Publié le 25 mars 2011 par Léonidas Durandal à 0 h 00 min
Les féministes, les sociologues sont si rassurants : la famille monoparentale n’est pas une régression, c’est une évolution ! Autour de nous, nous constatons les dégâts qu’elle engendre : perte de repère des enfants, incestes, abus, abandon, maltraitance… mais c’est une é…VO …LU…TION. Moi qui suis un réactionnaire, j’ai encore du mal à comprendre. Mais je fais des efforts. Des efforts monstrueux. Et pourtant, je n’y arrive pas… pitoyable humain limité que je suis en comparaison de tous ces grands cerveaux féministes, de tous ces grands sociologues de la famille. Je regarde les faits divers, les élèves qui nous sont donnés, les gens autour de moi et, je ne sais pas, mais y-a comme une odeur de mensonge. Non ?
Tout d’abord famille « mono » « parentale » : en fait ça veut dire que les enfants n’ont plus qu’un seul parent ? Ah d’accord, les enfants ne se font plus à deux alors ? (je suis en retard d’une guerre comme d’habitude) et le parent exclu ne fait plus partie de cette famille ! Je n’avais pas compris. Mais quel drôle concept de famille ! Alors maintenant on fait les enfants tout seul. Mais qui fait les enfants dans ces familles monoparentales ? Qui sont ces êtres supérieurs qui sont capables de procréer et de créer une famille tout seul ? Les femmes ? Ce sont les femmes qui font les enfants toutes seules. Eh bien, elles sont plus fortes que je le croyais. Quelle puissance ! Donc des femmes, toutes seules, mettent à bas les enfants et leur donnent toute l’éducation et tous les repères dont ils ont besoin sans aucune aide ! Mais c’est vraiment con comme idée, et pourquoi appeler cela famille mono-parentale alors ? Je suis très ennuyé pour donner un nom à ce machin, peut-être aussi ennuyé que ceux qui ont créé le terme de famille monoparentale. Tout d’abord ce n’est pas une famille puisque la personne est toute seule, et ce n’est pas monoparental puisqu’il n’y a presque que des femmes dans ces familles. Tribu de femelles, caste matriarcale, cela ne convient pas tout à fait. Ah mais que je suis bête, il y avait un terme très approprié dans le passé qui recouvrait totalement l’immaturité majoritaire de ce genre de pratique : les filles-mères. Elles ont proliféré alors on a préféré les appeler mères-célibataires et comme ce n’était pas encore assez hypocrite, familles monoparentales. Contrôlez une langue, et vous contrôlerez les esprits. Eh bien dans l’actualité de ce jour, une de ces filles-mères vient de se faire poignarder par son fils (à la machette, excusez du peu). Je crois qu’il va falloir que nos chers sociologues et nos douces féministes descendent de leur nuage. Il y a quelque chose de pourri dans notre bon Royaume de France.
Affaire Brice Bernard : http://www.sudouest.fr/2011/03/25/scalpee-par-son-fils-353054-7.php
Voilà ce que vous ne lirez pas dans vos journaux :
Dans la pratique les enfants de ces filles-mères restent très souvent, sous l’emprise de leur mère. Leur sexualité est beaucoup plus troublée que des enfants nés dans des familles traditionnelles. Ils sont plus souvent bi-sexuels et ont du mal à assumer leur identité. Seuls face à la mère, pour parodier la chanson, le peu de repères masculins qu’ils peuvent intégrer proviennent de la fratrie de leur mère ou de leur grand-père maternel, autant dire que ces modèles renforcent encore l’emprise de la mère sur l’enfant, et l’omnipotence féminine. Comme il y a beaucoup de vie dans ces enfants et que Dieu n’a pas placé tous ses œufs dans le même panier, par bonheur, il arrive que ces filles-mères donnent toute l’affection d’une mère mais qu’elles soient incapables de donner une éducation sérieuse à leur progéniture. Ainsi, les enfants ont encore de la place pour se bricoler une identité. Mais le pire, ce sont ces filles-mères qui dénient la place du père et se chargent de tous les rôles, bien que le père de ses enfants soit encore vivant. Dès lors, l’enfant n’a plus de place pour se construire une identité différenciée et il peut sombrer dans des pathologies graves. Brice Bernard a voulu se libérer, à sa façon, de cette emprise maternelle. Il a pris une machette, et il a fini par agresser violemment sa maman, la laissant entre la vie et la mort. Brice a 40 ans. Il aurait pu en avoir 50 ou 60, il faut parfois tout une vie pour se libérer de l’emprise d’une fille-mère. L’âge n’y fait rien. Brice a manifesté cette volonté libératrice de manière brutale car il n’en pouvait plus. Brice ne savait plus comment faire pour gérer toutes les contradictions qu’il avait en lui, « >
"Cholet. En pyjama et pieds nus, un enfant se présente à minuit au commissariat" Ouest France du 05/12/2019.
Pour rappel, les maltraitances sur enfants proviennent majoritairement des femmes.
Mouais. Moi, les mères célibataires sue je connais( ou fille mère comme vous aimez les appeler avec mépris), elles le sont parce que le père s'est barré. Facile de s'en prendre au parent qui n'a pas l'option de partir.
Alors comme moi, vous militez contre le divorce. Nous sommes d’accord ! Cependant sachez que 80% des séparations sont provoquées par les femmes. Quant à supporter une fille mère pour un homme, sa tendance incestueuse, hystérique et ouverte aux quatre vents, c’est impossible.
80% des divorces sont provoqués par une femme. Pour les couples pré maritaux la part est plus égale et lorsqu'un enfant nait, ces monsieurs irresponsables se barrent lorsqu'ils voient qu'un bébé ça demande énormément de temps et d'argent. Et ne parlons pas de ceux qui demandent un avortement.
"L'enfant-béquille, celui qui doit gérer le mal-être de ses parents" Marie Claire du 06/03/2020.
« Fillette de 6 ans dans le coma: sa mère et son compagnon mis en examen « , L’Express du 04/01/2017.
« Neuillly-sur-Marne : jugée pour avoir tué sa mère à coups de lampe », Le Point du 28/11/2017.
Quand une femme enceinte tue sa fille-mère de mère alcoolique, à quel moment peut-on parler de domination patriarcale, et de féminicide ?
Dans l’affaire Brice Bernard, le gazier invoquait l’intercession du Christ grâce à un crucifix pour se protéger du démon. Ici, la mère possédée a envoyé un Bouddha vers le ventre de sa fille enceinte. Très significatif.
Ah cette pseudo maladie alcoolisme, je vous conseille le livre de Susan Forward « parents toxiques comment échapper à leur emprise »
« Libourne : une mère vivait coupée du monde en plein centre-ville avec ses trois enfants », Sud ouest du 11/06/2016.
Les grands-parents participent à l’inceste de la mère; les accusations de violence à l’égard du père cherchent à cacher 23 années de maltraitance; enfin, en plein centre-ville, le comportement de cette femme n’aura éveillé les soupçons de personne.
A 36 ans, il est jugé pour avoir tué cette mère qu’il ne pouvait plus supporter. Il fera huit ans de prison :
http://www.sudouest.fr/2011/09/22/huit-ans-de-prison-pour-christophe-poulard-506146-1504.php
…au moins à la fin de sa peine, il sera libre !