L’horreur de notre société qui s’attaque à ses propres enfants et cherche à les perturber, eux, qui n’en ont vraiment pas besoin étant donné les modèles familiaux qu’on leur donne :
Têtu dans la salle d’attente, à côté de “sciences et vie junior”
131 réponses à “Têtu dans la salle d’attente, à côté de “sciences et vie junior””
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Pas quand “cela nous arrange”, non.Quand cela est pertinent, simplement. Mais encore faut il discerner ce qui dans l’Ancien Testament a une valeur immuable de ce qui est daté. Et ce n’est pas “mon” discernement que j’utilise pour cela, mais la Tradition d l’Église qui en la matière, a fait ses preuves.Pour le talmud, je suis (aussi) obligé de vous détromper. Car ce livre, dans son troisième traité (Naschim) parle beaucoup d la pureté rituelle d la femme et de sexualité, y compris pédophile du reste. A vomir.Vous pourriez tenter (mais c’est assez difficile, pas impossible) de vous procurer l’édition SONCINO de 1935, la seule complète en langue autre que l’hébreu. Édifiant. Si vous n’étiez pas antimite, soyez sûr que vous le deviendrez après lecture.
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l’Église à laquelle vous faites dire des choses qu’elle ne dit pas et sur un base factuelle historique manifestement fausse, : Lesquelles ?La Bible n’est pas non plus un Code Justinien ni aucun code législatif en général, elle ne peut s’appliquer au pied de la lettreSauf quend les textes vous arrangent, et là vous les pruduisez à tour de braselle ne peut s’appliquer au pied de la lettre et immédiatement, sans discernement ni intelligence des situations.C’est exactement pour cette raison que j’ai fait appel à votre intelligence doublée de votre culture pour comprendre pourquoi la nudité des femmes, le rapport des hommes et femmes étaint traités de manière plutôt précise, notamment dans le lévitique et non les rapports adulte/enfant. En ajoutant qu’à ma connaissance pas plus le talmud que des ouvrages “saints” d’autres religions ne le traite. On ne va pas se fâcher, restons en là. Vous m’avez appris pas mal de chose. Merci
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“”Donc l’église a CREE la bible et détient les clefs de sa compréhension. “”A partir du moment où l’Église a donné la Bible aux Hommes et qu’elle en a fixé le Canon, elle en est logiquement propriétaire ET logiquement celle qui est le mieux à même de l’interpréter.””Vous n’avez rien démontré””http://usatoday30.usatoday.com/news/opinion/forum/2010-06-07-column07_ST_N.htmhttp://www.psywww.com/psyrelig/plante.htmlChiffres, études et noms à l’appui.logique.
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Ce serait faire TRÈS bon marché du fait que la Bible ne se lit pas
comme un coran. La Bible n’est pas non plus un Code Justinien ni aucun code
législatif en général, elle ne peut s’appliquer au pied de la lettre et
immédiatement, sans discernement ni intelligence des situations. Les préceptes
législatifs qu’elle contient avaient une valeur pédagogique, limitée dans le
temps et adressée à une humanité particulière à un stade de compréhension
spécifique, stade que, quand le Christ s’st incarné, elle avait dépassé. Les
Pères de l’Église avaient très bien identifié cette pédagogie progressive de
l’Ancien Testament et très bien expliqué son utilité non seulement par rapport
au nouveau, mais aussi ses différents niveaux d’interprétation, entre ce qui y
était fini et limité et ce qui y avait une valeur bien plus infinie et
éternelle. Tout n’y est pas à lire sur l même plan ni à mettre au même niveau,
et surtout pas selon des clefs et grilles de lecture personnelles (on se
demande au nom de quoi on aurait plus confiance dans des critères individuels
qu’en des critères de réflexion, au discernement et à l’expérience de plusieurs
dizaines de Pères de L’Église et plusieurs centaines de spirituels qui, dans le
temps, l’espace et la culture, étaient bien plus proches du Christ que des gens
bien plus contemporains et individualistes…) ou idéologiques contemporaines. On
risque alors immanquablement le contresens et l’extrapolation. Donc l’erreur. Erreur
que, à votre décharge, vous n’êtes pas le seul à commettre.Après, je n’ai rien contre le fait de critiquer l’Église si on est en désaccord avec son enseignement ou les hommes d’église si on n’accepte pas leur comportement, mais encore faut-il le faire sur une base juste.Or votre critique est fondée sur une méconnaissance de l’enseignement d l’Église à laquelle vous faites dire des choses qu’elle ne dit pas et sur un base factuelle historique manifestement fausse, comme je l’ai démontré au fur et à mesure, noms, dates, lieux sources à l’appui.
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Vous y allez un peu fort docteur. Le mot “pédophilie” est admis par la langue française depuis la fin des années 60. Curieusement à la même époque que la libération de la femme. J’aimerais bien savoir pourquoi ma question semble déchaîner votre hire ?
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Qu’Il ait critiqué le détournement qu’en faisaient les Pharisiens qui étaient pourtant censés la garder, ainsi que leur hypocrisie etleur orgueil hébraiqueEn gros c’est ce que fait le pape François. Ca tombe bien, mon prénom est François !
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La Bible n’est pas plus un livre de sociologie” Comportementale” ? Les chapitres du Lévitique ne contiennent t-ils pas un code de lois traitant des observances religieuses et sociales.En principe, j’essaye de répondre aux questions que je comprends et auxquelles je pense pouvoir apporter une réponse dépendant plus – effectivement – d’un resssenti que d’une évidence que j’aurais accepté. Peut être pour ne pas y avoir encore adhéré (La foi…).Ensuite, je vois mal au nom de quoi on pourrait dire que telle ou telle communauté s’est « inclinée » devant la pédophilie,Si vous interprétez les textes de la même façon que vous le faites avec mes réponses, il y a un problème de communication. Je ne vois pas où j’ai pu dire qu’une communauté s’est inclinée devant la pédophilie. En revanche ma question est toujours la même : La pédophilie est-elle aussi ouvertement condamnée dans les livres que l’abomination du rapport homosexuel. C’est quand même une question simple. Par aileurs, je ne limite pas ma question aux religions du livre si votre expertise va au delà. Alors avant de m’envoyer balader ou de noyer le poisson, si vous le pouvez répondez moi. Vous l’avez fait sans peine en me citant immédiatement les passages correspondant à la condamnation de l’homosexualité par certains apôtres.J’ai démontré plus haut que la pédophilie étaitcertainement bien moins présente dans l’Église que dans les communautés athéesou Juives.Vous n’avez rien démontré, et je vous ai dit qu’en ce qui me concerne la pédophilie dans l’église était un prétexte qu’utilisaient les féministes pour agresser – à travers l’homme/prêtre – le masculin. Ajoutant qu’en ce qui concerne les statistiques, elles étaient certainement plus présente dans le monde hétéro/laïc concernant très majoritairement des petites filles.Maintenant Technik si cela vous contrarie à ce point que je critique maman/église en cette veille de la fête des mères, j’en suis désolé…
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C’est un problème interne qui ne vous concerne pas. Les gens à l’extérieur de l’Eglise troublent le débat, qui est déjà vif à l’intérieur de l’Eglise. En résumé : que vous importe si l’Eglise meure pour s’être effondrée sur elle-même ?
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Jésus n’a jamais contesté la Tradition dans laquelle Il
s’est incarné pour la seule et bonne raison qu’elle provint de Diu et qu’elle
servait de pédagogie au Salut, qu’elle préparait les Hommes à Le recevoir et à
Le reconnaitre. Qu’Il ait critiqué le détournement qu’en faisaient les
Pharisiens qui étaient pourtant censés la garder, ainsi que leur hypocrisie et
leur orgueil hébraique est une autre histoire, mais cela ne signifie pas qu’Il
ait critiqué une « église » qui d surcroit n’existait pas.Le Christ n’est pas un prophète de plus mais LE Fils de
Dieu. Il est Dieu, pas le leader d’une quelconque scte, justement.Matthieu 5,
17 “N’allez pas croire que je sois venu abolir la Loi ou les Prophètes: je
ne suis pas venu abolir, maisaccomplir.
Matthieu 5,
18 Car je vous le dis, en vérité: avant que ne passent le ciel et la terre, pas
un i, pas un point sur l’i,ne passera de la Loi, que tout ne soit
réalisé.Quand Il a discuté avec les Docteurs de
la Loi, ce n’était pas pour contester la Loi, mais pour n annoncer le but,
l’objectif, l’accomplissement, ce qui est très différent, pour montrer que tous
les préceptes législatifs et cérémoniels ont désormais rempli leur fonction et
qu’ils ne sont plus d’actualité, puisque le Christ, par Son incarnation, Sa
mort sur la Croix et Sa Résurrection a concrétisé leur sens, et par Son
enseignement, en a mis en valeur les idéaux de vertu immuables. Le Christ n’a pas
fondé quoi que ce soit de « nouveau », mais a accompli les prophéties
de l’Ancienne Loi et a montré le but de fond des commandements de l’Ancien
Testament, ce qui n’est pas la même chose que de le contester.A force de refuser les clefs de lecture
inséparables du texte et y donner une interprétation toute personnelle selon
des critères modernes et hors-sujet, en croyant que, à soi tout seul, on
incarne mieux la Vérité que des centaines de Pères de l’Église sur plusieurs
siècles, on en arrive fatalement au contresens et à la déformation.La Bible n’est pas plus un livre de sociologie qu’un
livre scientifique. Le problème est que certains veulent à tout prix l’analyser
avec des grilles de lecture complètement inadéquates. Ce qui est une grave
erreur de méthodologie.-Yahweh est un Dieu unique, en Trois Personnes, ce que l’AT
avait décrit de manière métaphorique avec notamment l’épisode du Chênr de
Mambré, et que le Christ a révélé pleinement.Aucun ressenti ensuite, simplement des sources, des
écrits, des témoignages qui en effet, font force de foi quant à l’interprétation
d’un texte qui appartient d’avantage à l’Église qui l’a révélé et légué aux
Hommes qu’à vous-mêmes, désolé. Témoignages patristiques et apologétiqus qui
constituent le fond m^me de l’enseignement et de la pensée de l’Église (toutes
ecclésiologies antiques confondues), dont la connaissance demeure indispensable
pour porter une quelconque appréciation (sinon on risque, comme vous le faites,
d’attribuer à L’Église des pensées et enseignements qu’elle n’a jamais eus) sur
lesquels vous avez pourtant engagé la discussion, mais que vous reniez dès que,
à l’évidence, ils ne disent pas ce que vous voulez leur faire dire, une fois qu’on
peut les produire et démontrer ce qu’ils signifient en réalité (ce que j’ai
fait point par point pour chacune des accusations que vous portiez contre l’Église
et auxquelles vous n’aviez jamais répondu, passant à autre chose justement).Enfin, ldire quee l’Église a fini par se soumettre à la
pédophilie est malhonnête.J’ai démontré plus haut que la pédophilie était
certainement bien moins présente dans l’Église que dans les communautés athées
ou Juives. Il serait bon ou de répondre aux arguments sans passer à autre
chose, ou de s’incliner.Ensuite, je vois mal au nom de quoi on pourrait dire que
telle ou telle communauté s’est « inclinée » devant la pédophilie,
hormis ceux qui, dès le départ, dans leurs enseignements de fond, en font la
promotion (genre Talmud. Ce serait bien que vous embêtiez les cousins d’ailleurs,
pour changer, plutôt que de prononcer un énnième stéréotype envers une Église
et un Christianisme que manifestement vous n’interprétez que de manière très
personnelle au travers de lectures modernes et hâtivement digérées.…
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si on refuse d’enquêter sérieusement sur les facteurs de détection.Je dirais même ou plutôt sur les causes. Mais j’attends votre avis sur la façon dont cette déviance est traité dans les “livres” et si elle l’est. Si elle ne l’est pas, pourquoi ?
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Moi je trouvais notre échange non seulement intéressant mais pour ma part instructif. Je n’ai pas posé de questions sur la pédophilie dans l’église, mais sur l’approche de la pédophilie par les livres saints quels qu’ils soient. (De ce que vous en avez lu et compris et si le sujet est traité, et là je me fie à votre érudition). La pédophilie dans l’église….bof ! C’est l’arbre qui cache la forêt. A mes yeux, c’est le moyen qu’ont trouvé les féministes de brûler des “sorcières de Salem” représentant l’église en réponse à un puritanisme misogyne et coercitif. J’y vois beaucoup plus une méthodologie culpabilisante concernant le masculin (Il n’est traité que de pédophilie masculine). le but ne serait-il pas inscrit dans la démarche selon vous ? (Les hommes sont des…dangereux et viol-ents). Si l’église a servi à la femme à soumettre l’homme en “l’enfermant’ dans un concept (universellement admis) mais très codifié par ses soins, on ne peut ignorer que l’activité tertiaire a permis à la femme de s’émanciper financièrement ; de prendre son indépendance en divorcant et réclamant la garde des enfants qu’elle obtient généralement dans 8 cas sur 10 au motif de la sacralisation de sa fonction maternelle. En gros la femme s’est servie de l’église, n’en a plus besoin et s’en débarrasse en se servant habilement de ce comportement Satanique communément admis de nos jours : La pédophilie. C’est plus qu’une hypothèse (selon moi). Pour ce qui est du ratio hétéro ou homo/pédophile, je suis très réservé. D’ailleurs les agressions sur mineurs sont statistiquement beaucoup plus importantes concernant les filles. Il n’en demeure pas moins que l’église sert depuis très longtemps de “refuge” à de nombreux homosexuels fuyant l’ostracisation de leur orientation sexuelle en choisissant célibat et “chasteté” pour ne pas à avoir à subir une compagne qu’il aurait fallu “honorer”. Les prêtres sont des hommes, leur enfants de coeur des garçons… Un copain prêtre m’a prêté un bouquin très intéressant sur ce sujet, écrit par un curé). Le fait que ce soient les femmes qui se soient emparé de ce phénomène en stigmatisant l’église, alors qu’il s’agit essentiellement de pédophilie masculine – évidemment – ne tient pas du hasard. Entendez vous parler de pédophilie féminine ? :http://affairesfamiliales.wordpress.com/2012/03/22/tabou-la-pedophilie-au-feminin-ca-existe/Je pense qu’il est grand temps de cesser de nous justifier ou de culpabiliser et d’attaquer sur le même terrain, d’autant qu’il y a matière.
J'y t'envoie une lettrinfo par saison
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