans nos livres, dans leurs œuvres en général. Et ils voudraient qu’un croyant se nourrisse de tels aliments abjectes ou reconnaisse leur intelligence. Beurk ! Ce n’est plus de l’art, c’est de la décoration. Sont-ils seulement capables de comprendre les sentiments nobles des anciens ? J’ai bien peur que d’artistes, ils leur manquent le cœur et qu’ils nous aient perdus.

 

 

 

 

 

 

 

Ceux-là veulent convertir le monde à eux et non à Dieu.

 

D’autres humains viendront essayer de vous convaincre qu’ils sont capables de nous faire prendre de nouveaux chemins. Ne les croyez-pas. Ces psychopathes ne cherchent qu’une chose : satisfaire leur désir de domination sur le monde, s’extraire de toute contrainte, s’abreuver à l’irresponsabilité du penseur tout puissant. La liberté que nous laisse Dieu est bien assez grande pour un esprit imaginatif et puissant sans que nous ayons besoin de vouloir nous élever au-dessus de notre condition en créant de nouvelles tour de Babel, et pour finir plus prisonniers que jamais. Car la liberté de Dieu est la seule qui mène à la liberté. Se croyant libre, l’athée se perd. Se sachant prisonnier, le croyant s’élève.

 

Ce sont des médiocres qui ont fait voter cette loi, de grands médiocres. Oh oui, ils ont la même intelligence que moi, leur culture m’est parfois supérieure, mais ils ne connaissent rien à l’Intelligence. D’ailleurs, ils n’y croient même pas, ils s’en servent pour leurs fins au lieu de la servir. Leur vie n’est qu’une forme de parasitage social qui jouit de son propre cynisme. Il est dommage qu’ils se soient retrouvés, par la suffisance d’un peuple tout aussi perdu que lui, à la tête de notre Etat.

 

LISTE DES CIBLES PRIORITAIRES POUR LES PROCHAINES ELECTIONS

93 réponses à “Mariage lesbien : le combat commence.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
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    Léonidas Durandal

    “10 série TV qui vont cartonner à la rentrée”, Mari claire du 30/08/2015.

    marie claire

    14 premiers plans féminins sur 21 et une pub pour un film lesbien largement subventionné par le système, dont Marie-Claire. A coup sûr, ces personnes bien intentionnées ne poussent pas nos jeunes filles au lesbianisme.


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    Léonidas Durandal

    “Sarkozy impressionné par le “oui” des Irlandais sur le mariage pour tous”, L’Express du 13/06/2015.

    L’Express se fout vraiment de notre gueule, nous qui avions demandé le référendum à l’époque…


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Commemoration du 2ème anniversaire des unions de duos à Montpellier :


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    Léonidas Durandal

    Transfert de commentaire suite à suppression d’article en date du 23/01/2013 “Référendum sur le mariage pour tous” :

    paulau
    Envoyé le 28/01/2013 à 5 h 52 min

    Non au mariage gay et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité.
    I. Le langage
    La normalophobie.
    L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le mariage gay et l’homoparentalité.
    Des mots précis.
    L’emploi d’un même terme pour désigner deux réalités différentes conduit à des confusions.
    On ne peut donner un même nom, en l’occurrence “couple” à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. En effet l’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme.
    L’homosexualité est une forme d’ intolérance à l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle.
    L’utilisation d’un même terme, “couple” pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, est anormale.
    A deux types d’unions différentes il faut donner des noms différents : “couple”, comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et, pour les unions homosexuelles, on peut préconiser le terme “paire” car cette union concerne deux personnes de sexe identique.
    Si le couple est composé de deux personnes c’est qu’il y a deux sexes différents. Le chiffre “2”, en tant que tel, n’ouvre aucun droit. S’ agissant d’homosexuels, le sexe étant le même pour les deux personnes, cette reconnaissance juridique de la vie à deux n’offre pas plus de pertinence qu’une reconnaissance juridique de la vie à trois, quatre ou cinq.
    Toute confusion dans les termes entraîne une confusion dans la perception de ces deux réalités. Cette confusion peut amener à souhaiter un même régime juridique , en l’occurrence le mariage, pour des unions qui sont différentes.
    II. La loi et le mariage
    Avec le mariage la société reconnaît juridiquement l’importance de l’altérité sexuelle et lui rend hommage, en mariant par exemple d
    es couples qui ne peuvent pas, ou plus, enfanter. La société sait que seule l’ union d’un homme et d’une femme permet potentiellement d’ assurer son avenir. Les hétérosexuels n’ont jamais eu besoin de réclamer un droit au mariage , car une telle possibilité est évidente depuis la nuit des temps.
    Le mariage n’a pas été créé pour permettre au législateur de remettre en cause la liberté individuelle en se préoccupant de sexualité récréative, homo ou hétéro, ni pour s’occuper d’amour. Le maire n’a d’ailleurs pas à demander aux futurs époux s’ils s’aiment ou non. Il ne leur demande pas non plus leur orientation sexuelle, cette dernière, quelle qu’elle soit, ne confère aucun droit. Le mariage est ouvert à tous. Il ne crée ni une injustice ni une discrimination envers les personnes qui sont incapables d’établir une relation complète avec le sexe opposé. Leur déviance de l’orientation sexuelle est la seule cause de leur incapacité à se marier.


  6. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal


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