Publié le 2 décembre 2014 par Léonidas Durandal à 13 h 52 min
Les femmes d’aujourd’hui n’ont plus de pères. Elles n’ont que les féministes pour leur donner de mauvais conseils. Elles risquent ainsi le viol à cause de ces dernières. Comment retrouver son bon sens ?
Attention sur Rutube, la vidéo a été interdite au moins de 18 ans. Il faut donc certifie que vous en avez plus de 18 en cliquant sur la phrase à l’écran :
Sinon, la vidéo est disponible sur Dailymotion (pour l’instant) :
Conseils aux jeunes filles pour éviter les… par LeonidasDD
Quant à Youtube, la politique de censure étant ce qu’elle est, je préfère passer mon tour pour cette fois.
« Une députée irlandaise brandit un string au Parlement pour critiquer un procès pour viol », Le Monde du 15/11/2018.
L’affaire : une jeune fille de 17 ans suit un garçon dans une allée lors d’une soirée arrosée. Elle se fait troncater sans exprimer le moindre refus. Elle s’est dévalorisée sur le marché du mariage et le lendemain et crie désormais « oh viol ». Comme c’est maintenant à la justice qu’est confié de décider ou non d’obscurs consentements, l’affaire arrive au tribunal, et l’avocate de la défense doit suggérer que l’habillement de la « victime » ferait pencher la balance plutôt en faveur d’un consentement. Elle avait un string dont tout le monde lui voyait l’avant et l’arrière. C’est bien mince, mais la justice n’aurait jamais dû être saisie de ce cas en fait.
Les féministes qui corrompent méchamment la société irlandaise en ce moment ont doublement gagné : non seulement la justice s’occupe d’affaires qui ne la regardent pas, mais en plus pour se justifier, la défense est obligée d’avancer des arguments dont les féministes vont se servir pour se victimiser. Une véritable machine à détruire l’unité sociale, et de manière plus anecdotique : les relations entre hommes et femmes. Effet ruche oblige, des femmes qui ne devraient rien avoir à faire dans un parlement, se chargent d’amplifier la plainte en usant autant que possible de leur pouvoir pour des causes destructrices.
« FAUSSE ACCUSATION DE VIOL : CONNAÎTRE LES RISQUES … ET LES ÉVITER », Neomasculin du 06/03/2018.
« »Dans la bouche des filles », il y a toutes ces phrases », L’Obs du 10/10/2018.
« derrière chaque grand homme, il y a une femme. Et derrière chaque femme, il y a qui ? » : un père admirable.
(Vidéo) « 11 conseils pour arrêter de violer » Homme d’influence 23/04/2018.
« Tentative d’agression sexuelle à Brest. « Prudence dans vos déplacements » », Breizh du 20/04/2018.
(Soit dit en passant, un président d’université qui utilise l’écriture inclusive, on voit le niveau)
« Les exhibitionnistes profitent des toilettes non genrées », RITV du 03/04/2018.
« Toulouse: une jeune femme coupe la langue de l’homme qui l’avait violée », L’Express du 11/05/2016.
Bon, il y a eu pénétration de la langue. De là à parler de viol, les journalistes brillants de l’Express n’hésitent pas. En attendant, cela montre très bien que même en cas de vraie agression, les femmes sont capables de se défendre !
Et qu’il faudrait que les défenseurs de la veuve et de l’orphelin arrêtent de trop en faire du coup … Il s’est passé quoi, le type a pratiqué un cunnilingus forcé à la victime ?
« Les curieux conseils du Chef de la police de Cologne contre les viols », Rue89 du 06/01/2016.
La rédaction de Rue89 incite les jeunes filles à se mettre en danger en n’écoutant pas les conseils de bon sens qui leur sont donnés par le chef de la police allemande. Pris dans leurs délires intellectuels, les féministes envoient les femmes à la boucherie parce qu’elles voudraient les voir se comporter comme des hommes. La victimisation des femmes qui est pourtant le fond de commerce de cette idéologie, est dénoncée comme une atteinte à l’image de la femme. L’image de la femme ? Et son corps ?
Si la réalité n’existe plus, même face au viol de centaines de jeunes filles, comment me soutenir encore que le féminisme n’est pas une maladie mentale/sociale des plus graves pour notre société ? Le féminisme, encore une fois, se révèle être un appel au viol.
Je m’aperçois que je suis entourée de pas mal d’allumeuses, (hystériques, dépendante affective, trouble de la sexualité, suggestibilité, dramatisation, mensonge sur viol ou harcèlement sexuel) je dis mensonge parce que les confidences de soit disant viol que j’ai entendu étaient pleines d’incohérences surtout quand vous connaissez bien la « victime » … Tout s’éclaire pour moi depuis que je viens ici vous avez entièrement raison M Leonidas, sur le manque de père (d’ailleurs le mien n’a jamais connu le sien et je sais à quel cela peut détruire…). Mais c’est très difficile de leur venir en aide à ses filles ou femmes parce qu’elles manquent incroyablement de lucidité, de recul sur leur comportement. Le plus triste c’est que leur comportement ne s’arrange pas avec l’âge, et particulièrement quand elles deviennent mère, mère de fille (super référence). Elles se mettent en concurrence avec leur fille ne supportant pas d’avoir des kilomètres au compteur elles empêchent leur fille de se faire courtiser parce qu’elles se rendent compte qu’elles ne cotent plus à l’argus maintenant ont ne les regardent plus sauf si elles s’habillent de façon inappropriée pour leur âge ce qui est presque toujours le cas.
Vous venez de décrire brillamment la fille mère ou la femme-enfant.
Quel « exploit » qu’a réalisé là le féminisme censé élevé la femme qui était « reléguée au rang de subalterne »
« Regretter d’avoir couché en état d’ébriété est une expérience d’apprentissage et non un viol », 7/7 be du 12/12/2014