Publié le 30 novembre 2013 par Léonidas Durandal à 15 h 22 min
terrestre qui tardera toujours à venir, quand l’enfer de leur société s’imposera progressivement, lui. Chez ce type de personnes, tout est question de libération, d’idéal, d’utopie, de romantisme, d’adolescence, de pulsionnel, jusqu’au jour où l’individu se retrouve plus enfermé que jamais, seul face à des entités qui le dépassent d’autant plus qu’il a été coupé de toute éducation structurante. Les gens de bien ne devraient pas attendre que leur société s’effondre, en croyant naïvement que ceux là s’arrêteront devant le constat de leur échec. Chez les fous, chez les malades, chez ceux qui font le mal, peu importe comment on les nomme, le désastre justifie d’autres désastres, encore plus grands, jusqu’à l’anéantissement total. Il faut être sain pour revenir sur ses erreurs. Par définition, les malades ne le sont pas.
MASOCHISME SOCIAL DES HOMMES FEMINISTES.
1 Négation de leur situation sociale objective.
Ils se disent dominants et sont pourtant assujettis au discours féministe.
Intellectuellement incapables d’autonomie, ils masquent leur servage en domination. Cette auto-flagellation doit certainement leur permettre d’accepter leur culpabilité d’être des hommes tout en confortant une position qu’ils s’imaginent préférable :
« Notre problème c’est qu’on est des mecs. On est superbes, on est fantastiques, puissants et tout…On domine quoi ! »plus loin, ces mêmes hommes féministes dénoncent la « virilité obligatoire » (5)
Contradictions entre ce qu’ils vivent, ce qu’ils voudraient être, ce qu’ils s’imaginent d’eux, ils ne peuvent se concevoir comme dominés par des femmes dont ils sont les jouets depuis leur plus tendre enfance.
Ils se disent non soumis au système de domination patriarcale, mais ils font partie de la bourgeoisie.
Militants féministes de la deuxième vague
Agriculteurs | 0 |
Artisans, commerçants et chefs d’entreprise | 1 |
Cadres et professions intellectuelles supérieures | 22 |
Professions intermédiaires | 6 |
Employés | 1 |
Ouvriers | 1 |
Inactifs | 5 |
Dont Étudiants | 3 |
RMI | 2 |
Total | 36 |
Si le concept de domination patriarcale recouvrait celui de domination des puissances d’argent comment se fait-il qu’il y ait si peu d’ouvriers et d’agriculteurs dans la lutte féministe tandis qu’il n’y aurait tant bourgeois pour la défendre ?
En fait, le combat féministe peut se surajouter au combat d’une caste dominante qui essaie d’imposer au monde sa domination grâce à l’idéologie individualiste. Le combat féministe n’est pas un combat qui s’oppose à une forme de domination. Il est la domination. Celle d’une caste dégénérée qui tente de généraliser ses vices à toutes les autres, et qui a les moyens de sa domination, moyens monétaires et intellectuels.
Mal éduqués, abandonnés par leurs parents, les féministes bourgeois sont persuadés que leur situation est normale. Ils appellent domination patriarcale, la domination objective des femmes dans leur milieu, domination qui a abouti au travail de leurs mères quand elles sont devenues assez folles pour cela, à l’abandon des enfants au sein des foyers, et à une soumission « >
le mari non–croyant est sanctifié par la femme, et la femme non-croyante est sanctifiée par le frère (cor 7.14)
Je ne comprends pas.
« De l’existence de la crise de la masculinité (et pourquoi Francis Dupuis-Déri est à côté de la plaque) », Nos Majorum du 07/02/2019.
« »Gisèle et Béatrice », la BD érotique « féministe » qui charrie les pires clichés sexistes », L’Obs du 05/06/2018.
Il y a longtemps que je ne m’étais pas autant marré.
Un mec met tous ses fantasmes en BD. Du coup, pas d’hommes, ou tous débiles. A l’inverse, deux lesbos dont l’une viole l’autre qui finit par y prendre du plaisir.
En fait, le type voulait produire un truc féministe. Mais il a confondu ses pulsions sexuelles et son idéologie. Ou bien, il s’est sacrément bien fichu de la gueule de son éditeur. Résultat : un bon scénario de porno soft bien antiféministe (dommage que ce soit par défaut).
« Raphaël Liogier, mâle bêta : « Tant d’hommes sont sexistes sans même s’en rendre compte » », ER du 05/05/2018.
L’une des très nombreuses contradictions de Raphaël Logier à la fin de cet article dans la dernière vidéo :
Il défend la libre expression du désir des femmes. En même temps, il demande une rééducation du désir des garçons dès la petite école. Les unes ont le droit de désirer. Les autres doivent être brimés dans leur désir. En fait, le type n’est pas indépendant psychiquement de sa mère. Il est toujours sous son influence symbolique, et il vient nous parler de domination masculine…
« La domination masculine, plus longue injustice de l’histoire humaine », L’Obs du 08/03/2018.
« #MeToo, #BalanceTonPorc… Les hommes se cherchent encore » L’Obs du 10/02/2018.
Les hommes féministes se cherchent encore et toujours, pas les hommes, ou en tout cas, pas dans cette direction pitoyable.
« Réaliser qu’on est un privilégié »
Esclavagistes.
http://plaisirdoffrir.blogs.marieclaire.fr/archive/2007/06/23/l-homme-hystérique.html
J’ai trouvé cet article très intéressant.
C’est vrai qu’il l’est.
Des fois, avec les psys, je me demande quand même si nous ne sommes pas tous fous, et si la normalité n’est pas l’exception. Par exemple dans cet article : l’homme hystérique trouve parfois une femme hystérique, et ils sont heureux. Mais que demander de plus ?
Pour parler plus précisément, je ne crois pas que cette définition de l’homme hystérique recoupe celle de l’homme féministe. L’homme hystérique n’est pas vraiment convaincu de son féminisme. Tandis qu’à mon avis, beaucoup d’hommes féministes sont convaincus de l’être, et certains méritent même qu’on leur fasse crédit de leur croyance, sans pour autant les ranger dans la catégorie des malades psychiatriques. A l’identique, nous avons des femmes féministes réellement malades, et d’autres convaincues, quand bien même, le féminisme devrait être défini, à mon avis, comme une maladie sociale.
« Au NON des femmes : la parole des femmes harcelées et agressées s’organise », L’Obs du 30/10/2017.
Le chevalier maman a encore frappé. Il a demandé à sa mère, à sa femme, à sa copine (sic) et il a pris la décision de sauver les femmes des affreux hommes qui ne lui ressemblent pas.
« Cantat-Trintignant: « Au nom de Marie », ELLE répond à l' »obscène » Une des Inrocks », L’Express du 17/10/2017.
Là où le progressisme coince. Cette idéologie a besoin des hommes qui ont du talent pour faire sa promotion, et puis dans la réalité, ces hommes ne sont que de fausses idoles. Du coup le féminisme doit manger les donneurs de leçons qui ont assuré sa promotion. Très amusant ce mouvement d’auto-cannibalisme.