Publié le 10 novembre 2013 par Léonidas Durandal à 22 h 02 min
élaboré. C’est peut-être une de ces énièmes usurpations sur internet mais je suis certain du contraire. Et vous devez me croire sur parole, seulement parce que vous savez que j’ai une très grande expérience des femmes et de leurs manipulations pour savoir quand une de celle-là ne ment pas. Ce travail, personne ne le fera à ma place, ni à votre place si vous décidez de transmettre son message, alors voilà ce que des années d’expériences peuvent me dire de celui-ci en plus des vidéos que vous pouvez consulter :
Les procédures accusatrices en matière de lois familiales occidentales, ont permis que l’enfant soit confié par la DPJ à un des deux parents de manière quasi exclusive. Or l’enfant souffrait d’autisme, ou tout au moins de troubles du comportement importants. Il a donc été soigné pour cela, mais son état s’est progressivement dégradé, et la prise de médicaments n’a rien arrangé. La mère a dû voir son enfant dégénérer sans être près de lui. Certainement que l’éloignement de la mère a renforcé la maladie ou l’inadaptation de l’enfant, si ce n’est pas l’éloignement qui a détruit progressivement l’enfant.
La responsabilité des femmes dans la situation actuelle n’enlève rien à l’injustice.
C’est vrai, depuis des années, les femmes et l’Etat ont passé un pacte (Cf Jacques Donzelot et « la police des familles »). L’Etat a remplacé le père avec l’assentiment des femmes. Les femmes bénéficient désormais de la protection de l’Etat et l’Etat peut donner ses directives tout en étant élu par des femmes majoritaires aux élections. Mais parfois le système a des couacs. Prenez une mère étrangère. L’Etat Nation protégera plutôt le père, contrairement à ses habitudes (3). Prenez une mère qui ne respecte pas ou ne comprend pas le contrat entre l’Etat et les femmes, elle sera délaissée au profit du père. Et puis, il y aura aussi tous les cas d’erreurs de fonctionnaires trop humains qui prendront des décisions qui dépasseront leurs prérogatives (1). En dernier lieu, si la majorité des personnes victimes de ce système sont des pères, il arrive aussi que des mères le soient. Dans presque tous les cas, c’est l’enfant qui sera détruit. L’Etat en subventionnant les familles, s’est aussi arrogé un droit qui semble proprement incroyable : celui de savoir qui avait le droit ou non de garder ses enfants. Ainsi l’Etat peut retirer un enfant à ses parents de manière arbitraire, non pas parce que les allocations familiales ne suffisent pas pour que ces parents puissent éduquer leur enfant, mais parce que l’Etat leur a donné ces allocations familiales. Parents, songez-y. A chaque fois que vous acceptez des allocations familiales, vous n’acceptez pas que de l’argent, vous déléguez à une institution le droit de pouvoir vous enlever vos enfants. Ainsi ce ne sont pas seulement les enfants en état d’abandon qui sont pris en charge par l’Etat, mais aussi tous les enfants dont la situation familiale est conflictuelle. Et comme les lois de nos Etats occidentaux sont largement féminisées, les règles en matière familiale ne sont pas claires (2). Il faut juger au cas par cas, de manière personnelle. Ainsi, loin de traiter les cas personnels, par des règles flottantes, l’Etat encourage surtout les comportements accusatoires. Et celui qui se comportera comme la pire ordure, ou bien celui qui aura le plus de pouvoir réel, souvent la femme, remportera le pompon. Elle pourra détruire son enfant loin de l’autre parent. Car pour garder son enfant en cas de conflit, l’homme, mais plus souvent la femme, devra l’éduquer dans l’idée que l’autre parent est un monstre. Ainsi, dépositaire du droit majoritaire octroyé par l’Etat, ayant l’assentiment de l’ensemble de la société, le parent malade pourra imprimer dans l’esprit de son enfant que son autre parent n’est rien. Vous imaginez les dégâts.
Le cas du petit Medhi.
Ici, pour une maladie où le petit Medhi aurait eu besoin spécifiquement de sa mère, il en a été éloigné. On l’a bourré de médicaments (5) au lieu de le bourrer d’attention. Sa mère accuse même les services de la DPJ d’avoir détruit l’enfant, et cette possibilité n’est pas à exclure. Les services de l’Etat ont décidé qu’un seul des parents pouvait l’éduquer. Finalement, vous n’avez qu’à voir les images sur les vidéos : l’enfant est détruit.
Sauvez Medhi. » http://t.co/7dl2Y7jPXz http://t.co/gpdVr0quHR
Des enfants détruits : la responsabilité de l’Etat dans le cas du petit Medhi. http://t.co/Un71aFbc3S
L’exception qui confirme la règle, UNE AFFAIRE
D’AVOCATS, ’Un appel déguisé après cour’’ par le biais des services sociaux a eu
raison de ce merveilleux petit enfant. La
responsabilité parentale ne s’arrête pas quand l’enfant développe des troubles
! A fortiori si ces troubles sont imposés par la force de son entourage. L’enfant
est maintenu sous contention chimique (on le bourre de psychotropes pour qu’il
reste tranquille!) sans supervision médicale adéquate, et ce malgré l’avis de
nombreux professionnels impliqués dans le dossier témoignant non seulement de
l’inutilité d’une telle mesure, mais également son effet extrêmement néfaste
pour le développement de l’enfant, qui vit une telle situation depuis l’âge de
4 ans et qui en a maintenant 9 aujourd’hui,
On parle ici d’un enfant qui au départ n’avait qu’un simple retard de
langage, retard qu’il était justement en train de rattraper à l’époque grâce à
des services spécialisés. Le regard d’un parent construit mais dans le cas de
ce petit enfant, le père fort de ses appuis, de sa sœur pédiatre a fait une
projection sur l’enfant de sa propre difficulté mentale, pour en faire un
orphelin potentiel, le couper de ses racines, le livrer en pâture : Le ‘’JAT’’
en recherche opérationnelle, dans les faits ‘’ le Syndrome de MEDÉE’’
dimensions psychopathologiques importantes à la notion de syndrome d’aliénation
parentale, parcours sadique de la perte d’amour, une modalité de harcèlement
mise en œuvre voulant priver l’autre parent de la relation avec ses enfants et
apparaissant à l’occasion d’une rupture conjugale, » le deuil satanique ». Ce
concept ajoute des dimensions psychopathologiques importantes à la notion de
syndrome d’aliénation parentale, utilisation de l’enfant pour se venger, retour
de rites sacrificiels, chez des sujets avec trouble de la personnalité
confrontés à des relations d’amour dramatiques.
Une démarche structurée et impitoyable a été mise
en place, visant à entraver l’accès à l’enfant mais aussi à placer la mère dans
une situation d’impotence pour mieux sévir. Ce petit enfant arraché à sa mère a
un âge crucial de son développement a été livré sans aucun moyen de contrôle
dans une secte d’extrémistes, traité comme un esclave, abusé sexuellement ,
l’enfant ayant passé le clair de son temps dans des répits, dans des camps de
toile ‘’de clientèle lourdement handicapée ‘’ , soustrait à l’environnement
affectif et éducatif qui lui convenait pour le soumettre à un environnement
éducatif spécialisé incompatible avec son état réel en plus de causer un
traumatisme émotif de part la séparation d’avec sa mère, traumatisme qui fut
« géré » par voie de contention chimique. Par la suite, le père a eu un nouvel enfant
avec sa nouvelle conjointe, et ne désire plus avoir la garde de l’enfant. Plutôt que de reconfier l’enfant à son milieu
familial original, d’où il n’aurait jamais dû sortir d’ailleurs, il est plutôt
envoyé en Centre de réadaptation en déficience intellectuelle (CRDI) alors
qu’il est gavé de psychotropes qui le rendent dans un état de légume ambulant,
histoire de contenir la rage et la détresse que tente d’exprimer l’enfant face
à la situation intolérable qu’on lui fait subir.
Imaginez-vous alors que vous étiez enfant, ne
serait-ce qu’un instant, de vous retrouver avec toutes vos facultés cognitives
mais en étant forcé d’évoluer dans un environnement éducatif conçu pour une
clientèle lourdement handicapée mentalement, et coupé de tout lien affectif et
familial significatif. Imaginez les
effets que cela aurait non seulement sur votre développement cognitif, sur le
frein que cela peut mettre dans la réalisation du plein potentiel d’une
personne, mais surtout du malaise et de l’inconfort qui n’auront d’autre choix
un jour ou l’autre que de s’exprimer à travers la colère face à une telle
atteinte à son propre développement personnel, et vous commencerez à comprendre
le désespoir que tente d’exprimer cet enfant à travers ses crises, crises que
la DPJ à choisi de réduire au silence par une camisole de force chimique Après 5 années d’accommodement du DPJ et de
subventions du gouvernement, le père n’en
veut plus et demande que l’enfant soit placé!… ‘’Projet de vie de ce petit
enfant’’, comme de bien entendu, le DPJ décide de placer a majorité dans un
CRDI et le bourrer de psychotropes RISPERDAL +EPIVAL, une petite vie de
détruite, un enfant martyre qui finira sa vie en institution sous contention
chimique, voir électrochoc, ça c’est le Québec, impossible de sensibiliser les
décideurs au sort de ce petit enfant dont la mère n’a eu de cesse de se battre
depuis 5 années pour lui venir en aide à son enfant !…, ‘CE PETIT ENFANT MARTYRE
HANTERA LE QUÉBEC JAMAIS !!………..
Regardez ce qu’il est advenu de l’enfant, 4 années
de RISPERDAL+EPIVAL+BIFENDEN. Pendant
des années la mère assistait impuissante à la destruction de son enfant, sans
aucune possibilité de lui venir en aide et ceux malgré les cris d’alarme des
professionnels
https://www.facebook.com/photo.php?v=171202709740790&set=vb.146487185545676&type=2&theater
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https://www.facebook.com/photo.php?v=172068022987592&set=vb.146487185545676&type=2&theater
Et l vidéos de ce qu’il est advenu de l’enfant avec
l’aval du DPJ
http://youtu.be/gn9T1HwjFNY
https://www.facebook.com/photo.php?v=172042306323497&set=vb.146487185545676&type=2&theater
https://www.facebook.com/photo.php?v=171202709740790&set=vb.146487185545676&type=2&theater.