Un monde stérile au féminin

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Je voudrais bien croire la modernité si tant de femmes que je voyais ne penchaient pas irrémédiablement vers la stérilité. Devant cette évidence simple que notre pays n’arrive plus à se reproduire, le vide est là. Et ceux qui se reproduisent, la tronche… dans quelles conditions les voient-on se supporter, tout juste, peu souvent paisibles, se séparer, blesser mortellement leurs enfants.

Le contrôle des femmes exercé par le sexe gère l’état de manque chez l’homme, et le crée. Le mâle devient alors esclave de sa pulsion. Mais ce pouvoir qu’acquière une femme en dehors des obligations du mariage, rabaisse l’homme. Elle fait de son partenaire un Gugulanna. Or même si la femme obtient de l’homme ce qu’elle veut de lui en jouant du sexe, elle est vite déçue par sa marionnette. Profondément, au-delà de la brute physique, elle désire la vraie force, cependant que dans sa jeunesse, elle penche plus encore vers la maîtrise de son environnement. Voilà pourquoi , quand elle en a le pouvoir, elle s’engage souvent avec un faible, ou en abuse, et le méprisera par la suite, brisant ainsi sa famille. Bien entendu, en lui faisant d’abord confiance, elle croira pouvoir le changer avec le temps. Elle n’obtiendra pourtant de lui que ce que cet homme ne devait devenir. Son erreur la bouleversera au plus haut point. Seule après avoir fait le deuil de sa toute puissance, elle régressera alors à l’état de « fille ». La tradition n’a pas inventé le terme de « fille-mère » au hasard. Certaines le restent toute leur vie. D’autres le deviennent après une rupture.

A cause de sa toute puissance, la femme veut être sauvée d’elle même. Mais elle ne peut l’être que si toute la société lui donne des limites. Si la société lui laisse toute licence, la femme abuse, détruit, stérilise puis se retourne contre celui qui l’a laissé faire. A moins que pour une raison ou une autre, elle renonce d’elle-même à son pouvoir. Si en tant que fille par exemple, elle a trop souffert des lacunes d’un père. Dans ce cas, l’homme n’aura aucun mérite à voir prospérer sa famille. Il devra tout à sa femme, et ne devra pas s’en gargariser, car moralement, il ne sera qu’un assisté.

Dans un cadre féminin, l’homme en vient à haïr la sexualité qui le transforme en animal de compagnie. Dans ce genre de monde il lui arrive de renoncer à toute forme de copulation. Car par essence, le sexe est un tue l’amour qui brise la confiance, qui tue le sexe. Pente sans fin, nos hormones nous appellent à vivre ce dont nos coeurs et nos corps ne sont plus capables. L’espérance reste pourtant. Voilà pourquoi de temps en temps nous cédons à la médiocrité d’une passade, d’une masturbation par corps interposés, supputant l’amour. Mais Dieu fuie le laisser-aller, plus que tout.

Je ne suis pas fait pour cette société stérile. Je ne suis pas capable de désirer des femmes qui ne veulent qu’être désirées. Je préfère encore la baise. C’est moins hypocrite. Je suis une âme perdue en ce monde, un extrémiste de la vie parce que le monde est devenu extrémiste dans la mort et qu’il ne veut se concevoir autrement. Je suis seul, mais peut-il en être autrement.

Hypocrites femmes modernes qui baisez pour être aimées, croyez-vous valoir plus que ces hommes qui se laissent guider par leurs pulsions ? Vous vous croyez meilleures, mais vous vous réveillez, irrémédiablement, à 40 ans, pour le pire, parce que la déchéance est trop visible. Pour découvrir que votre source s’est tarie. Pour décongeler vos ovules. Pour constater les blessures que vous avez infligées à votre corps. Pour traumatiser un innocent et parfois l’assassiner sous les applaudissements des lâches. Pour abandonner votre progéniture au milieu de votre famille. Pour profiter parce que vous ne savez que ça de nos jours. Profiter dans une société du profit où les idiotes de gauche tuent le sacré. Où les idiotes de droite ont peur. Sans homme, vous n’êtes plus capables d’enfanter dans de bonnes conditions.

Quid des animales qui se reproduisent sans y penser. Quid des petites cruches qui vouent un culte à leur porte-monnaie quand il s’agit de faire des enfants. Quid de la femme ambitieuse qui pond grâce à la médecine à un âge où elle devrait être grand-mère. Quid de celle qui s’intoxique d’hormones pour pouvoir baiser. Quid quid quid… des utérus faits pour la mort, qui maintenant se vendent, parce que ça ne fait pas de mal, à l’économie des robots qui se reproduisent sans savoir.

Image issue de l’article, “Je suis une femme indépendante”

Les hommes pantins d’autrefois valaient toujours plus que les pédales pédophiles d’aujourd’hui que vous avez fait incuber dans vos sacs à foutre. Prétentieuses qui n’avez confiance qu’en vous, la contestation que vous avez orchestrée envers les hommes est trop grande. Croyez-vous qu’un seul homme puisse vous affronter, et sur le terrain de l’intimité, et dans la vie sociale, et pouvoir survivre ?

Aucun ne le peut. J’ai dû sacrifier le social, tout ce qui faisait de moi un homme, pour pouvoir continuer à vivre. Et encore voulez-vous tuer cet élan qui pensez-vous, ne vous sert à rien car il ne vous sert pas. Car je ne rapporte pas du fric pour entretenir votre système à filles-mères. Et la crise est là. Les salopes sans leurs enfants d’abord. Les autres peuvent crever dans la rue, il faut d’ailleurs les mettre à la rue ou qu’ils retournent au turbin, même s’ils ne le peuvent pas. C’est eux ou vous. Le choix est vite fait.

Vous êtes les fonctionnaires qui jetez ces hommes à la rue. Vous êtes de ces oppresseurs qui collectez l’impôt pour nourrir le monstre social qui enfante à votre place désormais. Vous êtes de celles qui ne supportez pas qu’un homme ne participe pas à l’économie, soit inutile comme vous dites, sauf si c’est votre fils, et encore. Mais surtout vous ne supportez pas qu’il ne nourrisse pas sa famille même si c’est pour agir en humain. En ce moment, vous ne tolérez que l’esclavage, sexuel dans l’intimité, économique dans la société. Vous poussez ce monde au crime. Et la crise ne va pas arranger les choses.

Je ne ferai pas gagner d’argent à cette société là pour payer vos non-emplois. Et pourtant je serais capable de toutes vous nourrir, vous et votre incompétence jalouse, encore des années, grassement, malgré la crise. Je suis né pour ça, pour faire chier le fric du bout de mes doigts quand l’envie m’en prend, faire du pognon avec n’importe quoi, n’importe comment et dans n’importe quelle condition. On ne se refait pas. Mais quand je vois la tronche du marché de l’emploi, j’ai beau aimé ça, non ce n’est plus pour moi.

Car avec vos réflexes dans la vie publique, vous avez tué tout ce qui était bon dans la vie publique. Vous l’avez pervertie. Il n’y a plus ni frein dans la bêtise, ni limites, ni aventure, vous les petites filles sages à qui on ferait faire n’importe quoi pour qu’elles puissent conserver une bonne image d’elles-mêmes. Toute velléité de femme se transforme irrémédiablement en merde. On ne le dira jamais assez : la femme est faite pour accueillir pas pour décider.

Quand la télé nous donne à voir de ces femmes ambitieuses professionnellement, je suis partagé entre une envie de vomir et un sentiment de pitié sans fond. Tout comme quand je vois un nègre de maison sur un écran, dans une équipe de sport, par exemple présenté de façon à nous vendre le multiculturalisme. Les nègres que je fréquente ne sont pas des pancartes publicitaires, image servile de blanc à laquelle notre bien pensance compte les faire adhérer et nous faire adhérer. Les femmes que je fréquente se foutent pour la plupart de leur métier. Elles voient bien que les femmes « ambitieuses » ne réussissent plus rien du tout. Seulement entre notre faiblesse d’hommes et leur petit confort, elles ont vite fait de choisir quitte à laisser crever leurs parents, et laisser crever leurs enfants, et foutre dehors leur compagnon.

Les hommes ont aujourd’hui peur de s’engager. L’inverse serait étonnant. Il n’y a plus aucune contre-partie au mariage. Les femmes gagnent tout et ne perdent rien, quelles que soient les décisions qu’elles prennent. Et comme elles ne sont pas meilleures que les hommes, en de telles circonstances, elles abusent. En toute bonne conscience, et sous les encouragements d’une société qui vit au-dessus de ses moyens. Elles se font alors engrosser. Cela ne va pas plus loin. Quand ce petit système s’effondrera, où trouverez-vous mesdames des hommes capables de ramasser vos gamelles , vous qui avez tout investi ? Les pauvres paieront, comme d’habitude.
Car le pauvre est le moindre de vos soucis, malgré vos récriminations. Vous vous nourrissez de la pauvreté de plus petits, voilà pourquoi vous les aimez. Tant et si bien que vous croyez que le pauvre est comme vous : qu’il a besoin d’argent pour sortir de la rue. Foutaises. Dans notre société riche, il aurait besoin de retrouver sa famille, ses enfants, ses repères que vous lui avez pris en tuant l’idée de bon père de famille. Il hait votre monde. Il sent le pauvre, le mensonge, l’aliénation, le collier au cou, les manques de miséricorde individuels.

Vous ne vivez que par la haine. Tel est le monde que vous, femmes de France, occidentales, plutôt de gauche, avez construit en laissant les pires d’entre vous prendre le pouvoir. Un monde d’égoïstes enfermés et pleins de haine. Une haine cachée, sourde, détournée, par derrière, un monde de haine au féminin. Voilà pourquoi notre monde s’écroule. Voilà pourquoi vous n’arrivez même plus à vouloir d’enfants, que vous tuez les autres, ou que vous nous mettez dans des conditions déplorables pour les faire.

Qu’il est triste ce monde stérile que vous avez construit. Qu’il est triste ce mensonge perpétuel, du tout va aller bien. Du le monde de demain féminin nous appartient. De la tyrannie de quelques femmes immondément fortes sur toutes les autres. De votre inconscience.

Vous préférez les chefs hommes, et il y a une bonne raison à cela. Le chef homme est une des dernières garanties qu’un milieu féminisé ne va pas s’effondrer définitivement. Implacablement le chef femme détruit, abuse, stérilise. Peu dans la société sont aussi ridicules que des chefs femmes sauf quand elles singent les hommes. Dans l’imitation vous êtes reines, ça oui, ou pour faire des enfants. Mais jamais vous ne saurez créer dans le monde à la hauteur des hommes, sauf exception. En vérité quand une femme a eu un enfant, que peut-elle faire de mieux ? Elle n’a plus rien à conquérir. Et quand elle n’a pas fait d’enfants c’est encore pire, elle ne connaît rien à la vie.

Je vous regarde de haut femmes prétentieuses, vindicatives et brutales de France 2015, avec mon pénis en bandoulière. Vous ne le prendrez jamais vivant celui-là. Il lui faudra toujours pénétrer, résister, persister, faire vivre, à travers vous ou pas. Opprimez, cherchez la vérité dans l’affrontement, adolescentes éternelles, il reste droit. Je le réserve à une goulue qui en vaille la peine, il en existe, et surtout à une qui ne voudra pas se battre contre moi avec le phallus qu’elle n’a pas, mais qui acceptera de se soumettre à sa réalité de femme, consciente de son utérus, effrayée par sa possible hystérie. Et je ne saurais que trop conseiller à tous les hommes de faire de même. La femme phallique est une utopie sans lendemain derrière laquelle rien ne repousse. Pas d’enfants. Pas de croissance. Pas d’invention. Pas de génie. Pas de famille. Pas de nature. Pas de paix. Pas d’amour. De l’incohérence seule.

Vous avez fait de nous objectivement vos ennemis. Il ne nous reste que le fantasme. Vous ne me ferez plus courir derrière vos chimères. Les femmes ont besoin des hommes. L’inverse est moins vrai. Il suffit pour cela de dominer sa pulsion, et de vous la cracher au visage en signe de mépris. Je ne vous demanderai jamais plus de me respecter, je le serai à jamais, sûr de moi face à vos invectives pour dominer, devant vos doutes et vos remises en question permanentes pour déstabiliser ou vous rassurer, et votre constante recherche de force.

Ainsi l’homme que vous avez voulu voir naître est né. Il ne vous idolâtre plus, il vous méprise. Il a passé le désert que vous lui avez imposé de traverser, et aujourd’hui il est bien curieux : vous qui ne dominez que par mépris de nos passions, que ferez-vous avec un homme qui les domine ?

151 réponses à “Un monde stérile au féminin”


    1. Avatar de Lou
      Lou

      “Au moment où la femme commence à avoir des règles son stock d’ovules a déjà diminué d’un cinquième” alors même, que les premieres règles arrivent de plus en plus tôt :/


  1. Avatar de kasimar
    kasimar

    Récemment j’ai appris le divorce d’un collègue avec sa femme. Il paraît qu’elle ne s’impliquait pas assez pour s’occuper de son rejeton, enfin ne remplissait pas du tout son rôle de mère. Pourtant elle a sa part de responsabilité non ? Sinon pourquoi faire un môme ?

    Les hommes pour mon plus grand espoir ne sont plus aussi dupes, et si sa femme n’a pas voulu assumer son gosse, le divorce quoiqu’on en pense est la meilleure option. avec interdiction de voir son gosse, encore mieux. De toute façon, elle n’est pas faite pour être mère…


    1. Avatar de Mindstyle
      Mindstyle

      Personnellement, je me sens prêt à envisager ma vie sans enfants ni famille. Les femmes sont désormais beaucoup trop déresponsabilisées et la mort sociale et financière qui résulterait d’une séparation conduit la plupart des hommes au suicide.

      C’est une chose de s’apercevoir qu’on s’est fait avoir alors qu’on ne se doutait de rien; c’en est une autre quand on a un degré de conscience suffisamment élevé pour réaliser la position qu’ont les hommes dans la société française du point de vue familiale.

      Si la plupart des femmes font des gosses, c’est qu’elles savent bien que leur statut de mère de famille (où ce qu’il en reste) leur confère un certain “prestige” et une certaine protection dans la société; le gosse, elles n’en ont pas grand chose à foutre; ce n’est qu’un faire-valoir social, une façade pour faire croire aux autres qu’un est quelqu’un de digne, la panacée étant la fille-mère remporte tous les prix de la dignité pour élever un gosse à qui on n’aura fixé aucune limite.

      Le système implante sa propagande très tôt dans les jeunes esprits; rien que la mixité scolaire est une aberration qui détraque littéralement les rapports hommes-femmes et imprime une dynamique totalement malade.

      C’est une contamination des esprits qui me convainc que l’exception n’existe pas; et qu’aujourd’hui, un homme a tout à perdre en fondant une famille en France, surtout si cet homme fait partie de la classe moyenne…

       


      1. Avatar de kasimar
        kasimar

        Moi je pense plutôt que la femme étant bourrée de contradictions ne sait pas ce qu’elle veut. Vite ! il me faut un rejeton avant que l’horloge biologique me rappelle à la dure réalité ! Et quand vient ce dernier, si l’époux a encore assez de testostérone et de masculinité comme mon collègue, il s’aperçoit qu’en fait, sa femme est immature, incapable d’être mère, pour malheureusement de nombreuses mères. Certains, malgré eux, prennent le relais, et deviennent de fait les “mamans” du couple, d’autres encore l’assument complètement. Léonidas appelle celà des mères pondeuses. Et c’est à cause de cette folie que je n’encouragerais jamais les femmes à faire des gosses si c’est pour les négliger. Je suis d’accord pour dire que l’homme doit aussi s’impliquer en tant que père dans l’arrivée d’un gamin, voire donner des petits coups de mains pour les couches, le biberon après les 6 mois, se réveiller certaines nuits pour le faire taire, afin que Madame n’ait pas l’impression d’être une nounou à plein temps. Mais il ne faut pas non plus s’impliquer plus qu’un minimum, car c’est la femme qui justement doit être plus présente que l’homme pour son enfant les premières années de sa vie. Sinon pourquoi Dieu lui Aurait Il Donné des seins ?

        Regardez les derniers études de l’OMS une organisation pourtant institutionnelle,en France à peine 20% des femmes allaitent jusqu’à 6 mois en France. Çà en dit long sur le statut de mère.


        1. Avatar de Léonidas Durandal
          Léonidas Durandal

          Si Dieu lui a donné des seins, c’est pour remplir les mains des honnêtes travailleurs ! (bon je sors)


        2. Avatar de Manuela
          Manuela

          plus le papa s’implique moins la maman s’implique. Généralement les papas qui change les couches et compagnie n’ont pas une once de virilité dans leur comportement c’est aussi les premiers à tromper leur femme parce qu’ils pas à les envoyer balader. Un ami de mon mari à épousé une femme intelligente il a toujours mis sa vie de côté jamais il s’est imposé il favorisait le dialogue (génial) sa vie de couple a été basé sur l’égalité le partage des tâches ménagères… il l’a quitté au mois de juin après 16 ans de vie commune dont 9 ans de mariage et 2 enfants.


          1. Avatar de Léonidas Durandal
            Léonidas Durandal

            J’ai aussi un tel exemple dans mon entourage. La femme prend un enfant, et soit elle s’en lasse, soit l’enfant change de maman. C’est inévitable.


  2. Avatar de Alexandre
    Alexandre

    Article excellent et synthétique même si vous sytématisez un peu lorsque vous dites que la seule chose qui nous pousse à nous rapprocher des femmes est la pulsion:

    “Les femmes ont besoin des hommes. L’inverse est moins vrai. Il suffit pour cela de dominer sa pulsion, et de vous la cracher au visage en signe de mépris.”

    Cette pulsion est avant tout une pulsion de vie et même en étant conscient de tout ce que vous avancez nous devons passer par les femmes pour avoir des enfants. J’en viens à penser que de manière transitoire, en attendant l’avenement du renouveau catholique, la GPA pourrait être une solution pour les hommes qui ont vraiment à coeur d’éduquer les enfants qui changeront ce monde.

    Demain sera masculin.


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Je crois que c’est une fausse bonne idée.

      Les gens du système vont organiser des campagnes de propagande pour dire que les hommes hétérosexuels seuls qui voudraient adopter des enfants sont tous des pédophiles et que du côté des hommes la GPA doit être réservée au homosexuels ou aux femmes qui ont la flemme de passer par la case grossesse.

      Leur objectif in fine étant de pénaliser l’hétérosexualité (enfin dans leur langue de bois ils appellent ça la culture du viol) et faire en sorte que les marchands aient le contrôle de la reproduction.

       


      1. Avatar de Alexandre
        Alexandre

        Effectivement mais dans une époque cynique pourquoi ne pas retourner le cynisme à notre avantage même si ce n’est pas la plus morales des solutions. Faisons-nous passer pour des homosexuels si cela devient le seul chemin pour être reconnu. C’est un peu comme dans une dispute face à une femme: la raison masculine ne peut en général rien, il faut abonder dans l’émotion et leur retourner à la figure leur mauvaise foi, seule langage qu’elles comprennent.

        Vis à vis de cette société dégénérée faisons donc mine d’admettre que oui, le couple, le mariage c’est la culture du viol sanctifié, comme dirait ma grand-mère “faisons l’âne pour avoir du son”… Notre génération est de toute façon perdue, il faut penser à la suite même si il y a, en outre, bien d’autre manière de combattre, je vous l’accorde. Il s’agit de ne négliger aucune piste.


        1. Avatar de observateur
          observateur

          Je suis malheureusement obligé de constater que votre raisonnement tient la route.

          Mais si cette solution peut s’appliquer à l’échelle d’individus je ne sais pas ce que cela donnerait a l’échelle de toute la société. Le problème c’est que l’ouverture de la GPA ouvre des porte tellement grande à des dérives pour la mafia qui a organisé tout ce désordre que si on en est à ce point la situation sera vraiment désespérée.

          Donc a mon avis votre idée reste une solution de secours mais en attendant il faut combattre la PMA + la GPA (A mon avis je crois qu’il est important d’associer les deux systématiquement) tout en se préparant a adopter un comportement tel que vous le décrivez en cas de succès des partisans du chaos.


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Encourager les victime a ne pas se reproduire afin d’organiser le grand remplacement. Point positif: la concentration de femmes féministes devrait diminuer d’une génération a l’autre.

       


  3. Avatar de Sani

    Excellent article qui décrit bien la société morbide dans laquelle nous vivons.


  4. Avatar de Mindstyle
    Mindstyle

    Chaque matin, dans le metro, on se croirait dans un film de science-fiction quand on voit toutes cette armée de femmes stériles qui partent bosser pour un salaire de merde, et tout ça pour aller dépenser ce petit salaire dans le shopping et le dernier smartphone à la mode.

    Et pour ce qui est de la peur de l’engagement chez les hommes, cela me fait bien rire; il ne s’agit pas de “peur de l’engagement” comme si c’était une tare psychologique mise en avant par les féministes pour faire passer les hommes pour des enfants irresponsables,

    il s’agit d’une peur de l’engagement totalement légitime au vu de ce que cela implique de se lier matériellement avec une femme en France aujourd’hui.

    Quel homme souhaite aujourd’hui se faire arracher ses enfants par la justice féminisée après s’être attaché à eux durant leurs premières années ?

    Quel homme veut jouer un rôle de “papa poule” adepte du consensus permanent pour avoir encore un semblant de “vie de famille” ?

    Quel homme voudrait se retrouver à la rue après s’être fait dégager de chez lui par une femme en qui il a placé toute sa confiance ?

    Quel homme veut être un papa à temps partiel et un payeur à temps plein ?

    Quel homme souhaite vivre avec une femme sans pouvoir réellement HABITER son foyer ?

    Que la vérité éclate au grand jour. Que les hommes se réveillent. Ils faut qu’ils sachent ce que signifie s’engager avec une femme en France en 2015.

    En réalité, chaque étape de la “vie de couple” est un mouvement millimétré pour plonger l’homme dans le précipice que constitue cette vaste blague du mariage contemporain; l’étape intermédiaire étant l’emménagement ensemble agrémenté de la petite escapade chez Ikéa; à partir de là, la femme a tout loisir d’accentuer la pression sur le pauvre homme qui va finir par se marier pour “être enfin tranquille”. Grave erreur.

    Il faut que tout homme sache que ses enfants ne seront jamais les siens, mais ceux de sa compagne et de la propre famille de cette dernière; lui n’a qu’un rôle de vulgaire pigeon payeur quand la femme aura décidé que ce papa là n’a plus le droit de voir ses enfants. Elle se retranchera alors chez sa famille; ce qui implique de se méfier des femmes trop proches de leur famille, qui sont encore les petites filles à leurs parents (cf. la relation quasi-incestueuse avec leur propre père…)

    Une société qui permet, voire encourage les femmes à se séparer des hommes et à les contraindre à ne plus voir leurs enfants n’est pas une société où il fait bon vivre.

    Le prix à payer pour avoir des enfants en France en 2015, une famille de façade, ce prix là est vraiment trop gros pour que je m’y risque de toutes façons; c’est un véritable sacrifice d’un côté, car l’homme seul est mal vu; jalousé par les autres hommes qui sont tombés dans le piège de la vie de famille à la française, mal vu par les autres femmes qui voient en lui un homme trop libre et trop heureux de l’être.

     

     


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      Si vous avez tout à fait raison, si je suis d’accord avec vous, je laisse une porte ouverte à la possibilité d’être surpris par une femme. Les exceptions existent, enfin c’est ma croyance. Je suis moi-même une exception, tout comme vous l’êtes.


    2. Avatar de observateur
      observateur

      Merci pour ce paragraphe Mindstyle, vous nous avez rappelé le chapitre 3 de la recette comment réduire une population entière en esclavage en 4 générations.

      Si j’ai bien compris le système a un avantage sur ceux qui le combattent par ce qu’il a le monopole sur les cerveau à travers l’éducation (sic) nationale (re-sic).

      Maintenant il faut planifier où vous irez mettre vos enfant à l’école avant même d’avoir des enfants.

       


    3. Avatar de Alexandre
      Alexandre

      Vous avez tout compris Mindstyle…

       


  5. Avatar de Manuela
    Manuela

    Vôtre article me fait penser au film “american beauty” de Sam Mendes.


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      J’aime beaucoup ce film. J’y repense souvent, sa poésie, son désir de vivre, sa prise en compte des réalités. J’ai d’ailleurs utilisé certaines de ses séquences dans une ou deux de mes vidéos.


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