Présenter un pays étranger qui réussit mieux en matière familiale que nous comme l’exemple qu’il ne faudrait pas suivre pour mieux justifier nos échecs. Plutôt fort.
Quand on en est à un point où le journal de « droite » de référence est ouvertement pro-féministe, c’est que le totalitarisme de la pensée est vraiment une réalité.
Malgré le fait qu’ils vivent dans des campements, ce qui en soit ne doit pas être quelque chose de facile notamment en période de froid intense (on a de la chance on a vu des hivers pires) leurs enfants ont l’air heureux, leurs femmes souriantes. Ils donnent vraiment l’impression de s’éclater. A l’inverse, une femme qui travaille à l’extérieur et qui devrait être encore plus heureuse que ces femmes, semblent être malheureuses et ont rarement le temps de s’éclater, à cause de la productivité imposée par le diktat professionnel.
« La Cour constitutionnelle belge entérine la paternité d’intention » Paternet du 07/02/2019/
Le mâle hétéro sexuel blanc cisgenre sera le dernier à pouvoir accepter ou refuser une paternité. Si ce droit lui est jamais octroyé…
« Mos Majorum : comment moururent les moeurs de nos pères », Neomasculin du 12/02/2019.
« Nos cinq extraits favoris du best-seller « Nous sommes tous des féministes » », Figaro du 08/12/2015.
Présenter un pays étranger qui réussit mieux en matière familiale que nous comme l’exemple qu’il ne faudrait pas suivre pour mieux justifier nos échecs. Plutôt fort.
Quand on en est à un point où le journal de « droite » de référence est ouvertement pro-féministe, c’est que le totalitarisme de la pensée est vraiment une réalité.
Malgré le fait qu’ils vivent dans des campements, ce qui en soit ne doit pas être quelque chose de facile notamment en période de froid intense (on a de la chance on a vu des hivers pires) leurs enfants ont l’air heureux, leurs femmes souriantes. Ils donnent vraiment l’impression de s’éclater. A l’inverse, une femme qui travaille à l’extérieur et qui devrait être encore plus heureuse que ces femmes, semblent être malheureuses et ont rarement le temps de s’éclater, à cause de la productivité imposée par le diktat professionnel.