PMA ou l’insémination des vaches

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Le changement, c’est maintenant. Vous vous rappelez, le slogan de François Hollande ? Mêmes mesures qu’’Emmanuel Macron, mêmes « avancées », mêmes ratages.

Oh, il n’y a pas de complot derrière cela. Les nouveaux ne veulent pas faire du vieux avec l’apparence du neuf. Ils sont les lois qu’ils présentent. Ils puent la fin de race.

L’économie bloque, mais c’est pas grave, c’est à cause de la crise qui revient pas. Quand les dieux seront apaisés, elle sera là. Le socialisme pourra continuer à vivre en bon parasite, comme avant, corrompant les populations pour qu’elles votent en sa faveur.

En matière sociétale, il faut é-vo-luer : « j’y vous jure que je n’y veut pas de JPA. J’y veux seulement que la PiMA. C’est pas pareil ! Nous nous arriterons la prochaine fois parce que quand méme, c’é grave la JPA »

Et le peuple des crétins broute.

A chaque fois, le Pacs, les unions de duos, les adoptions par les sodomites. Tout entre dans leur gros cul mou à la condition qu’il leur soit promis que, la prochaine fois, la pénétration ne se fera pas plus profond. Ils me font penser à ces femmes battues, qui secrètement en redemandent, qui font tout pour se prendre des péignées parce qu’elles ne sauraient plus quoi faire de leur vie sans l’homme qu’elles s’évertuent à dénigrer/énerver.

Cette fois, l’évolution consiste à inséminer les femmes comme de grosses vaches. Le progrès pour cette masse de crétins, c’est prendre exemple sur le pire du règne animal en matière d’industrialisation. Puis de nous donner des leçons sur la consommation de viande et le réchauffement climatique. Progresser pour progresser ne pouvait nous amener qu’à de telles forfaitures.

Face à de telles évidences, le vrai tour de force, c’est que le troupeau ait réussi à conserver la conscience tranquille dans de telles conditions. Quelle apathie. Comme si le fait d’être devenus des vaches, avait précédé l’insémination de nos femmes tel des truies.

Dans le champ de l’humanité : un taureau pour 10 utérus à remplir. C’est le quotas des homos sapiens sapiens, pour ne pas que l’inceste soit trop évident. Et pour le reste, qu’importe les conditions dans lesquelles les enfants seront produits, tant que cela se fait avec « hygiène ». La médecine peut tout. La société peut tout. Elle s’occupera des futurs petits travailleurs, car comme tout à chacun le sait, un père, cela n’a pas d’importance particulière pour s’insérer. La société peut aisément le remplacer, même dans le coeur d’une mère.

Quant à la disparition des mères, ce sera pour un peu plus tard. Les hommes meurent toujours à la guerre avant que les femmes ne soient violées. C’est dans l’ordre.

Le combat qui est mené contre l’humanité est sans répit, conséquence aujourd’hui d’un laisser aller complet. La laideur absolue gagne, à force de tout petits renoncements. Doucement, nous voilà venus à traiter nos femmes comme nous traitons nos animaux. Cela devait arriver vous me direz. Ou plutôt voilà que les femmes elles-mêmes se comportent comme des animaux. Tout est lié selon l’angle de vue adopté.

La vache veut un enfant à tout prix. Elle est faite pour enfanter, pour satisfaire son besoin dans l’ordre animal. Il lui importe peu qu’un vétérinaire plonge sa main dans ses entrailles pour ce faire, ni que les enfants soient malheureux. Il n’y a qu’elle qui compte, celle qui enfante, qui donne la vie pour pouvoir se dire « j’existe ». Avant, elle parasitait un homme en ne lui donnant aucune place auprès de ses enfants. Aujourd’hui, elle se sert de l’état, et broute les allocations. Car, évidemment, elle ne peut pas travailler comme un couple pourrait le faire. Elle a besoin de l’herbe de tous les citoyens bœufs qui ramènent du foin pour elles. Du coup, elle est un soutien inconditionnel de l’état policier. Et ce dernier le lui rend bien.

Car celles-là provoquent tant de malheur dans leur sillage, que l’économie de la maladie ne s’en portera que mieux. Vous comprenez, plus les enfants seront malheureux, plus l’état grossira avec son armée d’assistantes sociales, de juges, d’experts, d’institutrices. Le tout, maintenant payé à rien faire, explosant les budgets, mais se plaignant toujours plus du « manque de moyens ».

La vache ne se préoccupe pas de ce genre de considérations générales. Elle broute, elle met bat, puis elle dévore ses enfants et la société qui la nourrit. Par le passé, la fille-mère mettait en danger le collectif. Voilà pourquoi elle était honnie. Aujourd’hui, les parasites bureaucrates sont assez riches pour en avoir fait leur allié. Du coup, la vache est bien vue. Notre religion faussement mariale lui emboîte le pas.

Le Pape nous dit qu’il faut condamner les pédékirastes. Il le dit avec vigueur. Très bien. Nous sommes tous coupables même si nous n’avons pas commis le crime. Je l’entends. Maintenant, pourquoi nous dit-il dans le même temps que nous devrions accueillir les vaches ? Pourquoi les uns n’auraient pas le droit de faire du mal à la société, tandis que nous devrions tolérer les autres qui l’assomment ?

Priez bien mes frères, priez pour avoir laissé la pédékirastie se développer dans le corps de notre Eglise. Mais priez aussi pour l’avoir laissé se propager en tolérant dans votre tête les vaches. Priez pour avoir semé la pauvreté en laissant les vaches prospérer. Priez pour avoir maltraité les enfants en refusant de vous révolter contre la PMA. Priez pour avoir cédé au chantage de ces femmes homicides.

17 réponses à “PMA ou l’insémination des vaches”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    Touraine (Jean-Louis), Rapport d’information nº 1572 fait au nom de la mission d’information sur la révision de la loi relative à la bioéthique, Paris, Assemblée nationale, 15 janvier 2019.

    ANALYSE TROUVEE SUR LE SITE PATERNET dans l’infolettre du 16/01/2019 (la phrase de conclusion évalue très exactement la place réelle prise par les pères dans notre société)

    Rapport d’information nº 1572 fait au nom de la mission d’information sur la révision de la loi relative à la bioéthiqueDernière étape avant la présentation d’un projet de loi de bioéthique en Conseil des ministres, le rapport de la mission d’information parlementaire sur la révision de la loi relative à la bioéthique a été présenté et adopté ce matin. Président de la mission parlementaire, le député Xavier Breton n’a pas voté le texte, mais n’en a pas moins laissé un blanc-seing au rapporteur Jean-Louis Touraine :

     

    « J’ai considéré que, dans ma fonction de président, et malgré mes désaccords sur ces propositions, il ne m’appartenait pas d’intervenir sur leur contenu. » (p. 14)

     

    De son côté, Jean-Louis Touraine précise que son rapport a été rédigé « à l’issue [de] 64 réunions qui l’ont [amené] à entendre pendant environ 90 heures plus de 150 professionnels dans les domaines de la santé, des sciences, du droit, de la philosophie, des courants de pensée et des religions mais également des représentants de très nombreuses associations » (pp. 20-21). Engagé et militant, son travail n’a cependant guère tenu compte de ces consultations : il ne semble pas avoir été très éclairé par les arguments des différents « professionnels » ni n’est représentatif des différents « courants de pensées » auditionnés par la mission. Alors qu’elles pourraient profondément bouleverser la société entière, les soixante propositions du rapport sont issues d’un seul courant de pensée philosophique et politique, et vont toutes à l’encontre des conclusions des états généraux de la bioéthique.

     

    Dans son rapport du 25 octobre dernier, l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques était resté prudent à propos de la gestation pour autrui et de la procréation médicalement assistée, estimant qu’il s’agissait de sujets plus « sociétaux » que scientifiques. Les ambitions de Jean-Louis Touraine ne s’embarrassent d’aucune réserve : outre la procréation médicalement assistée pour les couples de femmes et les femmes célibataires, il propose la levée de l’anonymat des donneurs (avec possibilité d’accès aux origines dès dix-huit ans) et de l’interdiction de l’insémination post-mortem. De nouvelles campagnes seraient à prévoir pour solliciter des donneurs afin de faire face aux demandes d’ovocytes et de sperme.

     

    Jean-Louis Touraine ambitionne également de créer un nouveau régime de filiation pour les couples – hétérosexuels ou homosexuels – bénéficiant d’une assistance médicale à la procréation : une « déclaration commune anticipée » de filiation serait rédigée devant notaire avant la procréation médicalement assistée, puis transmise à l’officier de l’état civil au moment de la déclaration de naissance (pp. 83-85). La reconnaissance de la filiation se ferait aussi pour les enfants nés de gestation pour autrui à l’étranger, « au nom de l’intérêt supérieur de l’enfant » : tout en maintenant l’interdiction de la gestation pour autrui en France, Jean-Louis Touraine vise à l’autoriser de facto pour les enfants nés de mère porteuse à l’étranger, puisqu’il préconise l’inscription « automatique » des parents d’intention à l’état civil français (pp. 107-109).

     

    Le chapitre consacré aux « recherches impliquant l’embryon » (pp. 125-156) expose plusieurs arguments ou principes déshumanisants autant qu’utilitaristes, visant la seule satisfaction de certains chercheurs :

     

    « l’embryon […] peut servir de “matériau” lorsque, conçu dans le cadre d’une AMP, il ne fait plus l’objet d’un projet parental » (p. 125) ;

    « la recherche sur l’embryon est motivée notamment par la perspective d’accroître le taux de succès de la procréation dans le cadre d’une assistance médicale » (p. 126) ;

    « l’embryon n’est pas regardé comme une personne humaine » (ibid.) ;

    « l’interdiction préalable a dissuadé certains programmes de recherche et certains chercheurs, qui n’ont pas persévéré dans cette voie ou sont allés dans d’autres pays » (p. 136) ;

    « le maintien de l’attractivité des activités de recherche est sans nul doute un argument déterminant » pour faire évoluer le cadre juridique de la recherche sur les embryons (p. 142) ;

    « la recherche sur l’embryon est primordiale pour les scientifiques » (p. 144).

    Les intérêts du marché et du transhumanisme ainsi exposés sont censés justifier les propositions suivantes :

     

    « Autoriser un allongement de la durée de culture de l’embryon sur lequel sont effectuées des recherches » (proposition nº 15, p. 144)

    « Assouplir le régime juridique de la recherche relative [aux] cellules souches déjà existantes » (proposition nº 16, p. 149)

    « Autoriser les recherches sur les cellules germinales portant sur les embryons qui ne feront jamais l’objet d’un transfert in utero » (proposition nº 18, p. 153)

    « Lever l’interdit portant sur la création d’embryons transgéniques afin de favoriser la recherche scientifique » (proposition nº 19, p. 154)

    Jean-Louis Touraine recommande également l’extension des examens de diagnostics prénataux (dépistage prénatal non invasif, diagnostic pré-conceptionnel, diagnostic préimplantatoire). Ces propositions visent notamment à détruire les embryons porteurs des trisomies 13, 18, 21, X et Y, selon une logique somme toute assez perverse consistant à supprimer la maladie en supprimant le malade… Les mêmes techniques serviront tôt ou tard à sélectionner des embryons en fonction de la couleur de peau ou des yeux, du sexe, etc.

     

    Le deuxième tome du rapport rassemble les comptes rendus des auditions menées par la mission parlementaire. Tout est à lire, bien sûr, pour prendre connaissance des arguments des un(e)s et des autres. On lira cependant avec une attention particulière les interventions en faveur de la défense de la paternité, ce d’autant qu’elles sont parfois l’occasion de prises de positions incohérentes, voire contradictoires, souvent timorées :

     

    Pierre Le Coz, professeur de philosophie à la faculté de médecine de Marseille, président du comité de déontologie de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (pp. 89-100) ;

    Jean-François Mattei, ancien ministre de la santé, président du comité d’éthique de l’Académie nationale de médecine (pp. 201-211) ;

    Mireille Lachaud, administratrice nationale de l’association Familles de France (pp. 319-356) ;

    Bertrand Lionel-Marie, responsable du secteur bioéthique de la Confédération nationale des associations familiales catholiques (pp. 319-356) ;

    Marie-Andrée Blanc, présidente, Guillemette Leneveu, directrice générale, et Claire Ménard, chargée des relations parlementaires, de l’Union nationale des associations familiales (pp. 427- 434) ;

    Geoffroy de Vries, avocat, secrétaire général de l’Institut Famille et République (pp. 544-558) ;

    Ludovine de La Rochère, présidente, Albéric Dumont, vice-président, et Bruno Dary, conseiller, de La Manif pour Tous (pp. 631-647) – de loin l’intervention la plus intéressante ;

    Tugdual Derville, délégué général, Caroline Roux, déléguée générale adjointe et coordinatrice des services d’écoute, et Blanche Streb, directrice de la formation et de la recherche de l’Alliance Vita (pp. 649-664) ;

    Thierry Magnin, professeur, physicien et recteur de l’université catholique de Lyon (pp. 743-752) ;

    Pierre d’Ornellas, responsable du groupe de travail sur la bioéthique de la Conférence des évêques de France (p. 776) ;

    Michaël Azoulay, du Grand rabbinat de France (pp. 777-778) ;

    Pierre Lévy-Soussan, psychiatre, psychanalyste, chargé de cours à l’université Paris-Diderot, et Sarah Bydlowski, pédopsychiatre, psychanalyste et chercheur, chef de service au département de psychiatrie de l’enfant et de l’adolescent de l’Association de santé mentale du XIIIe arrondissement de Paris, chercheur associé au laboratoire de psychologie clinique, psychopathologie et psychanalyse de l’université Paris-Descartes (pp. 827-842) ;

    Bruno Saintôt, directeur du département d’éthique biomédicale du Centre Sèvres (pp. 845-856).

    En tout état de cause, on remarque qu’aucune des associations prétendant défendre la « cause des pères » n’aura cherché à se faire entendre dans un débat où l’existence même du père est mise en question…

    Compte rendu de séance archivé au format PDF (740 Ko, 26 p.).

     

    Tome I du rapport archivé au format PDF (3.06 Mo, 378 p.).

     

    Tome II du rapport archivé au format PDF (6.19 Mo, 884 p.).

     


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    “”Un test ADN m’a permis de trouver mon géniteur””, L’Express du 09/12/2018.

    Article très émouvant.

    Cette femme qui a été entourée d’affection, qui a eu des parents prévenants, a tout de même fait une bonne dépression à l’adolescence et a éprouvé le besoin de retrouver son père biologique, avec force.

    Imaginons maintenant une enfant privée de père “social” à cause d’une PMA pour lesbiennes, dont les parents lui expliqueraient mal la situation, et/ou qui n’aurait pas été comblée d’affection… ce serait dans un seul de ces cas, un véritable cataclysme.


    1. Avatar de Manuela
      Manuela

      Cet été j’ai eu des enfants d’une lesbienne conçus par PMA, j’ai appelé la mère un soir parce que son fils avait de la fièvre, qu’il n’allait pas bien, elle m’a répondu qu’elle ne pouvait pas venir parce qu’elle était invitée chez des amis, mais je pouvais l’appeler à n’importe quel moment de la nuit, elle garderait son téléphone allumé…LOL.

      Bien sur le laxisme est présent partout mais j’ai l’impression qu’il est beaucoup plus présent chez elles.


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) “PMA, jamais sans papa – le discours des pères”, Alliance Vita du 20/11/2018.

    Enfin…

     
    LA PETITION LA PETITION LA PETITION LA PETITION


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    “Des triplées mortes à la naissance, des parents endeuillés et le trop-perçu exigé par l’assurance-maladie”, Le Monde du 17/10/2018.

    Depuis l’utilisation de stimulations hormonales et compagnie, de PMA par implantation de plusieurs embryons, ce genre de cas se multiplient. Des pauvres gens qui n’acceptent ni la fatalité, ni d’attendre, vivent dans la peur constante de ne plus être humains. Du coup, ils ont recours à la médecine pour procréer alors que cette dernière met en oeuvre des moyens immoraux pour des questions de rentabilité. Les grossesses multiples augmentent, et du même coup les grossesses difficiles aussi. Combien de souffrances, combien de morts d’enfants, pour guérir des adultes prisonniers de leurs peurs ? Ces chiffres ne nous sont jamais donnés. Et pour cause, ils nous montreraient le marasme de l’idéologie scientiste.


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) “Monseigneur Aupetit était l’invité de RTL 24 septembre 2018”, RTL du 24/09/2018.


  6. Avatar de Léonidas Durandal

    « Parents solos: un bonus pour la garde d’enfants », L’Express du 01/10/2018.

    « Une femme, gagnant 1500 euros mensuels bruts et élevant seule son enfant de 2 ans verra ainsi l’aide maximale à laquelle elle peut prétendre passer de 467,41 à 607,63 euros par mois »

    En somme, elle double son salaire net pour un seul enfant.

    Il y a la vache et le prisonnier.


  7. Avatar de Léonidas Durandal

    “”L’anonymat du donneur pose moins de problème à l’enfant que le secret qui entoure la PMA””, L’Obs du 28/09/2018.

    En somme, ces gens reconnaissent que la pratique porte tort à l’enfant, mais cela ne les dérange pas plus que ça.


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