Prendre la place des hommes : Camille s’en va en guerre (contre Daech !)

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Les Français et les Françaises, désarmés par l’Etat se trouvent avoir été tirés comme des lapins de kermesse lors des derniers attentats. Cela stimule l’activité neuronale. Le sentiment d’insécurité a grandi et ces événements servent désormais de révélateur pour notre société dans bien des domaines, psychologiques, sociologiques politiques.

En matière de relations hommes-femmes, un article m’a interpellé, celui du JDD du 27/11/2015 où une jeune demoiselle veut s’engager comme militaire pour retrouver une forme de paix intérieur (« Je ne me sentirai pas en sécurité dans mon pays tant que je ne serai pas militaire »). L’article a été bien relayé preuve que son message interpelle, ce que vient corroborer les derniers chiffres en matière de recrutement de l’armée.

L’optimisme de mise a pourtant du mal à estomper le caractère curieux du propos. Le premier trait saillant est l’absence de confiance. Considérant que nos institutions ont échoué à les protéger, nos concitoyens envisagent tout de même d’intégrer ces institutions. Ils ne le font donc pas parce qu’ils croient en l’Etat, mais plutôt pour venir à son secours ou dans l’optique de se servir des compétences qu’ils auront acquises au sein de l’armée pour « protéger leur famille ». Dans l’article sus-mentionné, les préoccupations d’ordre général semblent totalement étrangères à la demoiselle. Sa vision individualiste peut surprendre dans un corps de métier où il faut savoir donner de soi et se sacrifier pour la communauté. Bientôt femme, elle réfléchit déjà tout en femme. Elle veut acquérir des compétences seulement pour pouvoir protéger les siens, sa famille, les personnes qui habitent en France aussi, et surtout se sentir elle-même en sécurité. L’idée de pays ou de civilisation est bien loin de ses préoccupations.

Le fait qu’elle soit une femme dans une profession traditionnellement masculine, ne semble déranger personne, surtout pas elle. Camille_pics_390Au contraire, le joli minois, la femme dans un métier d’homme, la jouvencelle pleine de bonnes intentions, tout semble devoir émoustiller le lecteur. Elle se dit sensible, mais cela ne va pas l’empêcher de trouver sa place car l’armée va « la rendre plus forte ». Elle ne veut pas « jouer à la guerre » en théâtre extérieur, mais surtout défendre le territoire. Je retrouve ici la vieille distinction entre filles qui veulent s’occuper des questions domestiques, et garçons qui veulent partir loin, à l’aventure. Ces filles désirent surtout protéger, non pas faire des conquêtes. Elles veulent sécuriser, être en sécurité, non pas affronter ou risquer. Et plus encore, elles veulent être servies (elles, leur famille) au lieu de servir (les autres, leur nation). Le vocabulaire dénigrant du « jouer à la guerre » rajoute au mépris de cette femme pour un métier dans lequel elle veut s’engager mais qu’elle déteste au fond d’elle, et qu’elle voudrait voir changer. Elle veut protéger les gens de son pays, mais dans l’absolu dans un métier où elle n’aurait pas à tuer d’autres personnes.

Cette façon de penser est à relier directement aux homélies féminisées de certains de nos prêtres qui estiment que la paix sociale est d’abord une question intérieure pour le catholique. S’il n’y avait pas de gens pour faire la guerre, il n’y aurait pas de guerres. Ils ignorent l’altérité. Car c’est l’ennemi qui nous choisit (Carl Schmitt) et le laisser agir c’est lui donner les moyens d’opérer un massacre, et moralement d’être responsable de ce massacre. Cette jeune fille ne propage en cela qu’une vision féminisée de l’ordre social qui est le nôtre. S’il suffisait de se défendre pour pouvoir survivre… A l’inverse, la pratique du combat propre aux hommes leur apprend que la meilleure défense est parfois l’attaque. La violence, l’injustice, le sang, sont consubstantiels d’une action guerrière de protection ou d’agression. La vie elle-même demande une force d’engagement, le sacrifice de soi, et de l’agressivité, si ce n’est de détruire (des plantes, des animaux pour se nourrir par exemple).

 

De mère à mère sans passer par le père

Sa relation avec sa mère est étrange. En faisant l’armée, elle considère accomplir son destin de femme eu égard à ce que sa mère lui a transmis. Sa mère trouve que le monde va mal, l’engagement social de sa fille serait une réponse aux difficultés que nous connaissons. Quant à cette future « génitrice », elle ne se voit pas accomplir son destin en tant que maman, elle veut transposer sa façon féminine de voir la famille à toute la société, supposant ainsi que le questionnement de sa mère généralisé à tous pourrait être une réponse crédible aux maux qui nous tiennent. Là encore la vision personnelle du monde est censée pouvoir s’adapter à la gestion du commun.

Son rôle biologique dans la création n’est pas évoqué. Elle donnera de l’amour à beaucoup tandis qu’elle ignore le fait qu’elle va devoir surtout en donner à sa famille. Le père qui ouvre au monde est absent de ses considérations. Sa mère elle-même semble ignorer ce que ce monde a de beau. La génération précédente s’est donc construite en dehors de toute représentation masculine. La pensée incestueuse est entièrement intégrée et permise socialement car elle est relayée sans difficulté. L’intimité c’est le bon. Le monde c’est le mal. L’enfer c’est les autres.

L’inversion entre valeurs masculines et féminines, voire la suppression de toute valeur masculine est la règle. La femme veut s’engager dans l’armée, poussée en cela par sa mère, sans aucun repère masculin propre à la faire réussir. A n’en pas douter, de deux choses l’une. Soit elle va faire comme nombre de femmes qui s’engagent uniquement dans l’objectif inconscient de se trouver un mari (et d’être protégées sans en éprouver de sentiment coupable). Soit ce qui est plus certain dans ce cas, elle va féminiser tout un secteur le rendant stérile sans comprendre pourquoi sa grande utopie n’a pas abouti. Ou bien les deux tout à la fois. De toutes les manières, face aux faits qui restent têtus, elle se repliera vite sur ses enfants et comme sa mère, trouvera décidément que ce monde va très mal. Si ce monde va effectivement très mal, c’est surtout en ce qu’il se féminise. En dehors de cela, il nous reste J S Bach.

 

Des hommes faibles, des femmes apeurées.

Enfin dernier aspect de la maladie qui est la nôtre, Camille ne peut usurper le rôle traditionnel d’un homme, et la société ne peut l’accepter, qu’à la condition où le rôle de ces hommes n’existe déjà plus dans les esprits, et dans ce cas précis que les femmes ne se sentent plus protégés par eux. Les Français n’apparaissent plus comme des protecteurs fiables pour les Françaises. Leurs compétences spécifiques d’hommes ne sont pas reconnues. A ce point que dans notre pays, bon nombre de femmes jugent qu’il est préférable de prendre les armes elles-mêmes pour avoir une chance de survivre. Et bon nombre d’hommes y souscrivent. L’égalité fait dégénérescence ou l’inverse. La peur révèle que le fantasme a gagné, si bien que les combattantes kurdes qui paraît-il, luttent contre Daech sont exaltées dans tous nos journaux (2). A l’âge où celles-ci devraient fonder famille, dans un pays vidé de ses hommes à cause de la guerre, nos journalistes trouvent formidable de les retrouver sur le front. Ils oublient que la France ne manque pas d’hommes et que nos jeunes oies blanches n’arrivent même pas à y avoir un taux de fécondité suffisant pour renouveler les générations. La carrière militaire a le double avantage de sécuriser des femmes qui ne le sont plus grâce au mariage en leur offrant un revenu, et de leur apprendre à se défendre dans un monde incertain où les hommes sont perçus individuellement et collectivement comme des faibles. En creux, il faut comprendre que la société détruit le couple et que la masculinité y a été éradiquée.

 

Un peuple ?

Le cas de Camille relayé par les internautes nous montre comment tout un pays accepte le remplacement des hommes par ces dames, quand bien même ce phénomène serait absurde et participerait à la débâcle en suscitant toujours plus de sacrifices déplacés de femmes qui ne rempliraient plus leur rôle. Il n’y a qu’à voir la différence objective entre un califat fait de bric et de broc, parti de rien depuis peu, réussissant à assimiler des éléments incultes en son sein, et notre propre civilisation au comble de la richesse et de l’organisation scientifique, pour comprendre contre toute attente que nous sommes les impuissants à cause de notre volonté de fonctionner sans masculinité. Nous rejouons la période d’effondrement de l’empire romain d’occident quand des hordes envahirent nos contrées, et que les habitants de ces dernières furent plus promptes à payer tribu qu’à se défendre. A noter que Rome la grande n’a pas moins disparu en pliant sous l’assaut des peuples barbares qu’à cause de phénomènes internes d’implosion. Tout un système féminisé qui vivait au-dessus de ses moyens dut accepter de se faire prendre ses territoires par quelques rustres qui lui réapprirent la rectitude. Un grand empire n’a pas cédé à un autre, mais il se divisa en une myriade de peuples humiliés et dominés par de vrais chefs au comble de l’inculture. Ainsi, nous ne serons pas envahis par Daech, mais nous perdrons la guerre car l’état islamique nous domine déjà intellectuellement, mais surtout spirituellement, la notion de chef chez nous étant de plus en plus galvaudée.

 

Perspective.

Il y 2500 ans, Camille, général d’origine obscure faisait entrer Rome dans l’histoire pour 1000 ans. Aujourd’hui, Camille est une jeune fille sensible de 18 ans célébrée dans nos journaux parce qu’elle veut finir de détruire une armée où un peuple sain prendrait comme la plus grande des provocations qu’elle puisse y avoir sa place.

 

1 « Le centre de recrutement fait le plein à Toulon », France 3 côte d’Azur le 24/11/2015.

2 « Les combattantes kurdes sont le premier rempart contre Daech » Le Point du 25/11/2015.

60 réponses à “Prendre la place des hommes : Camille s’en va en guerre (contre Daech !)”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    (Vidéo) “Saintes (17) : trois policiers attaqués à coups de hachoir (Màj : l’assaillante hospitalisée d’office)”, Fdesouche du 10/03/2016.

    Regardez bien comment cette femme s’attaque au maillon faible en premier, la policière.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Meurtre de la policière municipale Aurélie Fouquet”, L’Express avril 2016 pour des faits de 2010.


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Mettre les femmes au combat en première ligne ? « Nous le payerons de notre sang »”, RITV du 06/04/2016.

    Même là où la différence éclate de partout, ils font mine de ne rien vouloir voir. Ces gens sont des parasites pour notre société.


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Maguelonne Toussaint-Samat est une légende de la gastronomie. Journaliste en culotte courte, historienne, écrivain comme ses parents et ses enfants. Elle est l’auteur d’une centaine de livres.

    Son Histoire naturelle et morale de la nourriture est une somme passionnante. Alain Kruger dans “On ne parle pas la bouche pleine”, une émission de France Culture en date de janvier 2016, va essayer de lui faire dire que les hommes sont les oppresseurs injustes des pauvres femmes. Mais Maguelonne, âgée de 90 ans au moment de l’interview, va lui servir un autre plat, et ce malgré l’insistance incorrecte et inhabituelle de notre interviewer. A bien y réfléchir, Maguelonne est à l’opposé de Camille qui veut mener la guerre contre Daech. Camille ne fera jamais rien de sa vie, tandis que Mme Toussaint Samat, en assumant la condition de son sexe, est arrivée aux plus hautes sphères du coeur humain :

    maguelonne_toussaint_samat

     


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Traque anti-terroriste à Bruxelles: une policière française blessée”, L’Express du 15/03/2016.

    Elle s’ajoute aux nombreuses femmes tuées durant l’exercice et qui en proportion et au vu de ce qu’on leur demande, représentent une très forte population.


  6. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Les filles tentées par le jihad cherchent des « hommes virils qui seraient des héros, des chevaliers de la foi, sérieux par définition »”, NDf du 07/03/2016.

    Tandis que chez nous, Camille veut lutter contre Daech avec ses petits bras impitoyables, Louisa Bounechada et Israé Abou veulent des durs pour faire la guerre contre l’Occident. A votre avis, notre fin de race va tenir combien de temps exactement ?


    1. Avatar de Bonsignore
      Bonsignore

      Je n’ai même plus envie de lutter, j’entends trop souvent des gens se déculpabiliser de leur médiocrité en se disant que de toute façon le bien et le mal ne sont que dogmes de l’Église. Il n’y plus de mieux, tout se vaut. Seulement la réalité reviendra bien vite à la tronche de ces serviteurs idiots du malin. Aujourd’hui plutôt que de s’avouer nos faiblesses on préfère relativiser la force et la foi.


      1. Avatar de kasimar
        kasimar

        en se disant que de toute façon le bien et le mal ne sont que dogmes de l’Église

        Plus je m’interroge sur l’imbécillité de notre époque, plus je m’aperçois que je ne suis pas au bout de mes surprises ?

         


        1. Avatar de Bonsignore
          Bonsignore

          Pour exemple de ce que je dis: J’ai été qualifié de rétrograde abruti parce que j’osais prétendre pouvoir qualifier de salope une fille qui à 18 ans avait déjà eu plus de 40 partenaires sexuels, le terme salope désigne familièrement une fille qu’on trouve méprisable. Aussi, j’expliquais en quoi je préférais une fille qui se préservait à une fille qui se donnait à tous de cette manière: Si on considère que ce qui est rare se préserve et se respecte et ce qui est abondant se méprise, on peut considérer qu’une fille qui se donne moins aisément est plus respectable qu’une autre qui s’offre à tous, et de même je peux me permettre de dire d’une fille qui s’offre à tous que c’est une salope puisque méprisable. On me demandait à partir de combien de partenaires devenait t’on salope, à celà je répondais qu’on était jamais purement sainte ou salope, mais que chaque partenaire en plus éloignait de la sainte pour rapprocher de la salope. Bien que je développais en rajoutant que les comportements des gens peuvent varier en fonction du temps, et que je ne suis en effet personne pour juger quiconque se repentirait de ses mauvais choix par ses actes. En résumé, j’étais interdit de penser d’elle qu’elle se comportait comme une salope sous peine d’être un fanatique obscurantiste. Je me défendais en expliquant, que je ne juge pas le pêcheur en lui-même mais plutôt le péché, et que ce n’est pas parce que le péché se banalise qu’il faille considérer que ce ne soit plus un péché. Quand je commet un mauvais acte que je sais pertinemment être mauvais, je ne me défends pas en prétendant que tout le monde le fait ou l’a déjà fait, ou en amoindrissant ma faute, je caractérise vulgairement mon comportement comme celui d’une merde. Aujourd’hui, on voudrait qu’on admire les médiocres et les jouisseurs ! On continuait tout de même la conversation en m’expliquant que par ailleurs, cette fille en question pouvait avoir de grandes qualités, je rétorquais qu’elle aurait surement plus de temps et de facilité pour développer ses qualités si elle ne pensait pas qu’à se faire fourrer… 40 partenaires en 6 mois me paraissait exagéré.. Mais c’est peut être moi qui suis débile finalement, de considérer que le temps qu’on use à jouir on ne l’use pas à s’élever en conscience.

          Plus tard et par la suite, je riais de manière mesurée, d’une fille qui se sentait garçon et qui demandait qu’on l’appelle par un prénom masculin plutôt que par son prénom féminin. Hop me revoilà endossant à nouveau le rôle du fasciste quand j’ose dire que ce genre de mentalité ne fera que détruire la vie de cette personne et lui empêchera toute relation saine et durable. Que ce comportement traduisait un profond déséquilibre psychologique, mais voilà, en fait c’était encore moi le fou fasciste qui ne pensait qu’à juger. Je ne juge pas, j’analyse.

          Enfin concernant le mariage civil, que je considère sans valeur puisque pour moi le mariage implique forcément la croyance en l’existence de Dieu. En effet comment peut on jurer fidélité si ce n’est devant Dieu qui est le seul être omniprésent ? Et comment peut on jurer fidélité devant Dieu si on ne croit pas en son existence, ou plutôt si on ne sait pas son existence. Je condamnais le divorce en disant que je ne pouvais mépriser ceux qui divorçaient mais affirmant tout de même qu’un divorce était toujours un échec, un manquement à sa propre parole et à l’honneur. Quand on est pas prêt à tenir parole, on ferme sa gueule plutôt que de rompre une parole. La parole donnée a un sens devant les hommes et surtout devant Dieu.

          Voilà je suis certain d’être mal adapté à cette société où si peu m’inspire. Peut-être suis-je malade de considérer qu’on ne doit pas abaisser l’idéal en fonction des faiblesses des hommes mais plutôt renforcer les hommes pour qu’ils se rapprochent de l’idéal.

          Je suis pécheur. C’est une certitude. Mais là où certains se consolent en se disant qu’ils ont le droit d’être pire, je préfère me blâmer de ne pas devenir meilleur. Aujourd’hui, même au sein des chrétiens et de l’Eglise, certains préfèrent abaisser le volonté et les exigences de Dieu pour se rassurer, plutôt que d’assumer leurs erreurs en eux-même et tenter de ne plus les reproduire. C’est en celà que pour eux, le pire devient le meilleur et finalement le mal… ne se distingue plus très bien du bien. Je ne prétends bien sur pas que les forces et la complexité du monde ne poussent pas au doute, et pourtant je sais que, pour exemple, si je dois tuer pour me défendre et sauver ma vie, ce sera toujours moins bien que si j’avais su survivre sans tuer. J’espère que vous aurez compris où je voulais en venir et en quoi ce monde m’agace si fort alors que je n’y engage que ma deuxième décennie. Je dois faire attention aux mots que j’emploi aujourd’hui pour qualifier des gens qui de tout temps et chez tout peuple, auraient été méprisés et remis dans le droit chemin. Je deviens méprisable en soutenant l’idée du bien et du mieux, alors même que ceux qui agissent dans le sens du pire et du mal deviennent admirables. Cette mentalité moderne n’aide personne, c’est terrible comme l’inversion des valeurs est flagrante, même chez ceux qui nous sont proches.


          1. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            Bienvenue au fight club.


          2. Avatar de kasimar
            kasimar

            Avez-vous remarqué que c’est souvent les femmes qui font preuve d’ “indulgence” lors d’un péché avéré et exagéré, surtout lorsqu’il s’agit d’une de leur soeur ?

             


          3. Avatar de Bonsignore
            Bonsignore

            J’ai remarqué en effet. Nous vivons dans le monde du sensible dans lequel l’idéal ne compte pas. Aucune ne se pose la question de savoir quel sera leur sort lorsque les hommes, s’ils se feminisent encore, auront adopté le même non-sens de la justice qu’elles. Les femmes ne peuvent pas prétendre à être Justes du simple fait que la Vérité leur est indifférente.


          4. Avatar de arturo
            arturo

            Aucune ne se pose la question de savoir quel sera leur sort lorsque les hommes, s’ils se feminisent encore, auront adopté le même non-sens de la justice qu’elles. Les femmes ne peuvent pas prétendre à être Justes du simple fait que la Vérité leur est indifférente.

            La féminisation des hommes fera du mal surtout aux hommes pratiquement rien aux femmes, a court et a moyen terme. La seule chose qui va leur faire mal c’est quand le gouvernement fasciste qu’elles auront mis au pouvoir va leur arracher leurs enfants pour les envoyer se faire trucider dans une guerre ou les vendre à des pédophiles. Mais bon… elle verseront une larme sur le coup et passeront à la suite trop occupée à satisfaire leur bonheur à court terme.

            Je crois que les hommes lucides devraient s’occuper en priorité de leur santé, de celle de leur enfants, leur proches et des femmes en dernier.

            N’oubliez jamais que si vous ne vous occupez pas de vous même personne ne le fera, pas même votre conjointe.

             


          5. Avatar de kasimar
            kasimar

            Eh oui ! les femmes sont très permissives c’est d’ailleurs plus souvent les femmes qui pardonnent l’adultère par exemple que les hommes. Je ne crois pas que ce soit le mythe de la “putain” qui en soit à l’origine ou alors juste un peu

            N’oubliez jamais que si vous ne vous occupez pas de vous même personne ne le fera, pas même votre conjointe.

            Si ! votre propre famille.


          6. Avatar de arturo
            arturo

            votre propre famille

            Sous réserve que celle ci soit encore stable et pas déchirée par des conflits interne c’est a dire dans un modèle patriarcal.


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