Le handicap public des femmes

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L’incident qui vient d’arriver au FN sur la question de l’esclavage est parfaitement symptomatique de femmes qui ont une conception de la politique inférieure à celle des hommes. De surcroît, le degré d’excellence exigé en ce domaine ne leur laissera jamais aucune chance de s’épanouir pleinement dans leurs différences intrinsèques. Car au moment crucial d’agir pour le meilleur, elles auront souvent tendance à dévoyer le sens de la gouvernance en gérant les affaires publiques comme des rapports personnels. Si les Français de plus en plus féminisés, trouvent cela normal, la situation de la France n’est pas prête à s’améliorer. Cet état d’esprit inopérant ne peut présider de manière durable à nos destinées sans engendrer son lot de conséquences néfastes : suicides, dépressions, tribalisation.

Rappel des faits.

Franck Briffaut, maire FN nouvellement élu à la mairie de Villers-Cotterêts décide de ne pas participer à la commémoration de l’esclavage prévue le 10 mai 2014 sur sa commune et ceci afin de ne pas alimenter la sur-culpabilisation mémorielle actuelle du peuple français (1).
Tollé général dans l’opposition, et on le comprend. On ne peut attendre de la tendresse de ses ennemis politiques. BriffaultLà où le bât blesse c’est lorsque dans son propre camp, les femmes de son parti dénoncent la manière dont il a communiqué sur l’événement. Marion Maréchal-Le Pen s’exprime ainsi le 12 mai sur I-télé : « Personnellement, je vous le dis, je trouve que ce qu’il a fait est stupide. À la limite, c’est plus intelligent de faire un discours politique intelligent lors d’une commémoration plutôt que de susciter ce genre de polémique. (…) D’ailleurs il ne remet pas en cause l’existence-même de l’esclavage. »
De son côté, Marine Le Pen déclare dimanche sur BFM TV que Franck Briffaut aurait dû se servir de cette manifestation pour « dénoncer l’esclavage actuel » pratiqué au Qatar : « Le président de la République s’honorerait à rompre les relations avec le Qatar, petit pays par la superficie mais grand pays par l’esclavage ». Revenant à Franck Briffaut, elle note toutefois qu’« il n’a pas interdit la commémoration, il n’a pas voulu y participer ».

L’intelligence féminine au service d’une cause dévoyée.

Je suis assez admiratif de ce pouvoir des femmes d’arrondir les angles, même pour faire passer les idées les plus difficiles à accepter. Cet art a pour objet de consolider les liens familiaux et appliqué dans l’intime, il est payant : on peut se dire les choses sans trop de heurts. On ménage les susceptibilités. On respecte les cœurs.
Seulement nous ne sommes pas dans un cadre familial mais dans un cadre public. Or dans ce cadre, cette façon d’arrondir les angles devient vite évanescence. Elle dilue le message jusqu’à ce qu’il n’en reste plus rien. Elle participe au politiquement correct typiquement féminin que nous connaissons actuellement. En effet depuis que le droit de vote des femmes majoritaire s’est imposé dans notre pays, il a fallu composer en politique (10). Se montrer trop agressif est juste devenu intolérable. Faire preuve de violence, carrément inacceptable. Et toutes les manières de diriger des hommes sont progressivement passées à la trappe. Or, pour guider un pays, il faut parfois marquer des coups d’arrêt et ne pas prendre de pincettes. Seuls des hommes peuvent comprendre et accepter ce genre de démarche sans verser dans la lutte affective.

Franck Briffaut a eu raison dans le fond.

On ne peut perpétuellement commémorer l’esclavage, le meurtre de nos cultures régionales, la répression sur les pauvres, le génocide chouan et toutes les autres erreurs politiques que nos ancêtres ont commises. Sauf à vouloir périr. Si notre pays reste le nez dans ses erreurs, envers et contre toute raison, il faut y voir le fait qu’il ne s’est pas pardonné, et que dans ce cadre il devient incapable d’avancer. Il faut avoir une haine sans mesure pour s’imposer ou imposer aux autres de se remémorer perpétuellement ses erreurs sans jamais célébrer ses victoires. Pour stopper ce mouvement négatif, il fallait donc faire signe.

Si dans le fond, Franck Briffaut a eu raison, il a également eu raison sur la forme.

Oui il aurait été important de rappeler que des pays comme le Quatar pratiquent encore l’esclavage, que notre société même met en esclavage une main d’oeuvre bon marché étrangère attirée par une espérance artificieuse, mais il était plus important encore de marquer un coup d’arrêt à la pornographie mémorielle. Ce n’était pas une démarche stupide comme le dit Marion Maréchal, mais un acte courageux pour le bien de notre société. Or désormais, le doute s’est insinué. Non soutenue, la décision de M Briffaut a été étudiée, décortiquée et tous ses aspects troublants sont apparus de manière disproportionnée laissant place à la peur. Il est vrai que le simple calcul politicien pousse souvent à taire la vérité et à éviter toute erreur de stratégie. D’où une absence de prise de risque. Cependant une société n’avance pas sans prendre quelques mises en danger ou sans faire quelques erreurs. Le refus de faire des erreurs et de prendre ces risques est typiquement d’esprit féminin. Soumis globalement à cet esprit, nous nous arrêtons alors de vivre pour nous enfoncer dans la terreur. Voilà pourquoi notre société végète, incapable de se réformer. Nous préservons les susceptibilités, nous ménageons un système vérolé de partout et qui se vérole d’autant plus que nous devenons incapables de nous donner les moyens de sa critique. Au contraire, nous organisons la contradiction de l’opposition dans la forme sans bien réfléchir au fond de la critique elle-même. Tout cela pour éviter de discuter de nos fins. Déloyaux, les partenaires chargés de se soutenir mutuellement, détruisent la confiance qu’ils devraient se porter les uns les autres, et ceci afin de “garder le contrôle”.

A son époque, la provocation perpétuelle d’un M Le Pen quand il était président du FN avait un sens qui a échappé au commun : il ne s’agissait pas de fuir le pouvoir comme on le lui a trop souvent reproché, mais de faire avancer le seul combat qui pouvait être mené : celui contre l’inertie intellectuelle. M Le Pen savait trop bien qu’il n’arriverait jamais au pouvoir dans de bonnes conditions, non parce qu’il ne le voulut point, mais parce que son pays n’était pas prêt à l’accueillir. Il le servit donc à la mesure de ses moyens : en le faisant réfléchir. L’accointance de M Dieudonné et de M Le Pen n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard. Derrière les masques, ces deux hommes cherchent encore à faire avancer la vérité, non par ambition, mais par esprit d’abnégation. Ainsi ces deux hommes servent-ils la France plus que toutes ces femmes qui veulent conquérir le pouvoir en croyant qu’il ne faut pas se sacrifier pour cela mais qu’il faut duper les perceptions.

Un des dilemmes pour les femmes qui réussissent.

Dans un monde odieux, on ne comprend même plus le sacrifice, on le hait, on le pousse jusqu’au bout, jusqu’à écarter un homme qui conviendrait à notre pays seulement parce qu’il dit trop ce qu’on aurait besoin d’entendre. Les femmes réussissent publiquement dans des pays qui sont assez féminisés pour l’accepter. Tout comme les hommes politiques féminisés. Et ces femmes elles-mêmes arrivées au pouvoir, contribuent à renforcer cet état d’esprit médiocre qui fait de la critique un jeu d’attaques personnelles. Dans les périodes de prospérité, cette forfaiture peut passer inaperçue. Mais dans les situations historiques tendues, le retour des hommes devient impérieux. De leur propre fait, les femmes (comme Jeanne d’Arc) en viennent alors à favoriser ce retour des hommes et à reculer temporairement sur la défense de leurs intérêts. On ne peut comprendre l’apparition systématique de quelques Général De Gaulle dans l’histoire de France sans percevoir ce trait culturel de notre Nation. Or, pour sa propre quiétude, il serait préférable que notre pays sorte de cette oscillation entre féminisation-sauveur masculin et ceci afin de se soulager de ce genre de tensions inutiles. Nous le ferons en acceptant la place de chaque sexe au sein de notre Nation. Car je pense que la France subira encore et toujours ces fortes crises absurdes qui l’épuiseront jusqu’à la corde tant qu’elle ne clarifiera pas le rôle des hommes et des femmes en son sein.

Une cascade d’échecs publics au féminin cette semaine :

  • Ségolène Royal met en difficulté un gouvernement fragile et nouvellement nommé auquel elle appartient. segoleneMme Royal, c’est un peu la femme qui voudrait pouvoir agir comme un homme tout en restant une femme. Car elle a très bien senti qu’il lui faudrait se comporter comme un homme pour réussir. Elle est un peu à l’image d’une Margareth Tatcher. Cependant comme de nombreuses femmes qui cherchent à se comporter comme tel, elle n’arrive pas à trouver la juste mesure. Trop autoritaire, trop émotionnelle, ou trop phallique, on se demande si elle réussira un jour à trouver le ton juste. Dernièrement et après juste un mois d’exercice du pouvoir au gouvernement, elle accuse ses collègues d’être machos (3) quand elle ne les contredit pas (2). Souvent les féministes affirment que les femmes politiques ne sont pas jugées de manière équitable, qu’on dit d’elles qu’elles sont « trop ceci ou trop cela » sans raison. Jamais elles n’envisagent que la politique, tout comme d’autres milieux masculins, sont des secteurs où la concurrence avec les hommes accentue le moindre de leur défaut. Et pourtant… Si on ne peut nier que Mme Royal est animée de bonnes intentions, que de maladresses en quelques jours d’exercice du pouvoir. Si elle continue ainsi, non seulement elle est certaine d’échouer, mais elle emportera avec elle le reste du gouvernement. Nous voilà revenus 25 ans en arrière quand Edith Cresson fut premier ministre de la France et que celle-ci, choisie pour des questions d’affinité sentimentale par un homme faible, sema le désordre dans son sillage. Elle dut être débarquée illico presto. Encore ici, l’histoire semble se répéter.

 

  • Anne Lauvergnon accusée du marasme d’Aréva refuse de reconnaître des erreurs de gestion gigantesques. LauvergnonEpinglée par la cours des comptes pour une gestion hasardeuse d’une industrie en plein essor (5), Anne Lauvergnon s’enferme dans le déni (4). On lui retrouve les mêmes défauts qu’à toutes ces nombreuses femmes qui ont réussi : style autocratique, échec dans les prises de risques, dépenses mal calculées. A l’époque, elle doit être débarquée manu militari d’Aréva et elle provoque le scandale en refusant cette décision. Son bilan est calamiteux mais elle croit pouvoir rester en poste grâce à son réseau et au fait qu’elle soit la seule femme à la tête d’une entreprise du Cac 40. Il faut dire qu’à force de placer des gens pour leur image de marque, il ne faut pas s’étonner que ceux-là ne comprennent même plus la notion de compétence, de résultat ou de réussite. Or Anne Lauvergnon est une championne de la discrimination positive dont elle a bénéficié. Car au risque de verser dans le sexisme de manière outrancière, elle n’a pas hésité à défendre publiquement, l’embauche préférentielle d’une femme, soit tout sauf le « mâle blanc » (6).

 

  • Nathalie Nougayrède licenciée du journal « Le Monde », un échec annoncé, une ambiance de travail étouffante (7).

FRANCE-MEDIA-NOUGAYREDEElle aura tenu 15 mois. Entre-temps 7 de ses 11 plus proches collaborateurs auront démissionné. C’est un peu comme Mme Taubira. L’entourage de travail ne tient pas le coup. Mais tout cela, c’est à cause des hommes…

 

 

  • Anne Baldassari révoquée du musée Picasso après 5 années de troubles (11), une mesure rare.
    baldassari

Les raisons invoquées pour son licenciement parlent d’elles-mêmes :
« Alerté par ses services et par la médecine de prévention sur la crise que traverse le Musée Picasso, a missionné l’inspection générale des affaires culturelles pour porter un diagnostic objectif sur la situation sociale de cet établissement. Les conclusions du rapport de l’IGAC font apparaître un climat de travail extrêmement dégradé, une profonde souffrance au travail et une atmosphère anxiogène mettant en danger les agents. »

 

 

  • Jill Abramson, patronne du New-York Time éjectée pour incompétence. AbramsonUn sans précédent. On lui reprochait aussi “ses manières intimidantes, condescendantes et “brusques jusqu’à la grossièreté”, selon la radio NPR. (12) Ajouter à cela qu’elle était chargé de développer la version numérique du New York Time mais qu’elle ne voulait pas développer le secteur vidéo (!). Le Point suggérerait quant à lui une ambiance sexiste au New York Time. Un peu facile… (l’article en question n’est pas signé).

 

  • Cette semaine aura vu également Mme Taubira être remise en question sur le fait taubiraqu’elle n’ait pas chanté la Marseillaise durant une commémoration… quand on sème la défiance en favorisant les unions homosexuelles, il ne faut pas s’étonner du retour de bâton.

 

 

Tant que les femmes s’obstineront à contester les hommes dans leurs fonctions, ce pays avancera moins bien et moins vite qu’un autre. Les femmes ne prennent pas que la place des hommes, elles veulent naturellement prendre toute la place. Elles gèrent leurs affaires à la manière d’une mère. Et dès lors, elles mènent tout mal : et leur métier, et leur vie familiale. Agissant de manière inappropriée, elles entraînent collectivement et dans leur sillage des institutions entières qui finissent par s’effondrer (instruction publique, milieu médical, justice, politique, presse…). Qu’elles veuillent travailler dans des secteurs par affinité, tant mieux. Mais il faudra qu’elles acceptent alors une vraie concurrence et non des relations personnelles faites de solidarité tribale/féminine. Il faudra aussi qu’elles acceptent les relations de sujétion et de solidarité avec les hommes, même si cela ne leur est pas naturel.

Les hommes ne pourront pas et ne voudront jamais remplacer les femmes.

Notre pays s’est permis d’écraser les garçons pour mettre à leur place des femmes (8). Et aujourd’hui, on voudrait que ceux-là se comportent en femmes pour pallier aux lacunes de ces demoiselles (9). Voilà ce qu’on pourrait nommer un retournement, un monde qui marche à l’envers, qui nie les individualités, assis sur la bassesse et l’inadéquation. En tant qu’hommes, nous n’avons jamais contesté l’importance que les femmes avaient en tant que mères. Qu’elles veuillent prendre nos places publiques en se croyant plus fortes que nous mais en se révélant d’autant plus incompétentes et dangereuses n’est pas acceptable. Cette position politique absurde des femmes représentées par quelques féministes est un appel pur à la violence auquel nous devons répondre en tant qu’hommes, notamment par ce genre de dénonciation équivoque et argumentée.

1 « Boycott de la commémoration de l’esclavage : le maire de Villers-Cotterêts lâché par Marion Maréchal », NDF du 14/05/2014.

2 « Alstom : Ségolène Royal prend le contre-pieds d’Arnaud Montebourg et soutient GE », Les Echos du 14/05/2014.

3 « Ségolène Royal tacle le gouvernement : « des machos sûrs de leur bon droit. » », Les échos du 14/05/2014.

4 « Anne Lauvergnon revendique son bilan à la tête d’Areva », Les Echos du 14/05/2014.

5 « Areva : le bilan au vitriol des années Lauvergnon. », Le Monde du 13/05/2014.

6 « Tout sauf le mâle blanc : Anne Lauvergnon, une délinquante à la tête d’Aréva », 24/10/2009.

7 « Le Monde une fois de plus à la recherche d’un nouveau directeur », Les Echos du 14/05/2014.

8 « La guerre contre les garçons, partie 2 », Aimeles du 10/07/2012.

9 « Election de Conchita Wurst : la victoire du laid et de l’intolérance », Aimeles du 14/05/2014/

10 « Un homme ne peut survivre en démocratie », Aimeles de mars 2014.

11 “Musée Picasso : Aurélie Filippetti révoque Anne Baldassari”, Le Monde du 15/05/2014.

12 “Jill Abramson, la prêtresse du New-York Time déchue”, Le Point du 15/05/2014.

162 réponses à “Le handicap public des femmes”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Arevashima : fiasco industriel et magouilles en tout genre.” Philippe Alin du 28/02/2015

    “L’égalité sera atteinte quand des femmes incompétentes seront nommées à des postes à responsabilité”. Françoise Giroud 1983.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Une équipe sans leader serait plus performante”, Cadremploi du 30/01/2015.

    Quand on en arrive à un tel déni de réalité, quand toute la société souffre d’un manque d’autorité au niveau politique, que tout le monde le reconnaît de droite à gauche (le mondialisme gouverne !), et qu’on puisse arriver à une telle conclusion, il y a un gros souci intellectuel culturel en matière de conclusion.


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Je me permet juste une petit traduction du titre:

      Les femmes prennent plus facilement le pouvoir dans une équipe sans leader désigné.


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        En plus, je suis un idiot complet, j’aurais dû aller regarder les articles en liens avant de transmettre comme l’a fait également le Figaro :

        En fait, les deux références renvoient au même lien… Coquille de la journaliste dont l’intelligence individuelle semble avoir eu un accroc. Mais pas seulement. L’étude mentionne que le niveau des groupes est meilleur avec des femmes, que l’intelligence collective y est supérieure. Cela ne veut pas dire que l’intelligence d’un individu ne puisse pas être supérieure à l’intelligence moyenne de ce groupe.
        Pour donner une exemple : ce n’est pas un groupe qui fait de grandes découvertes, mais tout le temps un chercheur au-dessus de la moyenne. Le niveau de tels groupes sans leader est généralement médiocre comme en démocratie : la décision collective devient une moyenne de ce qui peut être décidée. Pas de décisions géniales, pas de décisions catastrophiques non plus, c’est vrai. Une décision moyenne, féminine effectivement.
        Pire, ici dans l’article scientifique, il s’agit plus de capacité d’empathie propre à faire fonctionner le groupe que d’efficacité réelle. En somme, cet article renvoie à ce que nos chères féministes appelleraient des “stéréotypes de genre”. En ce qui me concerne, il vient plutôt de définir un archétype féminin de bon sens.


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Transferts de commentaires d’articles supprimé du 11/05/2012 “Les femmes plus compétentes que les hommes en politique et en business?” :

    À son émission d’aujourd’hui sur les ondes de 98.5 FM, Isabelle Maréchal a demandé si les femmes sont plus compétentes que les hommes en affaires et en politique.

    Certains auditeurs ont appelé pour dire, entre autres, que les femmes sont plus honnêtes que les hommes, qu’elles n’ont pas le sens de l’honneur à la même place que les hommes, qu’elles n’ont pas le côté pécuniaire aussi fort que chez les hommes, qu’elles font preuve de plus de transparence, et blablabla.
    —————————————————-> lire la suite ici.

     

    Léonidas Durandal
    aimeles.over-blog.com/
    Envoyé le 11/05/2012 à 0 h 58 min

    http://www.lepoint.fr/politique/valerie-trierweiler-regle-ses-comptes-avec-julien-dray-11-05-2012-1460345_20.php

     

    kasimar
    Envoyé le 11/05/2012 à 3 h 13 min

    Bonsoir monsieur Durandal, une petite nouvelle qui sonne comme un bon début dans la justice pour les hommes

     

    Léonidas Durandal
    aimeles.over-blog.com/
    Envoyé le 06/11/2012 à 9 h 46 min

    M Lagardère : “Mme Treiweiller ne nous a apporté que des ennuis.”

     

    Voila.fr du 06/11/2012

     

    Léonidas Durandal
    Envoyé le 01/11/2013 à 1 h 42 min

    Et maintenant, les femmes sont plus compétentes médicalement. Voilà plutôt pourquoi ce métier n’a jamais été autant pitoyable qu’à notre époque :

     

    Figaro 30/10/2013

     

    Léonidas Durandal
    Envoyé le 02/03/2014 à 8 h 01 min

    LEs femmes se déchirent sur Paris. NKM débarque une autre femme dans le 2éme qui ne s’était pas comportée de manière loyale avant même les élections : Figaro 28/02/2014


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Ces préjugés sexistes qui pénalisent les jeunes filles dans leurs études”, Figaro étudiant agence AFP, du 16/01/2015

    Ces préjugés… ou cette affreuse réalité. Pensons simplement aux jeu d’échecs où quoi qu’il arrive, il y a 1 femme pour 10 hommes à haut niveau. Pourtant le jeu d’échec c’est le libre et sans racisme ni préjugé…


    1. Avatar de Lou
      Lou

      Pensez-vous que la faiblesse intellecuel des Noirs est aussi un fait biologique ?


      1. Avatar de Léonidas Durandal

        La brutalité de votre question m’a beaucoup fait rire. Vous aimez ce qui secoue ?
        Pour vous répondre, je ne crois pas qu’il faille distinguer “biologie” et “culture”. C’est un raisonnement qui n’a aucun sens.
        Pour aller plus loin, je pense que le terme de « faiblesse » induit un jugement moral que je ne ferai pas. Selon les études auxquels vous faites allusion, le blanc serait plus faible que le jaune. Déjà il faudrait distinguer les individus et les ethnies. Mais soit, il s’agit d’études scientifiques. Donc ce que je crois n’a pas beaucoup d’importance. Admettons qu’en matière d’intelligence logique, ce classement soit vrai. Il n’en reste pas moins que l’intelligence logique n’est qu’un des nombreux aspects de l’intelligence, qui s’étend au toucher, aux émotions, aux relations sociales… Pour avoir un vrai indicateur, il faudrait prendre en compte tous ces facteurs.
        Enfin, je crois qu’il est toujours préférable de se regarder soi-même avant d’aller voir les autres. Je pense même que c’est une condition très importante pour voir l’autre de manière plus perspicace : avec toute notre intelligence, nous avons construit un monde d’isolement, où les relations sociales sont quasi-nulles voire négatives, de familles détruites et de nature appauvrie.
        Il est beaucoup plus important de voir le monde tel qu’il est plutôt que de vouloir dominer. Ainsi quand je parle de handicap public des femmes, il s’agit pour moi de différences qu’il faut prendre en compte, pas de nourrir des égos et savoir qui pisse le plus loin. C’est de l’intelligence logique pure que notre gros cerveau d’homme, plus gros que celui des femmes (en moyenne) sait utiliser. Est-ce à dire que ces questions de logique sont capables de résoudre tous les problèmes, je ne le crois pas. Voyez notre discussion, à quel point il m’a fallu manquer de tact pour répondre à une question seulement scientifique. L’homme est plus complexe qu’un simple calcul. Il se positionne d’un point de vue, il lui manquera toujours un autre point de vue, féminin, sensible, ou autre. La différence est dure à intégrer si bien que des mouvements comme le féminisme, sont tentés de la rejeter entièrement.


        1. Avatar de Lou
          Lou

          Non, pas nécessairement, je me suis dit que c’est le genre de question qui reste hautement politiquement incorrecte peu importe la façon dont elle est tournée. Il s’agit d’études scientifiques certes mais contredites par pas mal de chercheurs. Enfin tout cela pour dire que dans l’ensemble je suis d’accord avec vous. Mais en fait j’ai un peu du mal avec les études du genre “tel ou tel groupe d’individus est prédisposé pour tels ou tels choses parce qu’il arrive fréquemment que ce soit ^pour justifier une domination ou déresponsabiliser les gens . Du genre “les “femmes sont très sensibles, pardonnons leurs crises d’hystéries” ou “envahissons tel ou tel pays parce que leurs habitants sont stupides et ont besoin de nos lumières”. Et aussi parce que la moyenne ne fait pas l’individu. Il arrive qu’une femme peut avoir un esprit analytique. Peut être parce que son cerveau est anormalement gros j’en sais rien et très honnêtement je m’en fiche mais l’idée qu’elle ne puisse pas mettre en avant ses compétences me semble injuste. Et vous allez me dire que je réfléchis comme une femme qui voit toujours le particulier et jamais le grand plan mais si on a cette façon de voire les choses, c’est qu’elle doit avoir une utilité.


          1. Avatar de Léonidas Durandal

            Elle a une utilité dans bien des domaines, mais elle peut aussi servir un pouvoir totalitaire.


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “Pourquoi les entreprises dirigées par les femmes marchent mieux ?” Figaro Madame, Pauline Verduzier du 13/01/2015

    Ou plutôt comment les femmes réussissent à parasiter les start up exclusivement masculines et qui réussissent…


  6. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Une femme ingénieur reprend le travail, retombe en dépression et assassine ses deux enfants :


    Article du Sud-ouest du 30/11/2012


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      C’est exactement ce que je faisais remarquer à Alexandre. C’est plus dans les milieux comme l’ingénierie entre autre, que psychiquement certaines femmes tendent à être instables.
      Ceci est un cas concret. Celà dit, restons prudent quand aux éventuels amalgames ce qui donnerait du grain à moudre à nos ennemis les plus acharnés.


  7. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “La galère d’être belle”, Figaro Madame du 28/11/2014, Pauline Verduzier

    Incroyable, Pauline Verduzier a failli faire un bon article. Elle s’est seulement prise le trottoir féministe juste à la fin.

    Eh oui, la beauté d’une femme est un pouvoir et une malédiction. Et sur le lieu de travail cela perturbe grandement le fonctionnement d’une entreprise.


  8. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    “La conjuration des égales, ou plutôt des ego”, Christian Vanneste, NDF.fr du 25/11/2014.


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