L’inévitable écrasement des pères divorcés

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Alors que notre système économique arrive en bout de course, plusieurs mesures législatives insistent en matière de décadence : malgré son anémie, le père divorcé, en occident doit continuer à servir de variable d’ajustement pour sauver le train de vie des filles mères de notre république. Notre système fiscal doit rassurer ses clientes en temps de crise et se donner l’apparence de pouvoir toujours sauver la veuve et l’orphelin, à la place des hommes, au moment même où la dite veuve et orphelin risquent effectivement d’avoir besoin de l’état. Que le résultat d’une telle ponction sur les hommes ait abouti à une stérilité de masse inédite dans nos sociétés, et à un appauvrissement généralisé, ne préoccupe pas tellement nos gouvernants féminisés. L’immigration masque encore, pour un temps, la banqueroute. Et à court terme, il y a des femmes à aider. Ceux qui les « aident » comptent bien continuer à se payer une bonne conscience, et une réélection, sur leur dos, et sur notre statut de père. Rien ne les arrêtera, car cette machine fonctionne ainsi : en sacrifiant les hommes. Hier à la guerre des bouchers. De nos jours par la fiscalité.

Pour vous détailler le niveau d’horreur atteint, il faut songer que l’état se charge désormais de recouvrer les impayés de pensions alimentaires. Sur le papier, ça sonne très juste. Dans la pratique, cela signifie qu’une administration, au-dessus des lois communes en France, peut organiser votre mise à la rue, vous exproprier, et vous priver de l’essentiel, sous couvert de justice bien évidemment. Il ne faut pas contrarier une de ces dames au moment de la séparation…

Le père divorcé a été la première victime de cet ogre administratif. Tout le reste de la société a suivi. Les pouvoirs fiscaux se sont étendus sur le modèle de ce genre de contrôle. D’abord sur vos revenus, en ce moment sur vos comptes, et bientôt sur votre possibilité de consommer de manière autonome.

D’ailleurs la deuxième mesure récente en dit long sur l’état d’esprit qui règne dans notre société en matière de privation de libertés. Ici, l’état a décidé d’augmenter d’un coup, de 50 % les pensions alimentaires minimums allouées par enfant. Celles-ci passent en novembre de 116 euros à 174 euros. Evidemment, pour des personnes qui sont payées plusieurs dizaines de milliers d’euros par mois, voire plusieurs centaines de milliers dans les cercles de pouvoir, cette augmentation peut sembler assez proportionnée. Pour un homme proche du minimum salarial, c’est la faillite. J’en connais un qui va devoir se bouffer les doigts s’il veut continuer à manger de la viande. Un brave travailleur remarque, qui n’a pas le temps de faire de la politique, lui-aussi.

Nous en sommes arrivés à cette situation, en toute logique, parce que précédemment, les juges prenaient des décisions complètement aléatoires quant au niveau des pensions alimentaires. Notez que celles-ci sont bien mal nommées. En fait de pensions alimentaires, il s’agit surtout de maintenir le train de vie de la mère. Car les dits besoins alimentaires des enfants peuvent varier du simple au centuple selon les situations. Je ne crois pas que les enfants de riches mangent plus que les enfants de pauvres, enfin dans de telles proportions. Mais passons. Pour l’occasion, le législateur perçut dans l’incurie de certaines juges, une bonne occasion d’intervenir dans les libellés de justice en fixant lui-même des barèmes. Ainsi fut créée cette notion de « pension alimentaire minimum ».

50% d’augmentation, brutalement, cela pose question. Soit le gouvernement nous ment sur le niveau réel de l’inflation, estimant que celle-ci est de l’ordre de 50 % sur les produits alimentaires pour cette année (au lieu des quelques pourcents officiels). Soit il vient de sacrifier bien des hommes pauvres sur l’autel du féminisme le plus crasse. En l’occurrence, j’ai peur que les deux propositions se recoupent. Les travailleurs pauvres vont devoir se saigner pour soulager l’électrice sourcilleuse et son chevalier maman, qui ont besoin d’être rassurés à coups de mensonges chiffrés.

Aude Luquet : Où mène la bienveillance hommasse envers d’autres femmes…

Mais j’ai gardé le meilleur pour la fin, avec cette proposition de loi d’Aude Luquet, au centre du monde, politique. En août, celle-ci cherchait à permettre aux femmes de déduire les pensions alimentaires qu’elles touchaient, et obliger les hommes qui les payaient à les déclarer comme des revenus. Vous n’y comprenez rien. C’est normal. Il n’y a pas de logique dans ce que je viens d’écrire. D’habitude, fiscalement, vous pouvez déduire les charges qui sont les vôtres. C’est le principe de l’impôt depuis la nuit des temps. Et vous déclarez l’argent que vous touchez. Ici, notre chère députée désirait bouleverser l’ordre de la logique commune. Pourquoi ? Pour aider les pov’femmes évidemment. Quand le monde devient fou, la vérité devient le mensonge et inversement. Ici, Olivia Grégoire, donc femme, de la majorité a donné un avis défavorable. Et la mesure a été votée par l’opposition ! Entre temps, nos législateurs ont laissé aux hommes la possibilité de continuer à déduire les pensions qu’ils versaient. Mais les femmes ont obtenu de ne pas avoir à les déclarer, ce qui reste assez ubuesque.

La législation est d’autant plus cocasse que la mesure a été adoptée pour aider les pov’familles monoparentales à payer moins d’impôts sur le revenu. Or, ces pov’familles là ne payent déjà pas d’impôts sur le revenu, puisque justement elles sont pauvres. Cette mesure n’avait donc aucun sens, sauf à punir les hommes insérés socialement et à favoriser quelques filles-mères riches qui bénéficient déjà d’un gros dégrèvement en ayant la possibilité de déclarer leurs enfants à charge comme autant de parts supplémentaires.

Pour redonner un sens à ces propositions de lois, il faut les comprendre comme des sortes d’incantations magiques ayant pour but de jeter le mauvais œil sur les hommes divorcés tout en favorisant les femmes « abandonnées ». Voilà où nous en sommes arrivés à force de féminisation. Les féministes ne résolvent en rien les problèmes dont elles sont censées s’occuper et par contre, elles sacrifient une partie de la population, ici masculine, pour faire taire leurs rancoeurs. Tout cela sous couvert de discours égalitaire.

Les chiffres l’annoncent pourtant, les femmes perdraient 19 % en niveau de vie après une séparation et les hommes seulement 2,5 %. Il faut régler cette injustice. Or vous comprendrez que cette propagande alimente un mensonge grossier comme quoi les divorces n’auraient pas tellement de conséquences, et que s’ils en ont, les femmes en seraient principalement victimes. Songez simplement qu’un homme ou une femme qui divorce a autant besoin d’un logement pour lui tout seul que lorsqu’il était en couple, sans que ses revenus n’augmentent, logement qui devra accueillir les enfants, sans que l’autre ne l’aide. La baisse de revenus en cas de divorce est gigantesque. Les divorces se passent mal. Vous perdez en patrimoine, en revenus, en taille de maison, et plus encore, en temps de libre. Par contre, vos charges augmenteront, comme le chauffage ou l’électricité que vous devrez payer seul. La baisse de niveau de vie est forcément, mathématiquement, de plus de 50 % pour les deux membres du couple. Voilà d’ailleurs pourquoi les humains et même certains animaux se mettent en couple : pour obtenir des synergies positives qui matériellement, les aideront à faire mieux à deux.

Un simple matérialiste aurait les moyens de le comprendre. Pas une féministe emprunte de sorcellerie et qui n’a évolué qu’en façade. Pour celle-ci, la mécanique du monde n’est pas logique, mais sacrificielle et punitive. Le monde doit répondre à toutes ses demandes, sinon, les empêcheurs de tourner en rond seront punis, à coup de magie noire. Les hommes qui ont acquis une autonomie sociale sont sa première cible car ils excitent sa jalousie d’un pouvoir archaïque à jamais perdu. Ce fantasme légitime chez elle toutes les exactions qu’elle va pouvoir commettre, mensonges et exagérations en premier lieu, sensationnalisme et émotivité en second lieu. D’ailleurs son identification lancinante aux sorcières s’impose au fur et à mesure que la société se déchristianise. Que la petite Lola ait été sacrifiée directement par une de ces harpies venues du passé, nous masque la superstition généralisée à l’oeuvre dans notre société occidentale, en provenance d’autochtones dégénérées gauchisantes, et qui tuent en manipulant les institutions.

Les Sandrine Rousseau et autres Alice Coffin semblent avoir un discours délirant avec leur patriarcat tueur mis à toutes les sauces. Elles ne sont que les enfants d’un discours victimaire qui a pour but de légitimer le sacrifice, avant indirect, désormais direct, des hommes. Celles-là ne sont pas des individus coupées de leur base, mais les représentantes d’un mouvement très large qui les cautionne, un mouvement encore plus large lorsqu’on intègre toutes ces femmes et tous ces hommes qui prennent comme d’une évidence la nécessaire égalité entre hommes et femmes.

L’humiliation des hommes n’aura pas de limites tant qu’ils n’y mettront pas fin.

“Egalité”, autre nom du « tous contre tous », ou de « jalousie », et qui finit inévitablement par la terreur. Cette idée est si ancrée dans notre psyché qu’elle nous a donné à voir des sorcières aux cheveux colorés dont nous tolérons les discours sanglants et, je le répète, délirants. Ce délire fait écho au délire commun en matière d’égalité et dont la très grande majorité de notre population est emprunte  : “il faut combattre les féministes radicales/le néo féminisme/le féminisme d’opposition, par l’idée initiale du féminisme qui est une bonne idée qui fait partie intégrante de nos valeurs occidentales” uhm uhm. Les sorcières, elles, ne s’occupent pas de ces tergiversations de vierges effarouchées. Elles désignent l’ennemi à mettre au bûcher et la population finalement convaincue suit, bon gré mal gré, valide les anciens délires qui deviennent une doxa bien établie (fenêtre d’overton). De nos jours cette mécanique avance sous prétexte de violences sexuelles, harcèlement de rue, féminicides, violences conjugales ou autres fadaises sentimentalistes n’ayant qu’un seul but : asseoir leur pouvoir par un contrôle féminisé rassurant, et totalement inefficace puisque le progrès social, c’est l’homme, et ce sera toujours l’homme.

Notre faiblesse même autorise leurs discours. Et quoiqu’en pensent nos hommes lascifs et femellisés, ces femmes ne disparaîtront pas du théâtre publique à cause de leurs délires, puisqu’elles sont justement là grâce à eux. « L’homme déconstruit » de Sandrine Rousseau n’est que la personnification d’un homme, d’un père qui a été déconstruit, minutieusement, par toute la société, bien avant qu’elle ne soit reconnue sur la scène médiatique. Le problème n’est donc pas Sandrine Rousseau, ou telle ou telle féministe, mais toutes ces idées délirantes égalitaires entre hommes et femmes, à qui nous donnons, dans toutes nos conversations, dans nos choix de vie, du crédit. Tant que nous cultiverons de la faiblesse envers les femmes, nous repousserons le Christ et favoriserons le retour de la sorcellerie. Hier, le père a été sacrifié dans nos sociétés. Demain, ces sociétés se mangeront elles-mêmes. Et les hommes qui tiendront peut-être encore le manche, seront accusés faussement du génocide à cause de leur nature masculine. Jolie tartuferie. 

12 réponses à “L’inévitable écrasement des pères divorcés”


    1. Avatar de
      Anonyme

      Que les hommes apprennent à garder leurs femmes. Et puis si les mgtow lisaient les études qu'ils publient, ils sauraient que c'est parce que même quand le mari est d'accord avec les séparation : vit ailleurs, a une autre femme et parfois de nouveaux enfants, il ne veut pas s'occuper de la paperasse donc c'est future ex madame qui s'en occupe.


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        Mme Anonyme,

        Votre raisonnement est un sophisme bien connu dans l’androsphère : si les hommes sont séparés c’est de leur faute, si les femmes souffrent, c’est de la faute des hommes. Ce n’est donc pas un argumentaire, mais un deux poids deux mesures.

        Je vois que vous vous intéressez à plusieurs de mes articles, donc je vous ne ferai pas le reproche de m’avoir jugé trop vite. En l’occurrence, je ne suis pas mgtow comme vous le précisera cet article.

        Sur votre propos en lui-même : les hommes qui passent de femmes en femmes sont souvent des, comment dire, des matriarcaux, qui ne peuvent vivre sans une maman à leurs côtés. Ils régressent au fur et à mesure qu’ils ont plusieurs femmes “sérieuses” dans leur vie. D’ailleurs, il faudrait s’interroger sur ces femmes qui prennent de secondes mains, leurs motivations, surtout que ce sont les femmes qui autorisent les relations sexuelles chez tous les mammifères. Ce sont en outre les femmes qui décident des séparations dans 80% des cas. Les hommes subissent le divorce généralement, femmes qui sont inconstantes, ne font jamais le deuil de leur hypergamie amoureuse. Il est facile d’entraîner des hommes dans des relations sexuelles inappropriées, puis de les marier dans notre société. C’est exactement comme cela que les femmes ont voulu construire notre société, trop heureuses de pouvoir jouer des attirances sexuelles qu’elles suscitent pour imposer leur loi aux hommes, mais aussi leur loi entre femmes.

        Bien à vous.

        M.D


    2. Avatar de
      Anonyme

      Et oui utilisation d'un sophisme pour me moquer du très répandu "s'il te trompe c'est que tu n'as pas su le satisfaire" alors que c'est un soucis de discipline sexuelle. Mais j'imagine que comme tous les hommes mysogynes, l'idée qu'une femme fasse  une blague, ça ne vous a pas traversé l'esprit. 

      Les hommes sont passifs dans les relations. Leur femme peut leur parler des années durant, ils se réveillent qu'une fois que celle-ci a pris sa décision de partir. C'est là que tout à coup, tout ce qu'elle demandaient d'eux, est fait instinctivement.

      Comme votre commentatrice qui a constaté que son mari se comporte mieux depuis qu'elle travaille. Aka : "elle gagne son argent, elle voit du monde dehors, elle a plus de chances de me quitter, je devrais mieux me comporter"

      L'hypergamie n'a rien à voir. Les femmes ne quittent pas leurs maris pour un homme plus riche dans la majorité des cas. Elles les quittent pour être seules et tranquilles. Parce que celui-ci est invivable. 

      Vous chargez en permanence les femmes de la responsabilité du maintient de la relation : vous me donnez des exemples qui ont failli à leur engagement maritaux et vous voulez que les femmes s'en prennent aux "briseuses de ménage" et pas au mari volage. Savaient-elles que ces hommes étaient mariés ? Rien ne l'indique dans l'article.  Je croyais que les hommes n'aimaient pas les potins … Bref, une relation, ça se tient à deux donc ce n'est pas parce que la femme est la première a constater la mort de la relation et prendre les mesures qu'il s'impose que l'homme n'a pas lui aussi sa part de responsabilité dans le divorce. 

      Bref, tous les gens de votre milieu : mgtow, manosphère ou qu'importe ont tous ce trait en commun : un problème d'intelligence émotionnelle qui fait qu'il est déplaisant de vivre avec vous : rigidité, manque d'empathie, comportement dominateur, orgueil, besoin de controle. Et souvent vous êtes convaincus d'être des "gentils garçons". 

      Et au lieu de faire un travail sur vous, vous voulez créer des lois pour obliger les pauvres femmes qui croisent votre route de rester avec vous. 

      Nous voilà quitte pour la psychologie de comptoire.

       


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        Mme Anonyme,

        On pourrait le voir autrement : ces femmes font des efforts pour avoir des enfants, une situation, un mari et une pension, puis elles se laissent aller parce qu’elles ont obtenu ce qu’elles voulaient : une famille tribale, matriarcale et médiocre, parce qu’elles même n’ont aucune ambition.
        Pour Mme QlvdDsf, c’est son mari qui lui a ordonné de travailler. Elle a été soumise, et voilà pourquoi ça va mieux.
        Je vous rejoins sur l’intelligence émotionnelle. Mais c’est exactement la raison pour laquelle, les femmes ont principalement en charge la relation de couple. Et ne me sortez pas vos fadaises de gnagnagna responsabilité égale et autres conneries qui n’ont jamais existé que dans la tête de fous idéalistes, idées qui tuent le couple.

        Bien à vous.

        M.D


        1. Avatar de
          Anonyme

          Et, conscientes de leur responsabilité,  elles choisissent sagement de rester loin de vous.

          Le sophisme des gens de la  manosphère :

          "Si les femmes sont avec un mauvais mari, c'est qu'elles ont mal choisi. Mais si elles sont très exigeantes et ne veulent pas de moi c'est des connasses qui ont des trop haut standards. Si elles restent avec un homme qui les bat c'est de leurs fautes. Mais si elles partent ce sont des conasses." 

          "Les femmes doivent être soumises et reconnaitre nos qualité de chef. Mais elles ont la responsabilité de la relation donc si celle-ci échoue c'est de leur faute. Elles doivent nous diriger, sans avoir l'air de diriger et nous laisser croire qu'on est fort parce sinon notre petit ego est endommagé. La famille doit être patriarcalement matriarcale"

          "Il faut respecter la nature et ne pas aller contre elle. Les femmes nous dominent naturellement mais c'est inacceptable. Nous devons les dominer sinon toute la société est en danger". 

          "Le rôle domestique des femmes est enssentiel et nous les respectons pour cela. Nous ne faisons pas de hierarchisation entre le rôle et le nôtre. Mais on méprisera en permanence nos femmes au foyer, on se moquera de leurs centres d'intérêts et nous n'écouteront pas leurs ressentis au sein de la famille. On leur reprochera de ne pas avoir fait de "grande découvertes" contrairement au 3 pour cent d'hommes qui en ont fait et grâce auxquels les hommes médiocre majoritaires ont également droit au respect."

          Bref ,"Je veux une femme féminine parce que ça m'attire  mais je hais la féminité "  Evidemment que vous n'attirez que des folles, vous mêmes vous avez de sérieux pb mentaux. 

           

          "J'ai fait les mauvais choix jeune en courant après les salopes. Mais, maintenant que j'ai 50 ans et prêt à me caser parce que la mort me guette,  je déplore le féminisme d'avoir transformé toutes les jeunes femmes en pute. Non je ne me demanderais jamais pourquoi je suis intéressé par les putes pour être honnête" 

          "

          Ce qui est faux bien sur, c'est juste qu'une jeune femme non vénale n'a pas forcément envie de perdre sa précieuse virginité avec un dépotoir public. C'est l'équivalent de se retenir de faire pipi à la maison pour aller faire ses besoins dans les toilettes d'une gare publique pleine des anciens excréments d'autres personnes. 

          " Mme QlvdDsf, c’est son mari qui lui a ordonné de travailler. Elle a été soumise, et voilà pourquoi ça va mieux."

          Rien dans les témoignages que j'ai lu ne l'indique. Mais si tel est le cas, je mets ma main à couper qu'il reviendra avec une autre exigence, jusqu'à ce qu'enfin, elle le quitte. Il la suppliera alors en pleurant de revenir et bizarrement, toutes les choses qu'il ne "voulait pas faire" ou ne "comprenait pas pourquoi il la blessait", il les fera. Mais la décision de Mme sera prise car le vase aura débordé et il viendra rejoindre vos rangs en vous disant "que sa dure femme l'a quitté pour une parole malheureuse et qu'elle n'a même pas voulu négocier quand elle a dit qu'elle partait".

          Bref si une femme passe par ici : si vous voulez un bon mari, demandez-lui ce qu'il pense de sa mère et des femmes au foyer. S'il dit autre chose que "les femmes au foyer ont un travail difficile et ingras et je suis éternellement reconnaissant aux femmes de le faire" Jetez-le. Même s'il a des sous. Ensuite, observez comment il réagit quand vous effectuer une tâche domestique. S'il se comporte comme si c'était un dû, jetez le. 

          Enfin, s'il regarde du porno, jetez le. 


          1. Avatar de Léonidas Durandal

            Mme Anonyme (vous pourriez au moins conquérir une sorte d’identité, vous affirmer en quelque sorte, en vous donnant au moins un pseudonyme ?),

            on méprisera en permanence nos femmes au foyer, on se moquera de leurs centres d’intérêts et nous n’écouteront pas leurs ressentis au sein de la famille. On leur reprochera de ne pas avoir fait de “grande découvertes” contrairement au 3 pour cent d’hommes
            Les hommes enragent que les femmes aient tant de pouvoir, alors ils se moquent et se mettent à distance de ce que fait leur femme. Parfois. Mais il ne faut pas donner plus d’importance à ça que ça en a.

            “Mme sera prise car le vase aura débordé et il viendra rejoindre vos rangs en vous disant “que sa dure femme l’a quitté pour une parole malheureuse et qu’elle n’a même pas voulu négocier quand elle a dit qu’elle partait”.”
            L’avenir était écrit pour vous, ou pour des gens comme moi. Il ne l’est pas pour des personnes comme Mme QlvdDsf, car elle cherche à avoir prise sur sa vie, au bon moment, quand il n’est pas trop tard. Vous faites trop de projections et trop de généralisations. C’est vrai que les hommes sont emplis de contradictions, et je les traite sur ce blog quand j’en ai l’occasion. Mais au lieu de répondre à des problématiques qui n’ont pas été soulevées ici, vous rajoutez les vôtres, comme une couche de cheddar sur de l’huile. La défiance féministe, vous croyez que ça va arranger les choses ou aider notre monde ? Non. Vous devriez mettre par écrit tous les reproches que vous faites aux hommes incohérents. Vous donneriez pour titre à cet article “Les incohérences masculines dans les relations aux femmes”, et je vous publierai. Ca sera déjà beaucoup plus positif que de figer le monde dans des postures intellectuelles merdiques. Vous pourriez aussi écrire “Comment sélectionner son mari quand on veut rester au foyer.” Ca aussi, ça serait quand même beaucoup plus positif que de jouer à la vieille mégère à chats.

            “Enfin, s’il regarde du porno, jetez le. “

            Autant renoncer à toute relation. J’ai réfléchi sur le sujet ici et ici. Nous avons du chemin à faire en tant qu’hommes. Mais avec des personnes comme vous, c’est impossible car vous n’avez aucune miséricorde. Vous croyez pouvoir réussir une relation comme ça ?

            Trop sincèrement.

            M.D


          2. Avatar de Marie
            Marie

            Vous pouvez m'appelez Déesse Mère si vous le souhaitez. (Je plaisante, appelez-moi Marie, j'aime l'ambiguité du prénom  : Marie Madeleine ? Sainte Marie ? Marie couche toi là ? Marie Sanglante ? Tout à la fois. Très dans le thème). 

            Vous faites trop de projections et trop de généralisations.

            L'hopital qui se fout de la charité. Mais certes, admettons. 

            Mais avec des personnes comme vous, c’est impossible car vous n’avez aucune miséricorde.Vous croyez pouvoir réussir une relation comme ça ?

            Bon comme vous êtes honnete je vais l'etre avec vous aussi :Je ne crois pas que la majorité des femmes soient réellement féministes. Je veux dire par là que les délires de girlboss et de salariat c'est rigolo avant les enfants, ensuite, ça devient lourd. Rares sont celles qui aiment coucher a gauche et à droite.  Mais elles soutiennent quand même le mouvement parce que nous vivons socialement le phénomène que je vous décrit plus haut concernant les hommes et le divorce. La rage féminine a l'état pure. Nous ne sommes plus dans la négociation. La décision de destruction mutuelle est prise. Jusqu'au boutisme féminin absolu. L'utérus  tout déçu de ne pas avoir un oeuf fécondé, qui détruit le beau nid douillet qu'il avait construit.

            Précisément à cause de ceci qui est allé trop loin depuis la Révolution :

            ils se moquent et se mettent à distance de ce que fait leur femme. 

            "Tu n'as pas besoin de mon aide ? Mes centres d'intérêts sont futiles ? Je n'ai rien apporté au monde parce que je n'ai pas inventé un vaccin contre une maladie incurable ? Tu aurais bien réussi sans mon aide ? Eh bien débrouille toi sans,    crevure !"

            Vous avez remarqué comment les féministes sont obsédés par leur menstrues ?  : la fin de la fertilité, le moment où la femme vous dit vos quatre vérités, l'hiver, le moment où les hommes ont peur de nous et nous évitent, généralement indisponibles sexuellement ! Moins jolies qu'en période d'ovulation ! TRès révélateur ! 

            Le message est clair "vous allez respectez la féminité ou on détruit tout". Je ne crois pas du tout que c'est un appel au viol.  Je trouve ça très beau dans un sens, j'en ai limite la larmes à l'oeil. Bien sur tout ça est inconscient pour la plupart des femmes. 

            Vous croyez pouvoir réussir une relation comme ça ?

            Comme dit ailleurs, je parle durement dans mes écrits mais je suis pur mielle dans la vraie vie. Mon mari m'adort et dit qu'il n'a jamais été aussi bien traité par une femme. 

            “Les incohérences masculines dans les relations aux femmes”, et je vous publierai.

            Si vous êtes sérieux je ne suis pas contre ! 

            Lunairement,

            Marie ( Déesse Mère )


          3. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour MArie,

            Dans “nom”, le champ du formulaire dédié au nom, pourriez vous mettre “Marie” à chacun de vos commentaires SVP ? Ou peut-être cela est-il une demande trop patriarcale ?

            Comme dit ailleurs, je parle durement dans mes écrits mais je suis pur mielle dans la vraie vie. Mon mari m’adort et dit qu’il n’a jamais été aussi bien traité par une femme.

            Et pourquoi avez-vous décidé de vous en prendre à moi ? Une sorte de catharsis ? D’où vient cette violence ? La femme parfaite qui se soulage sur les autres ? C’est pas très gentil…

            “Si vous êtes sérieux je ne suis pas contre ! “
            Je suis très sérieux. Par contre, vous m’envoyez le texte sur le formulaire de contact. Et je le publierai s’il est honnête.

            Respectueusement.

            M.D


          4. Avatar de Marie
            Marie

            Je l'ai fait ailleurs, j'ai simplement oublié pour ce premier message. Comprenez, l'émotion de mon baptême tout ça yput ça !

            Parce que vos tendances mysogines m'agacent, tout simplement. N'avons nous pas tous de la violence au fond de nous ? 

            Bon laissez moi rédiger cet article dans ce cas. 


          5. Avatar de Léonidas Durandal

            Chère Marie,

            Je vous laisse après vous avoir fait remarquer que votre propre impolitesse, vous la rejetez sur mon attitude, et ma pseudo misogynie.

            Sincèrement.

            M.D


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "Ce député star se fait HUMILIER en direct sur BFMTV #Redpill " Stéphane Edouard du 04/01/2023.

    Moi je le trouve plutôt habile pour arriver au pouvoir : dans une société féminisée, il n'est pas possible de faire majorité en imposant sa vision masculine…

    Il est pitoyable certes. Mais au moins, il ne surjoue pas la force. C’est un bon départ de prendre en compte ses faiblesses.


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