Publié le 12 novembre 2012 par Léonidas Durandal à 0 h 00 min
Matthieu 19:8-9 Il leur répondit,
C’est à cause de la dureté de votre cœur
que Moïse vous a permis l’acte de répudiation;
au commencement, il n’en était pas ainsi. Mais
je vous dis que celui qui répudie sa femme, sauf pour
infidélité, et qui en épouse une autre, commet un adultère.
Une fille-mère espagnole qui occupe illégalement le logement d’un de ses compagnons, a décidé de mettre en vente ses organes sur internet, contre toutes les lois de son pays, pour échapper à l’expulsion :
Article du Figaro du 11/11/2012, Le Point du 12/11/2012
La cigale et la fourmi, Monsieur De La Fontaine
La cigale , ayant chanté
Tout l’été,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau
Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu’à la saison nouvelle
«Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l’oût , foi d’animal,
Intérêt et principal .»
La fourmi n’est pas prêteuse ;
C’est là son moindre défaut.
«Que faisiez-vous au temps chaud ?
Dit-elle à cette emprunteuse.
Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez ? j’en suis fort aise.
Eh bien : dansez maintenant.»
Quand on est riche, on se permet tout… si la loi le permet.
Ces pauvres folles féministes en sont le triste exemple. Il y a quelques années, la société catholique d’Espagne a décidé de tourner le dos à ses traditions, elle a décidé que ses femmes auraient « l’indépendance » d’hommes qui ne l’avaient pas. Au lieu de renforcer la protection des gens mariés, elle a voulu que celles-là puissent divorcer à leur convenance et reformer des familles décomposées, quand elles le voudraient et comme elles le voudraient. Tant que la société fut riche, elles firent n’importe quoi. Mais voilà, depuis quelques années, le système se grippe. Une inflation masquée sévit, et le chômage augmente. Nos féministes n’avaient pas prévu que nos sociétés s’appauvriraient et l’Etat n’a même plus les moyens de leur folie. Le robinet de l’imposition masculine qui taxe d’abord, les métiers d’hommes, ce robinet est en train de tarir. Les hommes, plus méfiants, commencent à se protéger pour préserver le peu de liberté qui leur reste. Enfin ceux qui sont au chômage ne peuvent même plus cracher au bassinet.
Alors, ces femmes cupides qui ont l’habitude qu’on leur cède tout, qui se sont habituées à considérer les hommes de leur entourage comme des sous-êtres humains qui n’auraient pas les mêmes droits qu’elles (lois sur les violences faîtes aux femmes en 2010), celles-là voudraient bénéficier de la même protection dont elles bénéficiaient quand elles étaient encore dans une société traditionnelle. Mais la société libérale n’est pas si flexible que les maris d’autrefois. Cette société libérale, quand elle ne peut plus payer, se bloque. L’Etat prend le relais et fait cracher « >
"Familles d’accueil : la relève de la garde traîne" Libération du 05/11/2019.
Les mêmes qui ont promu la société du divorce, les attaques contre la famille et contre la religion, l'infanticide par avortement, s'étonnent désormais de ne plus trouver assez de familles empathiques pour accueillir des enfants non voulus… En même temps, si ça peut détruire l'ASE, ce pourrait être un mal pour un bien.
"Directrice d’école à Pantin : «C’est le métier qui l’a abîmée et poussée à ce geste, rien d’autre»" Libération du 26/09/2019.
Il n'aurait pas fallu publier les passages concernant sa relation aux parents selon une autre directrice d'un syndicat de gauche. La névrose jusqu'au suicide. Un bon résumé du socialisme en France. Les pauvres, qu'ils subissent les résultats de leurs contradictions me rend vraiment très triste.
"Un homme condamné à indemniser son ex-femme pour 27 ans de tâches ménagères" AFP du 11/06/2019.
Voilà où mène la permission du divorce : à la suppression de l'idée de mariage.
« En Mauritanie, on divorce pour le meilleur et pour le pire », L’Obs du 22/02/2018.
Le hit combo : les divorces c’est fantastique; les progressistes en Islam, mais c’est possible !
« Priorité à la garde alternée : une fausse bonne idée ? », L’Obs du 23/11/2017.
Ce qui est le plus marrant à mon avis, c’est l’avarice des associations féministes et de femmes, qui déclarent ouvertement que leur principal cas de conscience sera la baisse des revenus de celles qui ont pondu pour avoir un statut dans la société (et qui après récriminent contre le rôle de mère attribué à la femme). Du côté des associations de père, on rêve à une improbable égalité qui se moque bien de l’enfant et des différences entre pères et mères. Ou comment saborder son rôle protecteur de père en voulant le défendre. Quant aux associations de psys, je serais entièrement d’accord avec elles, si dans le même temps, elles défendaient avec force la résidence alternée après 6 ans. Je risque d’attendre longtemps…
Cerise sur le gâteau, la journaliste de gauche qui bizarrement, n’est plus si chaude à défendre le principe d’égalité quand celui-ci ne favorise pas les femmes.
Les famillicides ne sont pas prêts de diminuer.
« L’alerte du Samu social : il y a de plus en plus de femmes sans-abri », L’Obs du 09/11/2017.
« Prostitution étudiante : le camion Sugar Daddy nargue les facs parisiennes », Le Point du 26/10/2017.
Il ne nargue rien du tout. Il fait appel au libéralisme de ces dames. Dans un autre article, les femmes concernées arrivent à se plaindre de leurs exigences en matière de niveau de vie. Putes de bout en bout :
« Peur, argent, chantage… « Je ne souhaite à personne d’être sugar baby » », L’Express du 28/10/2017.
« Je suis fonctionnaire, mère célibataire. Mon bail est terminé, je ne peux plus me loger », L’Obs du 05/06/2017.
Et moi qui croyait que le travail (des femmes) rendait libre.
« Un couple de Seine-et-Marne soupçonné d’avoir prostitué des mineures en fugue », L’Express du 27/02/2017.
Un couple ! Plutôt une mineure en fugue, prostitue d’autres mineures. Voilà où notre société en est arrivée.