Autopsie du féminisme dans nos journaux français

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Nos journaux français sont-ils féministes ? Cette question pourrait paraître ridicule à n’importe quel lecteur un tant soit peu averti. Cependant, devant les plaintes des premières concernées qui se jugent maltraitées par le système et pour moi même constater l’étendue du problème, je me suis demandé comment faire pour évaluer objectivement l’influence des réseaux féministes dans les médias numériques. Pour ce faire, j’ai mis en œuvre une démarche un peu plus scientifique que la simple « impression ». J‘ai tout d’abord repéré la présence du mot « féminisme » dans chacun des moteurs de recherche du Figaro, du Point, du Nouvel Observateur, de Rue89, du Monde , de l’Express.

Importance.

Premièrement, malgré la difficulté à obtenir un résultat juste à cause du mauvais fonctionnement des moteurs de recherche internes, j’ai trouvé un nombre très important d’articles consacrés au féminisme. En particulier après 2012. Il ne faut pas interpréter le manque d’efficacité des moteurs de recherches des journaux numériques comme une volonté délibérée de leur part de masquer l’information. Pour bien cerner leurs lacunes, il faut comprendre que les journaux sur internet existent depuis peu, que la culture journalistique sur ce genre de support est très récente, que le modèle de rentabilité sur le web se cherche encore et que leurs systèmes d’information ne sont ni stables ni efficients pour des raisons de culture, d’incompétence ou de choix stratégiques. Seul le moteur de recherche du Monde m’a semblé fiable malgré quelques doublons (qui surchargent les recherches mais les rendent plus exhaustives). Pour vous donner une idée de l’ampleur du phénomène féministe, ce dernier m’a listé 3 982 articles du 1er janvier 2000 au 20 octobre 2014. Soit un rythme d’au moins 1 article par jour ouvré sur le sujet spécifique du féminisme depuis 15 ans. Face à ce tsunami d’informations, je suis remonté seulement 1an en arrière pour ce journal.

Si j’ai rapidement pu constater l’importance du nombre d’articles consacré au féminisme, cela ne me disait rien sur le positionnement idéologique de ceux-là. Pour le déterminer, j’ai analysé plus précisément la pensée développée dans les articles en question (ce que j’ai appelé taux de féminisme), le nombre d’auteur qui ne sont pas féministes étant quasi-nul (j’en ai croisé 2 ou 3). Pour ne pas les stigmatiser, j’ai refusé de faire apparaître leur production. Quant aux articles carrément antiféministes, c’est plus facile, je n’en ai pas trouvé.

 

Conséquences

Qu’ils soient donc jugés de droite ou de gauche, tous les journaux actuels sont remplis de journalistes pro-féministes qui développent spécifiquement ce thème dans des articles particuliers mais aussi probablement, dans tous les autres articles qu’ils peuvent écrire sur d’autres thèmes. Dans ces conditions, vous imaginez combien une telle possibilité offre les moyens de développer une tyrannie idéologique sans conteste. Par exemple, il est facile pour l’auteur féministe d’user d’ostracisme envers le moindre contestataire. Car tête qui dépassera se retrouvera certainement bien seule. Or, comme tout à chacun le sait, la possibilité d’abuser d’un pouvoir, mène à l’abus de pouvoir, en particulier quand une personne sans morale en a l’occasion. S’il faut en donner un exemple pratique, prenons les campagnes de stigmatisation d’hommes politiques qui ont été menées dans l’indifférence générale au moindre petit dérapage d’un de ceux-là (www.macholand.fr, L’affaire du stylo). Ces femmes qui les organisent (car ce sont majoritairement des femmes qui agissent en ce sens) réussissent à donner l’impression que le sexisme est un problème majeur, tandis qu’en réalité, elles le confondent avec les différences de culture sexuée. Loin d’être des victimes, elles détiennent le pouvoir et s’en servent pour monter en exergue des cas isolés qui ne concernent pas la défense des droits des femmes à proprement parlé. Le moindre comportement suspect est alors traqué, dénoncé, et sert d’exemple pour tous ceux qui oseraient dire des banalités coupables sur les hommes et les femmes. La liberté de s’exprimer en est réduite à peau de chagrin. Une phrase sur le physique d’une femme, devient le signe d’un système d’oppression patriarcal, tandis que la-dite phrase est souvent le fait d’un homme perméable au beau sexe et que cette personne s’est seulement imaginée s’amuser de nos différences sexuées. Le pouvoir féministe peut alors se poser en victime et alimenter ainsi sa puissance dans notre société. Les hommes politiques ostracisés n’ont alors de choix qu’entre se taire ou bien se taire et faire profil bas.

Dans le même ordre d’idée totalitaire, une publicité qui voudrait jouer sur les stéréotypes de sexes au second degré, sera automatiquement jugée sexiste (exemple avec Virginie Sassoon, France Culture). Quant à ceux qui voudront s’attaquer à cette chape de plomb, ils seront effectivement marginalisés (exemple avec Le Nouvel Observateur).

La nouvelle génération, plus intelligente ?

La position dominante des féministes leur sert de monopole. Et ce monopole dicte son pouvoir informationnel et éducationnel à la société. Loin de se détendre depuis qu’elles ont étendu leur pouvoir, les nouvelles arrivantes sont encore plus acharnées que leurs aînées. Elles ont été formées à la plainte et la moindre différence est vécue pour elles comme une agression caractérisée. Surtout qu’elles n’ont jamais eu d’enfants. Alors quand elles arrivent avec leurs idées préconçues…

 

L’exemple d’un journal qui devrait relativiser le féminisme : Le Figaro.

Ainsi, un journal de centre droit comme le Figaro Madame, n’accueille pas les nouvelles contestataires antiféministes féminines qui pourraient renouveler nos perspectives idéologiques en France après le marasme post soixante huitard, mais au contraire, leurs responsables recrutent des stagiaires, à la pointe de la doctrine puritaine qui nous vient des pays anglo-saxons (exemple du contrat de consentement à l’acte sexuel). Etre à la pointe de la mode féministe, quel qu’ait pu être le bilan des erreurs passées, est le seul objectif de ces demoiselles. Incapables de s’interroger sur les valeurs qu’elles ont reçues à sciences po ou dans leur école de journalisme, elles n’ont pas les cadres d’analyse scientifiques qui leur permettraient de relativiser leurs présupposés (surtout quand des articles de loi comme le n°16 de la dernière loi égalité de Mme Najat Vallaud, se fait un devoir de leur enseigner la bonne parole de manière systématique dans leurs centres de formation, dans le cas improbable où elles auraient échappé au bourrage de crâne avant). Pour elles, la déconstruction des identités sexuées des femmes et des hommes est naturelle. Or si elles déconstruisent tout, elles ne déconstruisent jamais les dogmes qu’elles ont reçus, signe évident d’une absence de réflexion au sens étymologique du terme. Sans culture, impossible d’exercer sa liberté. On leur a dit que leur culture sexuée, c’était le mal, elles ont perdu les moyens de revenir sur leur vécu.

 

Quant au journal lui-même, il joue un jeu dangereux. Il alimente la polémique en nourrissant l’absence de contradiction à l’idéologie féministe, pour faire de l’audience auprès de son public en le vexant tout en désirant gagner des parts de marché auprès de lecteurs féministes de centre gauche déjà convaincus mais qui ne le liraient pas encore. A n’en pas douter, ce genre de démarche peu morale, cantonnée au Figaro Madame par soucis de distanciation, permet la formation d’une nouvelle génération de harpies qui pourra étendre, à terme, son réseau, et phagocyter le journal. A ce jeu, les féministes savent qu’elles ne sont jamais perdantes. Elles endurent donc de servir de faire-valoir au Figaro Madame en attendant des jours meilleurs.

 

Un exemple qualitatif : l’ouverture d’un site féministe illégal : www.macholand.fr, le 14/10/2014.

Seul 2 journaux auront émis des doutes sur la pertinence d’une action qui consistait à dénoncer et harceler les personnes jugées « coupables » de propos sexistes. Le Figaro parlera d’attitude délatoire inappropriée. Marianne de passéisme stigmatisant. Le Monde et Le Point refuseront de traiter l’information. Mais aucun ne remettra en cause la démarche féministe en tant que telle, ni ne soulignera l’évidente illégalité du site (l’illégalité de l’action). Tous les autres journaux sur le net chanteront les louanges de nos activistes féministes pour l’occasion :

Les Inrocks relaieront le discours victimaire des féministes faisant face aux médias et au système politique !

Le Nouvel Observateur parlera de cette initiative comme indispensable.

20minutes la présentera comme subversive

L’Express affirmera que d’habitude, les propos sexistes ne sont pas dénoncés de manière centralisée et que la plate-forme macholand va y remédier ! L’incompétence de l’informaticien gestionnaire du site et qui n’aura pas su empêcher la surcharge au moment du lancement, y sera expliquée par une attaque de pirates informatiques.

Métronews mettra en avant le côté sympathique et utile de la démarche.

Le Midi Libre relaiera le point de vue des Inrocks tout en lui donnant plus d’ampleur.

TF1 soulignera le côté sérieux et politique de l’affaire.

France info justifiera la censure de certaines formes d’humour « machistes ».

France inter restera dans le déni des réalités publicitaires en oubliant que les femmes sont envisagées par le marketing comme les premières prescriptrices d’achat dans les foyers ce qui fait qu’on s’adresse spécifiquement aux femmes, non par sexisme, mais par intérêt.

Le Mouv’ fera un parallèle douteux entre une pseudo absence de cabale organisée contre Eric Zemmour et la sortie du site macholand.fr, qui est pourtant la mise en oeuvre généralisée d’une forme de cabale contre tous ceux qui ne pensent pas pareil.

Closer appuiera sur le soutien de Macholand.fr à notre ministre de la ré-éducation nationale.

La Provence invitera ses lecteurs à participer à l’action.

Elle appuiera sur la victimisation.

Le Figaro Madame présentera le dispositif comme une initiative citoyenne d’utilité publique.

Jusqu’en Belgique dhnet.be ou en langue anglaise avec france24 on normalisera l’initiative, qui sait, pour donner des idées à d’autres ?

Une initiative illégale et anecdotique relayée par la quasi-totalité de la presse. Les affirmations et les points de vue féministes adoubés. Des relais aussi bien dans la presse régionale qu’à l’international. Un sujet non sérieux et traité par dessus la jambe repris en cœur par tous ou presque. A l’occasion du lancement féministe de www.macholand.fr, la presse française aura affiché son parti pris idéologique de manière extraordinaire.

Pour mettre en relief cet exemple, il faut dire que parfois, c’est encore pire… comme lorsque ces mêmes journaux relaient des mensonges créés de toute pièce (voir le discours féministe d’Emma Watson à l’ONU et les menaces de viol qui s’en seraient suivies). Ou comme lorsqu’un flot de dépêches AFP féministes, est repris par l’ensemble des autres journaux, à l’identique dans chacun de ceux-là (Femens à Milan le 16/10/2014 par Le Nouvel Observateur, Le Figaro, Le Point, 20minutes, Le Parisien, 20minutes, 7sur7.be, Le Monde, RTS.ch, reprise à l’identique du texte ou de la vidéo de l’AFP…).

 

Le cas spécifique de l’AFP.

Des articles non signés, un relais international, des prix compétitifs, une information courte qui a tout l’air d’être objective, l’AFP est l’organe parfait de manipulation médiatique. Les assistants sortis verts-moulus de leur école de journalisme, ou de sciences po avec leurs grandes idées, payés au lance pierre et frustrés de la possibilité d’exprimer une opinion commune, en profitent pour inonder les rédactions partenaires d’annonces qu’ils jugent importantes, en particulier s’il s’agit de la défense du droit des femmes. Alliés de la rouerie marketing féministe, ils fournissent un flot de nouvelles qui font masse auprès des rédactions et qui donnent une importance démesurée à l’idéologie féministe auprès du public. Aucune réflexion partisane, aucun point de vue officiel, aucun travail d’analyse fourni, le lecteur a l’impression de pouvoir se faire une opinion objective à partir de l’information brute, il se sent flatté dans son indépendance intellectuelle au moment même où il cultive son ignorance. Le point de vue pro-féministe est tout juste voilé. Souvent il est clairement affirmé dans des domaines qui semblent pourtant éloignés de la problématique féministe et où cette idéologie règne sans partage (culture théâtre). L’incompétence idéologique des journalistes, la mauvaise organisation des rédactions, leur impuissance à créer un modèle rentable en dehors des subventions d’Etat, la peur d’être ostracisés, les habitudes, parfois même les coucheries comme nous l’a montré notre propre président de la République,  tout se conjugue pour faire de ce système, le plus grand marasme intellectuel de l’histoire occidentale.

Poutine

Retrouvez le blog de M Sani ici

 

Les journalistes qui écrivent dans plusieurs rédactions.

En plus d’être sortis des mêmes écoles, de penser de manière identique, d’avoir le même profil psychologique, ces journalistes écrivent dans plusieurs journaux censés avoir des divergences d’opinion. En fait, le copinage et le déni des réalités est tel, que beaucoup de rédactions ne s’inquiètent aucunement d’avoir des points de vue différents entre elles. Elles vendent leur merde en changeant seulement l’étiquette.Quand ces journalistes n’écrivent pas dans les mêmes journaux, ils suivent un parcours de formation similaire. Si l’un de ceux là est passé par voxeurop, streetpress, terraeco, revue21, le Huffington Post, les Inrocks et si immanquablement il écrit pour The Guardian, alors il a effectué tous les hit combos possibles et imaginables du journaliste bien-pensant. Dans mon tableau, j’ai mis entre parenthèses les journaux dans lesquels ces journalistes écrivent simultanément mais aussi parfois le parcours de ceux-là. Je n’ai pas jugé bon de distinguer les deux, car l’information est disponible sur internet et le parcours renseigne sur la formation idéologico/intellectuelle aussi bien que l’état actuel d’une situation professionnelle.

 

liberte presse

 

Depuis l’élection de François Hollande.

Je ne sais pas à quel point les systèmes d’information de ces journaux sont défaillants, mais il semble que depuis 2012, l’arrivée des fémens, l’élection de François Hollande, les unions de duos, le nombre d’articles traitant de féminisme ait explosé statistiquement.

journalisme feminism nouvel obs

Diagramme des articles consacrés au féminisme au Nouvel Observateur. 2012 année phare (avec en arrière plan, un joli canular de la presse féministe).

Ainsi, à partir de ce constat, on peut avancer plusieurs hypothèses de travail pour tenter d’expliquer ce phénomène.

Tout d’abord, les pro unions de duos qui ont accusé la manif pour tous d’avoir monopolisé la scène médiatique, ont certainement fait preuve de la plus grande des mauvaises foi possible. Au contraire, cette loi aura été l’occasion d’une augmentation du nombre d’articles favorables au féminisme et par voie de conséquence favorables au lobby LGBT. Il faudra peut-être reconnaître dans cette plainte concernant la manif pour tous, la détestable habitude déconstructiviste de réécrire l’histoire tout en ne supportant aucune contestation légitime.

Ensuite, la multiplication des débats féministes dans les rédactions a permis aux étatistes-libéraux-libertaires d’échapper au constat objectif de leur échec en matière familiale et économique depuis 40 ans. La succession de sujets futiles écrits par une presse conformiste, sujets propres à rassembler la jeunesse autour du parti socialiste, aura permis de légitimer une gauche vide idéologiquement. La loi sur les unions de duos devant aboutir immanquablement à la marchandisation des grossesses et des enfants, on comprend à quel point l’arnaque intellectuelle aura été poussée loin. Cette jeunesse formée par une élite qui n’en est plus une, pourtant née d’un père et d’une mère, aura foncé droit dans le panneau, l’idée que tout le monde ait le droit de faire ce qu’il a envie dans la vie, lui servant d’unique boussole politique pour justifier le tout et n’importe quoi d’unions mensongères.

Enfin, il y aurait peut-être un retour du féminisme. Ayant échoué en tout, la nomenklatura de gauche se sentirait menacée et tenterait de renforcer son contrôle sur les esprits par des articles tous plus déconnectés de la réalité les uns des autres. Ou bien, l’arrivée d’une nouvelle génération formée au déconstructivisme se traduirait par un phagocytage complet des rédactions (comme au Figaro où les dernières recrues du Figaro Madame réussissent à faire aussi bien que le Nouvel Observateur).

 

Introduction au tableau.

Voilà donc le tableau qui présente seulement 200 articles féministes assez récents, par sujets et par rédaction, avec presque tous un auteur différent, soit 200 personnes qui presque toutes défendent à ce jour des thématiques pro-féministes dans nos journaux… sans compter que ma liste n’est absolument pas exhaustive, qu’il existe des angles d’attaque que je n’ai pas traités, loin s’en faut… sans compter que certains auteurs sont très prolifiques sur le sujet et peuvent avoir publié plus de 500 articles à eux seuls presque tous sur le féminisme (Renée Greusard)… sans parler de la radio, la télévision, les milieux culturels, et toutes les rédactions sur internet et en dehors d’internet que je n’ai pas pu balayer (dont celle du Nouvel Observateur sur internet dont l’antiféminisme n’est pas le plus évident, ou bien celle de Libération qui me rebutait).

En tout ce doit être plusieurs milliers de journalistes français qui défendent l’idéologie féministe dans nos médias, et qui ont produit plusieurs 10aines de milliers d’articles depuis le début du millénaire. Face à cela, il y a un seul fou qui produit une alternative régulière à cette marée idéologique. Moi.

Alors quand certains militants de la condition paternelle me reprochent de ne pas être sur le terrain ou d’être trop « extrémiste », quand j’entends certains dissidents qui disent hésiter à entrer dans la lutte sur le sujet parce que ça n’en vaudrait pas la peine ou que le vrai combat se situerait ailleurs, quand j’observe des catholiques se défiler intellectuellement, quand je vois des antiféministes convaincus qui ne relayent pas mes articles peut-être par peur ou jalousie, ou qui abandonnent, je me demande comment nous allons pouvoir y arriver. A ceux-là, je voudrais vous dire, que notre liberté dépend de leur courage, et que si j’ai trouvé la force de faire ce sacrifice, il y a peut-être un sacrifice qui est à leur mesure et qui pourra nous faire vaincre tous ensemble. Je ne vous demande certainement pas d’agir autant que moi, mais d’envisager un geste. Car sachez bien qu’une action de votre part, aussi petite soit-elle, parce qu’elle s’ajoutera à celles d’autres personnes intelligentes et courageuses, pourra seule changer la face du monde. Seul ce genre de petit courage et de petite croyance en sont capables. Encore faut-il faire le premier pas.

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31 réponses à “Autopsie du féminisme dans nos journaux français”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "A nos lecteurs : mise au point sur le départ de Xavier Gorce" Le Monde du 20/01/2021.

    Il est parti tout seul mais on ne voulait plus de ses dessins. La bonne blague. Heureusement, le progressisme veille sur ce qui nous est accessible, ou pas. 


  2. Avatar de Hancel
    Hancel

    Où va le féminisme ? Ce matin pendant ma séance de muscu, j’ai pas été trop déçu d’écouter l’émission Réplique de Finkielkraut sur France culture. Extrait :

    “Depuis l’affaire Weinstein, ce magnat hollywoodien qui, pendant trente ans, a profité sans vergogne de sa position de pouvoir pour contraindre des actrices débutantes, ou confirmées, à avoir des rapports sexuels avec lui, et depuis le mouvement Metoo, qui a amplifié le scandale, le combat féministe est à nouveau très présent sur la scène politique mondiale et il n’a pas fait relâche, il ne s’est pas confiné, pendant la pandémie que nous venons de vivre. Ce qui a fait tenir la société, c’est “d’abord une bande de femmes”, a déclaré Christiane Taubira….”

    Lien pour réécouter l’émission :

    https://www.franceculture.fr/emissions/repliques/ou-va-le-feminisme-0


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    "Les élus du personnel du groupe Canal+ exigent le départ d’Eric Zemmour de CNews" Le Monde du 21/10/2019.

    Unanimité pour virer un confrère. Il y a pas à dire, la diversité d'opinion est grande dans nos médias.


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