Réécrire une mythologie féministe haineuse des pères de Laurence Neuer

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Les pères indignes et irresponsables se succèdent à la barre de la 26e chambre correctionnelle du TGI de Paris, dédiée aux affaires d’abandon de famille…”


Ce jugement moral sans appel… appelle à une réécriture complète de l’article

http://www.lepoint.fr/carnets-de-justice/il-fait-tout-pour-organiser-son-insolvabilite-14-10-2011-1384526_195.php

Cette façon de ne voir que par l’intérêt de mères qui n’ont aucune obligation tandis que les devoirs des pères seraient primordiaux ! Une des conséquences de ce genre de raisonnement, cette semaine une mère qui a laissé ses 4 enfants, 4 jours sans surveillance dont le dernier de 2 ans, sera condamnée à du sursis :

http://www.zinfos974.com/Niort-6-mois-de-prison-pour-une-mere-qui-abandonne-ses-enfants-pour-aller-prier_a33060.html

Les pères ne connaissent pas le sursis, eux, et pour des faits qui restent encore à prouver, et pour des faits qui ne relèvent pas de la maltraitance. Quand on ne peut plus les saigner, on les désocialise et on les envoie à la rue, ou bien en prison, juste au moment où ils pourraient s’en sortir, cela n’a pas d’importance. Voilà toute la morale qu’ils subissent de la part d’un système féministe. Et ils n’auront même pas l’impudence de se révolter, bien éduqués par tout une idéologie qui s’est chargée de les annihiler psychologiquement. morale

 

Cautionnant tout cela, Laurence Neuer a écrit le pire récit ordurier que je n’ai jamais lu sur un être humain, mêlant fausse compassion et détournements idéologiques et moraux. Les autres féministes veilleraient à se la jouer profil bas en ces cas, à taire le crime, mais elle, la fleur au fusil, exalte l’injustifiable. L’endoctrinement chez elle a été poussé jusqu’à l’humiliation. Alors comme ça, les hommes devraient se contenter d’être des pourvoyeurs de fonds pour leurs femmes ? euh non excusez-moi pour leurs enfants bien entendus, enfants qu’on laisse auprès de la mère pour des questions éminemment morales bien entendu, pas pour des questions d’avidité.

 

Voici maintenant des yeux de ce justiciable le récit qu’aurait pu faire celui qui vient d’être condamné, celui que je ferai à sa place puisqu’il est désormais en prison, celui d’un journaliste :

Encore un autre père laminé par le système.

« Les répudiés se succèdent à la barre de la 26e chambre correctionnelle du TGI de Paris, dédiée aux affaires d’abandon de famille. Francis (*), lui, a décidé de répondre absent à l’appel, montrant ainsi qu’il ne veut plus participer à une telle mascarade. Comme de nombreuses autres fois par le passé, ce système veut le faire passer pour une ordure aux yeux de tous et en particulier de ses enfants, et Francis ne cautionnera plus jamais une telle attitude. Qu’ils le jugent sans lui ! Il n’est pas question qu’il accepte son statut de sous-citoyen, de dhimmi. Il ne paiera pas pour perpétuer des familles où seule la mère a du poids. De toute façon, il ne peut plus, ça tombe bien ?

“Il ne vient jamais à l’audience”, note la présidente…. Il faut dire que désormais, Francis est sous le coup d’un mandat d’arrêt à la suite d’un jugement rendu par défaut en mai 2011 le condamnant à un an de prison ferme. Son ex-femme témoigne : “Il verse 150 euros par mois au lieu de 360.”

 

Francis est au chômage après avoir été licencié de son emploi de conducteur de travaux. Désormais il doit se contenter d’une ARE dont le montant est si faible qu’il doit être complété par une aide du conseil général. Pour s’en sortir, Francis s’est associé à une entreprise familiale. La présidente le soupçonne alors de gagner beaucoup d’argent. Il ne cherche pas à s’en sortir, non, comme tout homme, il doit cacher des montagnes d’or : on le sait bien ! le fisc en France est très laxiste ! Mme Le Juge est indignée. Elle n’a aucune preuve de ses soit-disant revenus mais elle est indignée ! Il en faut de l’indignation pour condamner quelqu’un dans ces circonstances.

 

14 mois de prison ferme

 

“C’est un dossier classique, confirme l’avocate de l’ex-épouse. M. J. va se faire empapaouter comme les autres. Cet idiot a même voulu éduquer ses enfants loin de l’influence néfaste de sa femme, durant deux ans, il s’en est occupé à l’étranger ! Heureusement, la justice a fait son œuvre, et a ramené les enfants à qui de droit ! On est en France tout de même ! On l’a fait condamner pour non-représentation d’enfant et séquestration, bien entendu. ”

 

“M. J. persiste en dépit de cinq décisions de justice ! déplore la procureuse. Il n’a pas encore compris. » Mme Le Procureuse oublie qu’il contribue à hauteur de ses moyens (et même plus) et que l’organisation de son insolvabilité reste encore à prouver. Mais ce n’est pas grave. Qui s’émeuvra du sort de Francis ? Depuis quand l’accusation doit-elle faire la preuve de ce qu’elle avance ? En plus, depuis des années, Francis a le culot de demander des révisions de pensions à la baisse, eu égard à la faiblesse de ses revenus. Mais quelle impudence ! « Une peine d’emprisonnement ferme de huit mois me semble pleinement justifiée”, conclut-elle.

 

La présidente chuchote quelques mots à l’oreille du greffier qui siège à côté d’elle. Les spectateurs, prochains prévenus et victimes, sont cramponnés à la scène. “On ne peut pas accuser M. J. de ne pas s’intéresser à ses enfants, martèle son avocat. La preuve, il a toujours versé une somme d’argent pour montrer qu’il assumait son devoir.” Et l’argent c’est comme cela qu’un père doit montrer à la justice qu’il s’intéresse à ses enfants en 2011 en France.

Mme La juge se contrefout des délires de l’avocat de Francis et poursuit sa conversation privée avec Mme Le greffier. Essayant de faire valoir les droits de son client, l’avocat de Francis marque un temps d’arrêt. Puis, il poursuit et ceci malgré le mépris affiché de ces femmes : “Mon client touche le RMI et bénéficie d’une allocation de retour à l’emploi, ce qui lui permet à peine de payer son loyer. Mais il a une promesse d’embauche et va donc pouvoir à nouveau s’acquitter de sa pension alimentaire”, promet-il. Avant de solliciter la relaxe de son client, “ou, du moins, la mansuétude du tribunal pour stopper le mandat d’arrêt décerné à son encontre”.

 

Le tribunal va-t-il donner une chance à Francis de payer 360 euros avec le SMIC qu’il devrait toucher prochainement ?

 

Même pas.

 

Le passif bétonné de Francis n’atteindra pas les rives d’une quleconque clémence judiciaire. Touché, coulé. Le prévenu écopera de 14 mois de prison ferme (au-delà des réquisitions de Madame Le Procureur), mandat d’arrêt à la clé, outre 2 000 euros de dommages et intérêts à verser à son ex-épouse (il faut bien récompenser celle qui a fait œuvre de justice et qui souffre tant du manque d’argent de son rémiste de conjoint).

 

Voici comment on rend la justice en France en 2011. Oui, il y a bien des martyres. Ils sont nombreux. Ce sont des hommes. Ce sont des pères qui refusent leur servitude. Ce sont des hommes.

 

esclavage

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