Femmes ministres, enfants délinquants ?

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Si les familles françaises s’occupaient aussi mal de leurs enfants que le font nos familles de ministres, la France serait une gigantesque prison à ciel ouvert. Parmi nos familles de ministre la délinquance est largement sur représentée. On connaissait les ennuis du frère de Rachida Dati, les condamnations diverses et variées du fils de Charles Pasqua, de François Mitterrand, ou encore les condamnations de Ségolène Royal pour n’avoir pas payé ses employées et qui a tout juste échappé à une condamnation pour travail clandestin. Plus récemment, M Cahuzac a menti sur ses comptes en banques cachés et leurs avoirs douteux. Cependant tout cela est bien connu. Sans alimenter le discours, « ils sont tous pourris », je voudrais seulement attirer le regard du lecteur sur un problème plus spécifique : le nombre de femmes ministres qui ont eu des enfants condamnés pour des faits graves. En ce moment le fils de Marisol Touraine, ministre de la santé, dort en prison (1). Il a attaqué une petite vieille dans son appartement pour lui voler de l’argent. Le fils de Christiane Taubira a lui été condamné pour complicité de vol (2). Nous n’en aurions jamais entendu parler si la dite ministre n’avait pas essayé de faire effacer sa condamnation et si elle n’était pas actuellement ministre de tous les justiciables…

Statistiquement, ce nombre de faits constaté sur des enfants de femmes de ministre est disproportionné, sans parler de toutes celles qui ont des enfants trop jeunes pour avoir encore subi ce genre de revers. Alors y-a-t-il un lien entre délinquance et femmes politiques ?

 Une  belle brochette de femmes qui travaillent au bonheur de la France :

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Politique, un métier prenant.

Il y a peu, Clémentine Autain, féministe et membre du Front de gauche, demandait à ce que les réunions se terminent à des heures raisonnables pour les mères de familles, 17h (3). Tout comme Mme Najat Vallaud, elle a décidé d’avoir des enfants alors qu’elle a un métier extrêmement prenant qui est celui de personne politique. Le dilemme s’est vite posé pour elles : s’occuper de leur métier ou de leurs enfants en bas âge. Entre les deux, Mme Autain semble avoir compris. Elle a levé le pied et son discours envers son compagnon s’est fait plus tendre. Si elle n’a pu être présente pour sa progéniture lors de la période des élections présidentielles, désormais elle semble un peu plus absente du débat médiatique. Ce n’est pas le cas de Mme Najat Vallaud, en pleine action depuis plus de 2 ans, alors que ses jumeaux n’ont que 5 ans. Ceux-là bénéficient-ils de la présence de leur mère ? C’est fortement improbable. Cela va-t-il avoir des conséquences pour leur avenir ? Rien de moins sûr. Croire qu’on peut tout faire, bien, est un mensonge. Et croire que cet abandon, n’aura pas de conséquences, est aussi un mensonge.

Ces femmes sacrifient leurs enfants à leurs ambitions.

Jeunes et belles, elles vendent leur cul à un appareil médiatique avide de tels images. Vous pensez, nous les voyons enfin donner l’exemple ces femmes libérées. Ce serait possible de conjuguer un travail prenant et maternité, bien entendu. Mais dans les faits, c’est impossible, malgré tout leur argent. Et cela donne des résultats catastrophiques. Leurs enfants qui ont manqué d’attention au moment où c’était le plus important, dans leur prime jeunesse, sont blessés à jamais, et les manques d’amour dont ils ont souffert font d’eux des handicapés. Ils ont pourtant du fric, leurs parents sont reconnus, et parfois encore ensemble, mais le défaut d’attention est tel qu’ils en deviennent délinquants. Ces femmes pourraient attendre un peu pour s’engager dans de tels métiers, attendre qu’ils aient passés l’âge de 10 ans par exemple. Mais non, elles sont avides. Elles savent que leur meilleur atout dans une société de l’image, c’est leur jeunesse. Alors elles la vendent tandis qu’elles ne veulent pas renoncer à une/des maternités. Leur horloge biologique concurrence leurs ambitions professionnelles et elles ne veulent renoncer à rien. Elles constatent les dégâts d’un tel choix bien des années après. En attendant, elles sont féministes. Elles découvrent la vie de manière béate avant de devenir beaucoup plus sceptiques avec l’âge. Une Clémentine Autain remercie implicitement son compagnon en disant qu’il ne serait pas possible de mener de front la maternité et la politique sans l’aide de son mari (3). En somme elle reproduit le schéma traditionnel de la famille, mais à l’envers… Celle-là qui commence à comprendre toute l’absurdité de sa position depuis des années, se met alors à militer pour adapter le monde du travail au monde de la maternité. Et là, il n’est plus du tout question que les femmes soient l’égales des hommes, mais il s’agit de baisser le niveau d’exigence du monde du travail pour l’adapter aux femmes et permettre ainsi « l’égalité ». Dès lors, on comprend mieux pourquoi les secteurs investis par les femmes deviennent moins rentables que les autres (4). Les femmes jugent que leur maternité est plus importante que leur métier et elles essaient de plier ce milieu à leurs désirs. Cette attitude inefficiente devrait être interrogée. Elle n’est possible que dans un monde ultra-riche, qui sacrifie des secteurs masculinisés entiers à des secteurs féminisés par le biais de l’imposition. Car ces différences de rentabilité ne peuvent se réduire que par un moyen : l’impôt (5). Dans le même temps, il faut absolument faire croire aux hommes que les femmes sont affreusement discriminés (6), tandis que les quelques différences qui persistent en faveur des hommes ne sont que le fruit des choix des femmes. Cette opération marketing n’a qu’un seul but : faire croire à l’indépendance des femmes dans un monde où les femmes n’ont jamais été aussi dépendantes de l’Etat et de l’argent gagné par les hommes, mais cette fois de manière indirecte. Il faut culpabiliser ceux qui sont à la source de cette richesse, les hommes, pour être bien certain qu’ils continueront à faire leur bon petit travail d’esclave sans se poser trop de questions.

 

Un jour, il faudra bien en arriver à faire le bilan du « tout travail salarié » chez ces mères. Il faudra bien constater combien cette démarche aura été catastrophique pour l’ensemble de la société en terme d’efficience et de destructions sociales. Les femmes qui ont adopté ce mode de vie ont pourri leurs enfants jusqu’au point où on peut s’interroger sur la nécessité qu’elles ont eu d’en faire. Elles ont pourri les secteurs dans lesquels elles se sont investies (éducation, justice, fonctionnariat…), elles ont aussi pourri notre société en propageant des idées politiques nauséabondes, non rentables, inhumaines. Tout ce qu’elles auront touché, en tant que féministes, elles l’auront pourri, même et surtout leurs enfants.

 

Léni Escudero, Fils d’assassin :

http://www.youtube.com/watch?v=efs17QPXM8A

Et quand on produit des délinquants, ne doit-on pas se remettre en question ?

 

1 Nouvel Observateur du 10/09/2013, le fils de Marisol Touraine en prison pour extorsion de fonds.

2 Valeurs actuelles du 11/09/2013, Christiane Taubira a tenté de faire annuler la condamnation de son fils.

3 Interview de Clémentine Autain de 2012, Femme politique et mère de famille, youtube.

4 L’école féminisée leur échappe, aimeles 19/09/2012.

5 Le prisonnier, youtube aimeles du 16/05/2013

18 réponses à “Femmes ministres, enfants délinquants ?”


  1. Avatar de Justine
    Justine

    Les minitres hommes ne font pas mieux. Je dirais même plus : les riches, hommes ou femmes font souvent de mauvais parents. Le succès a un cout. 


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Oui, donc vous admettez que les discours féministes sur la réussite au féminin, envoient les femmes droit dans le mur, au minimum familialement parlant. Elles et leurs enfants d’ailleurs…


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "Qui est Mikaela, la fille de Steven Spielberg qui se destine au porno ?" Figaro du 22/02/2020.

    «J’étais gâtée, mais de manière responsable. Mes parents m’ont élevée avec la conscience de la valeur du travail, de la dignité humaine, et de l’impact de la pauvreté sur le monde.»

    Heureusement qu'ils lui ont inculqué la valeur travail. Sinon, elle aurait fait honte à l'Amérique traditionnelle !


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