« Tout va bien », ou le film de la propagande lesbienne.

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Vous savez bien, il vaut mieux que les femmes s’occupent des enfants, c’est plus naturel, et puis, elles savent si bien faire, elles savent donner l’amour qu’il leur faut, elles ont cet instinct inimitable (surtout par les hommes)… alors pourquoi ne pas confier des enfants à des lesbiennes ?

Et puis c’est l’amour le principal, non ? Il vaut mieux qu’un enfant soit élevé dans une famille homosexuelle que dans une famille hétérosexuelle qui ne s’entend pas ? Pas besoin de sexe, d’identité ou de différence… ou bien le « tonton » peut servir de modèle masculin aux enfants nés dans ces familles… Les familles lesbiennes sont des familles nouvelles et tout à fait comme les autres, qui apportent aux enfants ce dont ils ont besoin !

Toutes ces conneries que vous entendez autour de vous, sont celles là-même qui nous ont conduit notre société à la catastrophe familiale qui sévit actuellement. Et pourtant il faut que la propagande progresse. Alors ces familles de lesbiennes qui élèvent des enfants commencent à sortir de l’ombre pour désormais gagner un combat idéologique à la face d’une société aux valeurs chancelantes. « Tout va bien » est le film de cette propagande, de la normalité des familles lesbiennes qui sortiraient de leur anonymat pour nous donner une image rassurante de leur quotidien. Ne vous détrompez pas, il n’y a rien de pire que cette propagande doucereuse, car elle vous fera prendre des vessies pour des lanternes. Oui, il y a longtemps que des lesbiennes élèvent des enfants sous couvert de copinage. Plutôt cachées du regard des autres, ces « familles » ont vécu dans la discrétion pour pouvoir assouvir leur déviance, sans bruit. Aujourd’hui elles savent que la société est mûre pour développer le modèle. Dîtes-vous bien que toutes ces filles mal éduquées, avec une image tronquée du père, arrivent aujourd’hui en masse dans notre société, qu‘elles sont incapables d’aimer un homme et que ces déviantes ont elles-aussi leurs pulsions animales et leurs désirs d’avoir des enfants sans avoir le désir de leur donner un modèle stable entre un homme et une femme. Les familles hétérosexuelles souffrant effectivement d’un manque de repère seraient concurrencées par les familles homosexuelles, plus tolérantes, plus à même d’élever des enfants (surtout s’il s’agit de deux femmes). En fait, la propagation de ce genre d’idéologie participe à la destruction de l’équilibre hétérosexuel. Plus ces familles s’imposent et plus, effectivement, il devient de plus en plus difficile aux hommes et aux femmes de vivre ensemble et de se comprendre, plus il devient difficile de construire des familles hétérosexuelles, entre des hommes prisonniers de leurs mères (homosexuels) et des femmes infantilisées (homosexuelles) nés de familles avec des repères de moins en moins solides.

 

Il faut répondre à cette propagande :

 

  1.  Les familles homosexuelles ne peuvent pas donner plus d’amour qu’une famille hétérosexuelle puisqu’à la base, les familles homosexuelles mettent les enfants qu’elles volent, dans l’obligation d’aimer un repère déviant. En guise d’amour donné, les familles homosexuelles répondent en fait à des pulsions viles et basses et immatures. Et je ne crois pas que ce soit cela que de donner de l’amour. Bien au contraire, si les couples d’homosexuelles aimaient tant que cela les enfants, elles n’en auraient pas. Mais le fait qu’elles aient ces enfants prouve que les homosexuelles n’aiment pas les enfants.
  2. Que penser de ces « tontons », ces repères masculins que les homosexuelles tentent de donner par le biais d’hommes proches du couple, sinon que ces hommes servent de bonne conscience à des femmes déviantes, « tontons » qui ne remplaceront jamais un père. Que penser de ces hommes qui acceptent de jouer ces rôles sinon qu’ils sont des collabos d’un système pervers.
  3. Quant au fait que des femmes seraient plus à même d’élever des enfants, laissez-moi rire! Quelles soient plus capable d’attention, peut-être (et encore), mais qui sont les seuls qui peuvent donner aux enfants, le goût du monde et de l’aventure, de la science, de la découverte et des risques, si ce ne sont les hommes. Les enfants élevés par des lesbiennes sont des unijambistes qui essaieraient de courir un marathon avec la béquille de « tontons ». Certes, ces unijambistes peuvent arriver à la fin mais dans quelles conditions… alors quand des lesbiennes voudraient nous donner des leçons sur la famille, elles me font doucement rire, elles et leur société qui tremble de partout.

 

Il est temps de leur répondre. On ne diffusera pas vos films sur le sujet, ni vos articles, ni votre parole. Mais cela ne doit pas vous empêcher de parler, de filmer et d’écrire. Le cancer féministe a presque gagné.

 

4 réponses à “« Tout va bien », ou le film de la propagande lesbienne.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "Un-film-de-pixar-censuré-au-Moyen-Orient-a-cause-d-une-phrase-d'une-policière-lesbienne" L'Obs du 10/03/2020.

    Oh mince, les vilains, ils n'écartent pas les jambes face au soft power. Vraiment pas bien. 


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Maryam Keshavarz, le film “En secret” faire bander les hommes avec des lesbiennes, faire du fric, détruire les sociétés traditionnelles.


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Une nouvelle amie : une subversité de façade”, France tv infi du 10/11/2014

    La journaliste trouve que la propagande n’a pas été assez loin cette fois ci…


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    Oulala, pour la “vie d’Adèle” équivalent français de la propagande américaine, il faut déclassifier le film pour les moins de 16 ans alors que le contenu est explicitement pornographique, sans compter le soutien du CNCF. A part cela, ce n’est pas de la propagande d’Etat :

     

    NDF du 25/10/2013


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