Je dois poser une limite ferme en ce début d’article pour éviter cette confusion propre à la pédékirastie. L’enfant au strict sens du terme est la personne humaine qui n’a pas les attributs sexuels d’un adulte. En contrepoint, cela signifie qu’une personne formée, doit être considérée comme adulte, quelque soit son âge. Pour les filles, c’est l’apparition des premières règles, le développement des seins et des hanches. Pour l’homme, c’est le développement du système pileux et la taille de son sexe, ainsi que de son corps. L’adolescence au sens biologique du terme, c’est cette très courte période de transition qui varie selon les individus, disons d’une à deux années pour le commun, autour de 11 à 14 ans. Plus tôt pour les filles que pour les garçons, surtout depuis que notre société immerge les enfants dans un bain d’hypersexualité dès leur plus tendre enfance.
La loi appréhende difficilement ces différences. Elle considère adulte la personne de plus de 18 ans. Point à la ligne. La société et avec elle, certaines familles, vont encore plus loin puisqu’elles assimilent des adultes légaux à des enfants dans la pratique. Ainsi, des individus de plus de 25 ans peuvent rester tributaires de leur mère, sans autonomie jusqu’à un âge avancé, et ils le restent parfois toute leur vie…
Je parle ici de « mère » et non de père, car les femmes ont un rôle crucial à jouer dans cet enfermement ou cette libération. Tribales, sans repères paternels, elles vont cloîtrer leur enfant dans une relation incestueuse. Pour elles, il est juste de parler de pédékirastie, de sexualisation avec leur enfant, en plus de l’inceste. Car ici, leur progéniture ne devient jamais autonome, féconde. Elle est stérilisée par un vécu masturbatoire. Les plus grandes pédékirastes de notre société sont donc des mères, beaucoup plus en tout cas que ces hommes qui baisent avec de jeunes filles formées et qui par un retournement incroyables sont accusés aujourd’hui d’enfermer des enfants.
Est-ce à dire que la personne juste formée dans son corps, est expérimentée dans sa tête ou dans son coeur ? Bien évidemment non. Pourtant il semble difficile de devoir leur interdire de se faire une expérience, c’est à dire de faire des erreurs, sans les enfermer dans des rapports malsains car immatures.
J’entends que ces jeunes adultes ayant eu des relations sexuelles avec des adultes âgés auraient été sous leur emprise. C’est souvent l’inverse. La jeune adulte femme bénéficie d’un pouvoir extraordinaire qu’elle perdra petit à petit. La voilà avec l’arme atomique des sentiments, son cul tout neuf, à pouvoir se payer possiblement le plus expérimenté des hommes. Face à elle, d’autres hommes, qui comme elles, dissocient sexualité et reproduction, et qui vont pouvoir se payer de la chair fraîche inestimable. Que croyez vous qu’il va arriver ?
En vérité, dès que sexualité et reproduction sont distingués, et notre société féministe s’évertue à promouvoir ce genre d’idée, la sexualité s’étend rapidement à tous les âges et de toutes les manières, et même avant l’âge adulte. C’est le propre d’une sexualité déréglée, être détachée de la reproduction, jusqu’à devenir pédékiraste. De nos jours, les féministes défendent cette idée de contraception, sans s’apercevoir qu’elle est à l’origine de la pédékirastie, entre autre.
A partir du moment où un corps est possiblement utilisé comme un objet, sans devoir assumer les conséquences d’une fécondation, il n’y a plus de barrières à l’utilisation du corps des adultes, mais aussi d’enfants. Car dans ce cadre, que devient le libre consentement éclairé si des enfants en appellent eux-mêmes à des rapports déréglés ?
Notre monde de l’inceste nous suggère que jamais des enfants ne pourraient avoir de telles attentes. En effet, pour les mères, leur enfant est le plus beau et le meilleur. Qu’il soit empli de folles demandes contradictoires ne leur viendra jamais à l’esprit. Cependant, la science et l’étude des enfants prouvent tout le contraire. Les enfants sont capables d’avoir des attentes sexuelles envers les adultes, juste parfois pour copier papa et maman, et c’est aux adultes de leur donner des limites.
Mais que va-t-il se passer si ces mêmes adultes n’ont pas de limites bien assises ? Eh bien adultes comme enfants ont des limites fragiles face à la perversion. Ils ne savent plus pourquoi ils devraient agir de telle ou de telle manière, avoir une sexualité ou pas. Et du coup ils tâtonnent. « >
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