Publié le 21 janvier 2013 par Léonidas Durandal à 0 h 00 min
Avant hier, vous les avez peut-être vus dans la ville ou peut-être pas. Et pour cause.
Dans ma ville, la manifestation régionale pour soutenir le mariage lesbien n’a regroupé que quelques centaines de personnes. Ils étaient si peu nombreux que le journal télévisé n’en a même pas parlé, certainement par honte de révéler le pot aux roses :
Les pro-mariages lesbiens sont des groupuscules qui essaient de manipuler l’opinion publique mais qui n’ont aucune assise dans la société française. Bien entendu, une grosse minorité serait encore prête en France à enlever un père ou une mère à des enfants. Mais comment pourrait-il en être autrement quand des journaux font leur « une » pour soutenir le sujet (Inrockuptibles, Elle (la rédaction a choisi deux mannequins et non un vrai couple par peur de choquer ses lectrices sur la réalité lesbienne…) ,
quand les principaux partis politiques encore unis soutiennent le projet (et quand les autres sont divisés sur le sujet), quand des syndicats comme Sud éducation appellent à manifester, en somme quand tout ce que la France compte de raclures libérales s’allient entre elles ?
Malgré tout cela, ils n’étaient pas nombreux.
Et pourtant quelle débauche de moyens ! Une sono, des affiches placardées dans toute la ville, de larges pages dans les journaux locaux, des affichettes pour les passants…
Mais qui a payé la propagande de tous ces manipulateurs ? Certainement pas eux puisque le nombre de personnes présentes ne pouvait suffire à cela.
Le mariage de la carpe et du lapin ?
Il faudra en conclure qu’en pleine période de crise, notre Etat de gauche a largement dépensé l’argent public avec l’alliance des ultra-libéraux de publicis (Mme Badinter en tête).
Cette minorité qui échoue en tout, persuade de moins en moins de gens. En tous les cas, de moins en moins de gens les suivent dans la rue même s’ils sont toujours prêts à répondre à des sondages d’opinion sans regarder plus que cela aux réponses qu’ils donnent.
Le calvaire du bon sens ne fait que commencer.
Au lieu de faire des coupes claires dans les associations nocives de notre pays, l’orientation des fonds publiques prend, de plus en plus, une tournure dictatoriale, qui sert à soutenir un dirigisme de l’opinion publique fabriqué de toute pièce par des élites dégénérées, qui agissent particulièrement auprès des jeunes. Loin de s’occuper de loger les gens, notre gouvernement a préféré subventionner des associations de déviants pour propager un message déviant dans toute la société.
« Le Canada aura son “dollar LGBT” », MPI du 02/01/2019.
Le fion canadien est largement surcoté à mon avis :
(Vidéo) « Cyprien et l’Argent des Abonnés – Inspecteur Raptor #1 » Raptor du 05/11/2018.
C’est véritablement scandaleux. Ou quand une oligarchie corrompue se reconstitue naturellement en finançant sa propre promotion. Si pas mal de Youtubers ont mis la main dans la caisse seulement pour leurs propres intérêts, il y en a d’autres qui sont beaucoup plus mal intentionnés.
« Midterms : un record de candidatures LGBT+ en réponse aux attaques de l’administration Trump », Le Monde du 30/10/2018.
Comment éradiquer cette maladie ?
« Les fuites de l’Open Society Foundations de Soros. Ingérence et subversion », Polémia du 21/10/2016.
« Nantes. Le festival « Cinepride » privé de subvention : Tartuffe à l’Hôtel de région ? », Breizh info du 03/05/2016.
« Accusé de promouvoir la GPA, un centre LGBT privé de subvention par la droite? », L’Express du 29/04/2016.
« Si tu veux ta subvention, défend nos convictions. » : c’est la poële qui se fout du chaudron, comme si le système LGBT n’avait pas été alimenté par des politiques LGBT, ce qui est à l’origine du vrai problème.
« De la retraite des lesbiennes à la Berezina des trans ? » Yagg du 08/01/2016.
Les LGBT tentent de faire passer le plus de lois possible avant la fin du mandat de François Hollande. Favoriser les délires transexuels au lieu de les encourager à se soigner, revoilà les tueurs aux bonnes intentions.