Publié le 20 juillet 2015 par Léonidas Durandal à 20 h 41 min
Reportage France culture :
J’ai déjà traité de ce phénomène étonnant de manière plus littéraire ici. Il faut dire que les exemples regorgent si on sait y prêter attention, que ce soit dans nos familles, ou dans nos journaux Pour compléter le tout, il manquait un témoignage audio. C’est désormais fait avec ce reportage diffusé en 2006 sur France culture. Hugo parle devant le micro dans le cabinet de la psy, en présence de ses parents, des gens « biens ».
La réalité des familles riches, unies, mais féminisées où l’homme ne remplit pas son rôle, où la mère l’en empêche et qui aboutit à un échec complet.
Quand on lit entre les lignes on comprend que pour que ce système de merde cesse il faut que les hommes arrêtent d’idolâtrer les femmes et commencer à les prendre pour ce qu’elles sont.
Pour ceux qui comprennent l’anglais, je vous conseille de commencer à réfléchir sur le concept de la présomption de maternité qui est la la base du problème.
Nous sommes comme envoûtés en France.
Effectivement, je commence à être persuadé, hélas, que la maladie mentale est l’état normal de bon nombre de mes concitoyens; malheureusement, quand l’homme essaye d’imposer des règles, de « secouer sa femme », celle-ci se sépare de lui en le traitant de psycho-rigide, d’homme « contrôlant ».
Mais là où je suis choqué, j’ai déjà été affublé de l’étiquette de « psycho-rigide » par ma petite amie, qui elle a vécu selon la pédagogie du laisser-faire, de la bonne classe moyenne; dois-je préciser que son cher papa était ce bon gros citoyen payeur d’impôt, toujours dans le consensus avec sa femme, se reposant sur ce confort de façade ?
Autre détail : Cette fille s’adresse à lui en employant des termes que l’on pourrait qualifier d’incestueux…
Le tableau est complet et cela est édifiant quand je fais des recoupements avec ce que je lis ici ou ailleurs.
L’horrible classe moyenne. Je crois qu’il n’y a rien de plus pitoyable que celle-là, à toutes époques, même s’il est vrai que de nos jours, elle bat des records de dégénérescence grâce à la richesse produite par nos aïeux, une richesse qui ne lui appartient pas mais dont elle entend profiter jusqu’au bout, jusqu’à éliminer les plus fragiles de notre société. Le vrai puisant, le vrai tyran de nos jours, c’est la classe moyenne, représenté emblématiquement par celui qui vote PS envers et contre tout, même si son alter ego des Républicains a un côté parfois encore plus pitoyable par son suivisme de la gauche à bonne conscience. Beurk !