L’ogre de la sexualité féminine

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Ceux qui réfléchissent à la question des rapports hommes femmes ont bien identifié la supériorité sexuelle féminine. Elles peuvent baiser presque autant qu’elles le veulent et cultiver une sorte de raffinement en la matière. En comparaison, l’orgasme masculin est court. L’érection aussi. Mais cette capacité sexuelle s’étend bien au-delà du simple acte sexuel. Elle est possiblement ogre de plaisir, mais aussi ogre de reproduction, ogre de contrôle, ogre de conscience.

Ogre de plaisir dans le sens où la sexualité féminine consume la chair. Jamais satisfaite, de moins en moins satisfaite, l’attirance pour la femme demande sa livre de chair en plus, à chaque acte réussi ou pas. Raté, l’acte sexuel fantasme la réussite, dans d’autres positions, avec une autre personne, en d’autres circonstances. Réussi, l’acte sexuel veut encore plus de plaisir la prochaine fois, à jamais insatisfait, nourri de son avidité.

Ogre de reproduction, le sexe est inséparable d’un acte reproductif qui voudrait se perpétuer sans frein. Sans lui, sans le fantasme de donner la vie, il n’existerait pas. Et plus encore, il est effectivement reproduction, c’est à dire capacité à devenir une sorte de démiurge créateur de chair, fabriquant d’enfant, mère.

Ogre de contrôle car la femelle autorise chez tous les mammifères, l’acte reproductif. En conséquence, cette autorisation permet l’épanouissement de l’homme, ou non. Seul le viol donne les moyens d’échapper à cette mécanique, viol qui est un fantasme féminin, ou une faillite masculine. Les féministes lesbiennes qui assimilent chaque pénétration à un viol, affirment en relief, que le consentement de la femme n’existe pas, que toutes les femmes sont ainsi des enfants à brusquer ou à laisser vierges, et que l’humanité devrait disparaître puisque dans de telles conditions, elle ne devrait pas se reproduire. Voilà ce que j’ai appelé la sanctification du viol par les féministes.

Ogre de conscience car la sexualité dévore la pensée. Toute réflexion qui reste sous son diktat est orientée vers sa satisfaction, et éloigne de Dieu. L’homme qui veut baiser a l’esprit occupé à trouver les moyens d’atteindre son but, guerre comprise, et non à faire le bien. L’islam ou le catholicisme ont essayé de canaliser la sexualité, et ce n’est pas sans raison. La sexualité dirigeante aveugle et son emprise empêche d’agir bien.

Je voudrais revenir une nouvelle fois sur le film tiré du roman “le parfum” de Süskin, en ce sens qu’il met sur écran un fantasme largement répandu dans les esprits occidentaux concernant la sexualité. Assouvir sans tabou notre désir de sexe, amènerait le bonheur sur terre. Ou encore, l’avènement des femmes inaugurerait le retour du paradis sur terre. Car derrière le plaisir sexuel, il y a bien l’idée que si les femmes dominaient le monde, grâce à leur pouvoir sur la chair, le monde ne s’en porterait que mieux.

Régulièrement, cette idée n’est pas restée à l’état de fantasme dans l’histoire des peuples et des civilisations. Elle a été mise en pratique, mais n’a jamais abouti qu’à une sorte de régression généralisée. Il n’y a qu’à penser à notre époque qui est le fruit de la libération sexuelle des années 70. Ou à la Rome décadente. Certains m’opposeront que cette idée n’a pas abouti. Si le communisme a raté, c’est qu’il faut plus de communisme… Au contraire, je pense que sa logique implacable s’est réalisée. Cette sexualité débridée a décuplé les effets de la jalousie à l’intérieur des couples, qui n’ont pas tardé à se reformer en excluant la troupe après la période hippie, et ceci pour vivre en paix. Puis elle a instillé son venin dans notre société par le biais de la pornographie de masse ou la publicité obscène, détruisant au passage la norme religieuse. Elle a tout emporté sur son passage, jusqu’à l’idée du bonheur et l’innocence des enfants.

Bien entendu, notre société tient encore debout, tout au moins en apparence. Mais elle est mitée de partout. Les travailleurs vont encore au boulot, mais ils ne savent pas pourquoi. S’ils sortent du cadre social et politique, ils sont exclus. Les malades sont encore soignés jusqu’au moment où ils dérangent l’institution et qu’ils sont euthanasiés. Quand ils sont soignés. Ne parlons pas des vieux qui n’ont plus de place dans leur famille et de moins en moins dans les maisons de retraite. Quant aux enfants, nous les aimons tellement que nous n’en avons plus. Et nous sommes devenus tellement riches que la plupart des gens n’en veulent pas, par peur de ne pas avoir assez pour les éduquer. Le désordre s’est répandu dans tous les rapports sociaux, sous les oripeaux d’une fausse ambiance de paix sociale et surtout après cette pseudo libération sexuelle qui paradoxalement a abouti à notre stérilisation.

Dans le cerveau du brave citoyen rempli de bonnes intentions quant aux droits du citoyen, la vérité des pensées est plutôt celle-là : “à quoi sert l’efficacité si l’on peut jouir sans effort, à quoi sert-il de garder des vieux dont on ne peut plus jouir, à quoi sert-il de travailler, d’avoir des enfants ou même de penser puisqu’il suffit de jouir, ou de consommer (substitut de la jouissance).”

Le désir sexuel s’est étendu de manière totalitaire à tous les rapports humains, et avec lui son lot de bassesse, de guerre et de mort. Les féministes affirment encore que si les garçons étaient éduqués comme des filles, le monde se porterait mieux. De bons petits soldats obéissants et la paix régnerait sur terre. Comme si le mal ne pouvait pas prendre les apparences d’une organisation sociale parfaitement huilée ? Comme si le groupe social n’était pas le premier sacrificateur d’individus innocents… L’idéal de celles-là serait un monde où régnerait l’ordre au féminin et où la sexualité masculine désordonnée, n’aurait pas de place. Cependant, la sexualité masculine n’est qu’un désir d’aller vers la femme. Il faut donc interroger la sexualité sur le plan féminin pour la comprendre. Or partout où la sexualité féminine règne, la société oscille entre totalitarisme et guerre, pour le dire autrement, entre guerre contre un ennemi intérieur (guerre civile de pacification, de mise au pas) ou contre un ennemi extérieur (guerre tribale pour ramener des subsides). Quand les femmes impriment leurs vues sur le cadre social, cela donne socialisme/communisme. Quand les hommes dirigent la société mais sont entièrement perméables aux femmes, ils font la guerre pour les femmes par avidité pour leur apporter de l’argent ou de la sécurité par tous les moyens possibles et imaginables, ceci afin d’accéder à la sainte croupe.

 

Quand les femmes gouvernent : Sandrine Rousseau, la communiste, imite un vagin à l’assemblée nationale. 

 

Quand les hommes perméables aux femmes gouvernent : un rugbyman faisant le signe “allez la chatte”.

La sexualité, donc la sexualité au féminin, car la sexualité n’est que féminin ou désir de féminin, est une embûche pour l’homme. S’il ne la transcende pas, elle fait de lui un pourceau obéissant, guerrier aveugle, ou travailleur esclave.

Cette ambivalence de la sexualité se retrouve chez les femmes. Energie pour l’homme qui lui permet d’agir pour le bien s’il la domine, ou pour le mal quand elle le guide, elle est pouvoir totalitaire ou menace de chute pour la femme. Ainsi nombre de femmes qui usent et abusent de ce pouvoir, sont pourtant plus mesurées que les hommes quand il s’agit de l’imposer. Elles renâclent à l’idée de fréquenter des milieux sans hommes. Bizarre… Certaines femmes aiment bien aussi l’idée que des hommes se battent pour elles, mais elles sont beaucoup plus nombreuses à se méfier de cette violence, dont elles savent par instinct, peut-être par expérience, qu’elle peut se retourner contre elles. L’enfer est pavé de bonnes intentions. Et les bonnes intentions des hommes envers les femmes ne servent pas toujours ces dernières (que dire de la haine des féministes pour les hommes féministes…). Ainsi beaucoup de femmes préfèrent les voyous dont elles estiment qu’ils leur échappent. Calcul imparfait, car le voyou d’une société légitime, s’attaque aussi au masculin. Mais les sociétés légitimes existent-elles ? De nos jours, dans cette société où l’individu n’a plus de place, les personnes conscientes en sont arrivées à douter de l’existence même de la possibilité d’une société légitime, où hommes et femmes vivraient en harmonie, dans la différence.

Officiellement, le discours social dénonce le règne de l’individu, cet horrible individualisme qui nous empêcherait de vivre collectivement heureux. Dans la pratique, je ne vois que des personnes à la recherche de leur identité, très faibles, et qui comptent sur le collectif pour contre balancer leurs manques. Cette dénonciation de l’individualisme cache surtout le désir de totalitarisme et d’oppression sur la personne, parce que l’individu n’est plus rien dans la société. Celui qui a renoncé à son individualité compte sur la collectivité pour remettre au pas tous ceux qui sont quelqu’un, à l’esprit trop masculin, qui oseraient défier les règles sociales auxquelles lui, s’est plié par faiblesse ou par choix.

L’idéal de ces esclaves féminisés, c’est l’enfant masqué pour rien, qui accepterait le viol de son corps et de sa conscience par le vaccin, et ceci soit-disant pour “protéger” le collectif. Celui-là n’agit pas par soucis d’efficacité masculine, contrairement à ce qu’il essaie de faire croire, mais parce qu’il s’imagine que le bonheur sur terre arrivera quand tous les individus obéiront au groupe. Oh l’affreuse figure du patriarche pour lui ! (voir le rapport que certaines personnes entretiennent vis à vis de V Poutine) Oh l’horrible entrepreneur qui a réussi et qui par son argent, a du pouvoir sur la société ! Oh l’homme de pouvoir ! Mieux vaut ne pas  s’interroger sur la légitimité de ce pouvoir masculin, mais l’éliminer carrément, par le communisme ou par le socialisme. Ne pas vivre en somme. Etre à l’arrêt comme nous le sommes depuis des années dans notre société, en femmes attendant d’être fécondées. Dans une société où règne les femmes, le pouvoir masculin est vu de manière ambivalente, comme un violeur libérateur, tandis que pour les hommes il n’est que le fruit d’une transmission et d’une expérience, imparfaite.

Les hommes dans les société féminisées, ne se distinguent pas de leur désir pour les femmes. Perméables ils ne voient pas plus loin que le bout de leur sexe. Forcément médiocres. Le monachisme qui a apporté tant de fruits à l’occident, tout pour ainsi dire, écoles, science, hôpitaux, agriculture et donc prémisses du capitalisme, vivait d’abstinence. Ce sacrifice seul de la sexualité a permis d’ériger tant d’édifices à la gloire de l’humanité.

Plus un homme progresse dans sa conscience, plus il doit être capable de distance par rapport à l’acte sexuel, sans pour autant le nier, en l’ayant transcendé. Voilà pourquoi un nombre notoire de gays finissent par devenir réactionnaires, et relativiser autant que possible leur pulsion désordonnée, pour pouvoir progresser individuellement.

Dans notre société féminisée, le masculin est entièrement perméable au féminin, non pour notre propre bonheur, mais par médiocrité et violence. L’explosion du nombre de filles-mères, avec leurs enfants désarçonnés, en est l’illustration et le générateur dans les familles. A un niveau civilisationnel, les USA sont de nos jours, l’archétype de cette ambivalence qui tiraille chaque civilisation, entre perméabilité sexuelle et continence. D’un côté, le protestantisme qui a guidé ce pays, a été plutôt très critique envers toute libération sexuelle. Dès lors, il a permis à ce pays de devenir la puissance qu’elle est. D’un autre côté, ce pays devenant moins religieux a développé une violence terrible à l’égard des autres pays, et maintenant en interne avec le wokisme. Actuellement, le délitement se poursuit et il n’est pas possible de dire si une réaction efficace pourra devenir légitime. Certains m’opposeront que ces guerres envers d’autres pays se sont faites au nom de motifs religieux, ce à quoi je leur répondrais simplement : pourquoi dès lors ces guerres soit-disant religieuses ont-elles coïncidé avec une sécularisation de cette société, et un affermissement de l’état ?

Le tout sexuel, ou plutôt la féminisation d’une société, emporte les désirs individuels, tue l’esprit de religion et nous rabaisse à l’état animal. Chez les masculinistes, l’image de l’homme alpha n’est qu’une réminiscence de cet animal, celui qui baise et qui se bat pour conquérir le plus de femmes possible en gagnant de l’argent. Pauvre singe. Quitté pour personne, ou pour plus pauvre que lui, il ne sait plus quel sens donner à la vie, alors qu’il voit la vie comme un animal, et que de toute évidence, personne n’a envie d’exister ainsi. Le bêta est aussi sensé courir derrière la chatte, sans jamais y arriver, et courir d’autant plus que telle une souris, il serait enfermé dans une cage roulante dont il serait le dupe. Allons donc, là où il y a des concepts tels que bêta ou alpha, il y a surtout une société dont les individus n’envisagent les rapports humains qu’à travers le sexe, de manière matérialiste, darwinienne. Ce genre de société absurde se donne comme idée du progrès, non le progrès de la volonté et de la conscience humaine, mais d’obscures circonstances environnementales apparaissant là comme par magie. Je ne répéterai jamais assez combien cette idée du monde est idiote, absurde et non prouvée scientifiquement parlant. L’homme a un cerveau, non pas pour survivre, mais par amour pour la pensée et par amour de Dieu, de sa création. Le cerveau de l’homme grossit au fur et à mesure que la jalousie pour la réussite de l’autre diminue. Il développe ce cerveau parce qu’il se questionne face au monde, parce qu’il prend des distances par rapport au matériel, parce qu’il est capable d’esprit de sacrifice. Car s’il devait suivre son son instinct, il ferait comme la masse bêlante et il se conformerait à l’opinion du groupe. Il y aurait toujours intérêt pour survivre et il ne serait pas prophète, génie, libre, sacrifié.

Pauvre humain achristique, engoncé dans son reste d’animalité et qui imagine que le progrès est immanent, qu’il faut donc suivre le troupeau pour évoluer, ou être à sa tête pour le conduire, encore engoncé dans une vision magique de la création. Pauvre humain qui se résume à ce qu’il voit et qu’il ne comprend en rien, tout en refusant de s’imaginer contre toute évidence, qu’une entité le dépasse et qu’il est attiré vers Elle, qui refuse en somme d’assumer ses responsabilités d’humain et d’accepter entre autre que la sexualité pour la sexualité, c’est la guerre. Pauvre humain qui préfère rester dans les langes de maman et s’imaginer qu’il pourrait toujours en être ainsi, quitte à se suicider et plus souvent faire tuer les autres, pour rester dans son idée de “l’intérêt” (voir la guerre entre la Russie et les USA en ce moment). 

6 réponses à “L’ogre de la sexualité féminine”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "“Subway shirt” : ces femmes qui se camouflent dans les transports… ou quand les médias découvrent l’eau chaude" Breizh du 15/06/2023.

    Attirance pour l'ogre de la sexualité féminine qui provoque une incapacité pour les femmes à s'assumer dans la rue. 


  2. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Bonjour M. Durandal,

    N'êtes-vous pas en train de dire, d'une certaine manière, que les femmes sont des trous sans fond, sexuellement du moins ? Que le vagin est un trou qui absorbe le plaisir, mais sans fin ?

    Cela me fait penser que s'il y avait des guerrières sayen dans Dragon Ball, le meilleur moyen d'absorber les boules d'énergie de Freezer, Cell, Majin Boo et les autres, ce serait d'avoir la technique du '' vagin absorbant ''. La guerrière s'envole dans les airs, se met en position horizontale, écarte les jambes et absorbe la boule d'énergie en poussant un cri de jouissance. 

    Bon, je sors. Je suis désolé pour cette pensée plus qu'absurde et perverse.

    Ce doit être mon côté gaulois, que voulez-vous ? 

    Cordialement,

    Cyrus

     


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      M Cyrus,

      J’ai trouvé le début de l’intervention intéressante. Je ne crois pas qu’il y ait de différences intrinsèques entre la philosophie du corps et celle de la loi naturelle, philosophique. Nous sommes des corps esprits, pas de purs corps, pas de purs esprits. Le vagin a effectivement cette capacité presqu’illimité d’absorber le plaisir de l’homme, et plus, son énergie, et sa force. Ce qui est très symbolique je trouve. Si l’homme ne se distingue pas de son plaisir, de son corps, son esprit est aussi absorbé. Cela arrive souvent chez les hommes. D’ailleurs plus ils fantasment sur le corps des femmes, plus leur esprit a tendance à être absorbé, avec ou sans pénétration. La pénétration a au moins le bienfait de le réintroduire dans la réalité si j’ose l’exprimer ainsi.

      Pour Dragon ball, j’étais tombé il y a longtemps sur une des nouvelles séries, très réussie, après la pente décadente des n°2 et surtout n°3 4 (de mémoire). Dans cet épisode, l’esprit féminin et occidental était représenté sous la forme de deux mémères qui se battaient ensemble et défendaient “l’amour”. C’était en même temps très marrant et très symbolique. Une super guerrière ne peut pas être illustrée à mon avis. Le guerrier est essentiellement masculin. S’il fallait magnifier la force féminine, il faudrait le faire par l’absence, ou le trou noir, le silence. Très difficile à manier dans la littérature ou dans le dessin. Très difficile à conceptualiser même. Mais les meilleurs littérateurs n’ont ils pas cette capacité à exprimer les émotions entre les lignes ?

      Dormez bien.

      M Durandal.


      1. Avatar de Cyrus
        Cyrus

        M. Durandal,

        Voici quatre exemples de guerrières féminines :

        1. Xena

        Xena - Wikipedia

        2. Sailor Moon

        Sail on, Sailor: Sailor Moon turns 25 | The Spokesman-Review

         

        3. Bellatrix Lestrange (une sorcière adepte de Voldemort dans Harry Potter)

        Every time Bellatrix Lestrange gave us nightmares | Wizarding World

         

        4. Artemisia (300 : La naissance d'un empire)

        Eva Green - Artemisia "300" * | Actress eva green, Eva green, Eva green 300

        Cordialement,

        Cyrus


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          M Cyrus,

          Mais pas des exemples de guerrier…

          M.D


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