Femen : la France n’est pas la poubelle de l’Ukraine

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La France ne peut pas accueillir toute la misère du monde, nous avait dit la gauche, il y a quelques années de cela.
Pourtant dès qu’il s’agit de faire venir la délinquante d’un pays démocratique, on lui trouve immédiatement un visa touristique si c’est une féministe.
La belle est-elle venue découvrir notre beau pays pour une semaine ? Voir nos campagnes ? Monter la tour Eiffel ?

Rien de tout ça. Pour promouvoir la paix sociale au sein de notre société, elle vient pour découper des croix à la tronçonneuse, se balader à poil dans les rues de Paris, monter une armée :

Inna Shevchenko est une fémen, une activiste féministe qui nous vient d’Ukraine. Elle est arrivée en France avec deux copines. De méchants Ukrainiens des services secrets les auraient poursuivies , aspergées d’essence et tondues en décembre 2011. Leur meneuse de revue était particulièrement menacée après avoir coupé une croix au plein centre de Kiev. Il fallait donc que nous récupérions ces pauvres femmes victimes du patriarcat, tondues à l’égales de nos tristes moutons collabos de la seconde guerre mondiale. Mais, comme vous pourrez le voir sur les photos, 6 mois après, arrivée en France, bien vite remises de leurs émotions, leurs cheveux ont miraculeusement repoussé :

Article de l’humanité du 08/09/2012

Bâillonnée, elles ont dû confondre essence et pétrol hahn.

Ces fémens montent des groupes dans tout l’occident et sont venues se réfugier dans le plus actif de ceux-là, en France, et pour se protéger, et pour repartir à la conquête du monde des gens tranquilles. Et on peut dire qu’elles possèdent le sens de la dramatisation et de la provocation pour arriver à leurs fins. Entre amies maigres et consommables, elles arpentent déjà nos banlieues, seins nus, avec pour slogan « voile islamique », ou « Dieu est une femme ». Elles ne cachent pas leur anti-religiosité qui n’est même plus un anti-cléricalisme et n’ont pas peur de mettre le feu aux poudres quant aux questions orthodoxes et islamiques :

Par le passé, condamnant monsieur Strauss Kahn avant qu’il n’ait été jugé, elles sont aller courageusement manifester sous ses fenêtres.

Pour compléter leur curriculum vitae, Inna Shevchenko a fréquenté Ioulia Tymoshenko, premier ministre d’Ukraine, qui a participé à la dite révolution orange et désormais en prison pour 7 ans à cause de détournements divers et variés.

En tout, le pedigree de ces fémens parle de lui-même : intolérance, vulgarité, prétention, idiotie , comportement criminel et irresponsable.

Après 50 années d’erreurs, à bout de souffle, nos féministes occidentales sont trop heureuses de pouvoir les accueillir. Notre idéologie ayant essaimé dans le monde entier, ces filles-là nous reviennent, vierges de toute responsabilité. Nous voilà repartis pour un tour d’esbroufe.

Et devinez où elles vont installer leur camp d’entraînement ? Au lavoir moderne, un théâtre de la goutte d’or, en faillite, subventionné, incapable de faire venir assez de public pour survivre et qui est un tel gouffre financier que les autorités publiques ont décidé d’y dépêcher quelques huissiers. Les responsables du théâtre, trop contents de pouvoir profiter de l’aubaine médiatique ont contacté les délinquantes en fuite pour pouvoir les accueillir. Grâce à elles, le théâtre reste en sursis. Pas très loin, un autre théâtre, non subventionné, réellement subversif, ne recevant aucune subvention, attire un nombreux public. Par contre, celui-là on ne l’aidera pas. On lui met même des bâtons dans les roues. Je veux parler du théâtre de Monsieur Dieudonné. En somme, le parasitisme des unes côtoie le vrai élan démocratique des autres, ou quand les rascasses féministes et sans talent du divertissement, censées représenter les petites gens, frayent à côté de l’amuseur public et philosophe pour qui les petites gens dépensent consciemment leur argent. Les mois à venir vont certainement nous donner à voir des images ironiques à la limite du supportable. Dans nos journaux, nous entendrons encore parler des fémens avec complaisance, tandis que monsieur Dieudonné ne récoltera que mépris. Pourtant, la République se nourrit de l’un et pas du tout de l’autre. Monsieur Dieudonné essaie de donner à réfléchir. Les fémens utilisent un marketing du nu qui coupe court à toute réflexion. Monsieur Dieudonné travaille ses personnages. Les fémens rincent l’oeil des journalistes. Monsieur Dieudonné parle de manière crédible de la vie des gens qu’il met en perspective. Les fémens utilisent leur corps comme moyen de langage totalitaire. Monsieur Dieudonné s’impose simplement à force de complexité. Tout l’art des fémens consiste à nous provoquer pour nous donner un prêt à penser simpliste.

Ces femmes là n’apportent rien à notre société. Elles nous flattent. Elles continuent à nous plonger dans la pornographie quotidienne et seront les premières à la dénoncer. Elles usent, elles abusent de leur intimité pour nous imposer leurs idées, mais elles se plaindront quand les hommes les considéreront en décérébrées. Elles prônent la tolérance, mais leurs corps sculpturaux nous guident vers l’intolérance la plus complète. Quid des grosses, des moches, des vilaines dans leur monde ? Pas de place pour celles-là. Non, il faut être belles, maigres, entraînées, efficaces, rentables, toujours jeunes et jolies. De la belle viande fraîche. Encore cette même horreur individualiste et marchande de notre monde consumériste, où ceux qui produisent sont considérés comme des esclaves consentants, où l’image des corps vit aux dépends des corps qui produisent. Les fémens brossent le poil de notre égo. Avec elles, la contestation se donne les apparences du frais et du vivant. Les fémens flattent nos vices. Avec elles, nous pouvons toujours croire en la « libération » sexuelle de mai 1968. Les fémens sont irresponsables. Nous aimons tant notre propre irresponsabilité :

(Si vous voulez voir cette vidéo, cliquez sur la partie soulignée si vous avez plus de 18 ans 🙂

For heureusement ce comportement irresponsable va nous forcer à faire des choix : en provoquant la haine raciale, les fémens déstabilisent la France dans les relations internationales. Nous allons devoir choisir entre saborder définitivement les relations que nous entretenons avec les pays arabes, ou devoir affronter des opinions publiques toujours plus scandalisées par notre manque de respect. Enfin, notre propre intolérance va avoir des conséquences immédiates. Nos décideurs politiques devront, enfin agir contre celles qui n’ont cessé, depuis 50 ans, de mettre notre pays à bas.

Car ces hystériques détruisent tout sur leur passage. Elles ne savent que protester pour imposer toujours plus de médiocrité, toujours plus d’intolérance envers les gens qui vivent différemment. Elles n’acceptent plus d’être sanctionnées quand elles détruisent des monuments. Le seul sens de leur vie, c’est d’en détruire le sens. Voici pourquoi elles prennent pour cible, en premier lieu, la religion. La religion c’est un empêchement à leur propre folie. La religion c’est l’apprentissage de la différence et de la tolérance. Avec elles, ceux différents, n’ont pas le droit d’exister : ils provoquent les guerres à cause de leur différence. Au fond c’était le raisonnement des machines communistes et nazies : la religion catholique est une religion de l’ordre qui n’est que faiblesse. Amenons la vraie religion par le désordre : celle de l’homme, celle de la Nation, celle des femmes. Ces religions sauront bien remplacer les religions archaïques ? En dernier lieu, qu’y-a-t-il d’étonnant à ce que ces religions échouent, quand elles sont basées sur des raisonnements si humains !

Toute les tyrannies ont combattu la religion pour s’imposer comme religion sans Dieu. Et comme la religion catholique est mollement crédible dans nos contrées, elles lui préfèrent la religion musulmane. Celle-là doit donner un sens à leurs vies. Et pour les guérir de leur dépression, il leur faut toujours plus d’hystérie contre nos croyances, toujours plus de corps travaillés et exposables, toujours moins de réflexion. Les fémens courent après une tradition dont il ne reste plus rien et que leurs mères de l’ouest se sont attachées à détruire. Elles croient vivre dans un patriarcat. Elles vivent dans une usine sanguinaire qui n’a plus assez d’hommes pour faire tourner la machine et qui va les chercher dans des pays pauvres pour mieux les exploiter, directement ou indirectement. Comme elles peuvent difficilement taper sur les hommes blancs de France dont il ne reste presque plus rien de concret, elles préfèrent s’attaquer aux pauvres des pays dont elles profitent parce qu’ils sont des hommes et qu’il leur reste un semblant de religion. Quel courage !

Echappant à la dépression en s’attaquant aux institutions religieuses, les fémens nourrissent la dépression de nos sociétés qui ne croient plus en rien et à qui, il ne reste que la violence mimétique canalisée par des achats compulsifs de produits toujours plus inutiles voir néfastes pour le lien social, pour se sauver du prosac. L’achat ou l’hystérie. Entre les deux, les fémens ont choisi l’hystérie tout en exposant des corps marchandisés.

Pour les combattre, je n’ai pas leur talent médiatique. Je n’écris que de longs articles que la plupart des gens sont incapables de lire, quand ils en auraient le désir. Seulement, les imbéciles ne peuvent gouverner ce monde. A la rigueur, ils peuvent le détruire. Si les gens intelligents se mobilisent, ils peuvent repousser le mal. Renvoyons-les en Ukraine. Elles sont citoyennes ukrainiennes, elles doivent assumer leurs responsabilités au sein du pays qui les a fait naître et qui est également une démocratie. Si, une démocratie comme la nôtre, devient terre d’accueil pour les délinquantes d’autres démocratie, qu’avons-nous à penser de notre système ? Régulièrement la France a été condamnée devant la CEDH pour ses conditions de détentions, ou de gardes à vue. Pourtant nous exigeons toujours de pouvoir juger nos criminels en fuite. Il doit en être de même pour l’Ukraine. Nous ne sommes pas assez irréprochables pour donner systématiquement des leçons au monde entier. Il est temps de renvoyer dans leur pays, celles qui sont venues chez nous en toute illégalité, qui amènent le désordre sans vouloir changer le monde d’où elles viennent. Leurs vies ne sont pas menacées, alors qu’elles mûrissent leur combat en prison pour connaître le vrai prix de la responsabilité. Il est trop facile d’être libre sans être responsable.

Un bref descriptif de nos ennemies fémens en France :

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Charlotte Saliou : 39 ans, artiste en devenir, fait le lien avec le milieu des arts et du spectacle.

 

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Inna chevtchenko, aurait 21 ans, provient de la cellule originelle ukrainienne des fémens, activiste anti-religion, chargée de se servir de la France comme d’un pays de redéploiement pour les actions internationales plus risquées.

 

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Darina Al Joundi, actrice, 44 ans, émigrée du Liban. Présentée comme une tête pensante du groupe.
Eloïse Bouton, 29 ans, en lien avec les milieux journalistiques de gauche,favorise la communication à l’international

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Safia Lebdi, 38 ans, la beurette de service, chargée de faire le lien avec les politiques. A fricoté avec le Front de gauche avant de s’engager sur une liste écologique. Elle a participé à la création de “ni putes, ni soumises” puis n’a pas hésité à faire voler l’association lors de la participation de Fadéla Amara au gouvernement de monsieur Fillon.

 

 

 

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